Réflexe de reporter lors d’un gros événement, il faut aller voir, témoigner. Voici des bribes d’ambiance entre la rue Bichat et la République à Paris, les premiers jours après le choc
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Réflexe de reporter lors d’un gros événement, il faut aller voir, témoigner. Voici des bribes d’ambiance entre la rue Bichat et la République à Paris, les premiers jours après le choc
du vendredi 13 : chagrins et prières, une minute de silence et résistance…ils ont frappé un coup au cœur mais ils n’ont pas briser l’esprit de Paris.
Revendiqué par l’organisation terroriste Etat islamique, les tueries commises le soir du 13/11 aux abords du Stade de France et à Paris sont les premiers attentats-suicides en France. Le bilan provisoire (à la date du 14/11) est de 129 morts et de 352 blessés. Ces attentats sont les plus meurtriers perpétrés en France depuis la Seconde Guerre mondiale.
On espérait après les assassinats du 7 et 9 janvier dernier que ces tueries criminelles étaient derrière nous. Je me doutais qu’il y en aurait d’autres. Ces barbares ont frappé au cœur de ce Paris multiculturel et tolérant qu’ils haïssent.
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