C’est un aspect peu connu, à travers le monde, de la guerre lancée par Israël en octobre dernier : la suppression des possibilités de travailler en Israël pour les Palestiniens de Cisjordanie et Jérusalem-Est et leur remplacement par des travailleurs importés d’Asie, principalement d’Inde. Ci-dessous 3 articles qui jettent la lumière sur la tentative de Grand Remplacement en cours et ses contradictions, traduits par Fausto Giudice, Tlaxcala

MAAN informe la délégation de l’UE de ses efforts pour que les travailleurs palestiniens puissent retourner travailler en Israël
wac-maan.org.il, 12/3/2024
Introduction d’Assaf Adiv, directeur exécutif de MAAN, à la réunion d’information organisée dans les locaux de l’UE avec des délégations étrangères le 11 mars à Tel-Aviv.
Grave crise de l’emploi à Jérusalem-Est à l’approche du Ramadan
Erez Wagner, wac-maan.org.il, 13/3/2024
Les syndicats indiens dénoncent le besoin « immoral et désastreux » d’Israël de recruter davantage de travailleurs indiens dans le contexte de la guerre
- Des militants et des dirigeants syndicaux s’interrogent sur l’interdiction de travailler imposée par Israël aux travailleurs palestiniens et sur les raisons pour lesquelles des travailleurs indiens sont recrutés dans le cadre d’un conflit.
- Mais certains travailleurs indiens considèrent que travailler en Israël leur permet d’échapper à la pauvreté et d’améliorer leurs perspectives économiques, malgré les risques.
Durdana Bhat et Kamran Yousuf, South China Morning Post, 14/2/2024