Je n’ai pas de balcon mais j’ai de grandes fenêtres qui descendent assez bas. Si je les nettoyais, je pourrais m’y installer (au moins m’asseoir à proximité et allonger les jambes vers la rambarde) au moment où passe le soleil. Côté rue, en été, j’ai deux courts créneaux, en début et en fin d’après-midi où le soleil effleure mes fenêtres et entre sur une toute petite profondeur. La rue est courte. Ces moments peuvent se produire grâce aux trouées que constituent les carrefours aux deux bouts. Mais en ce mois d’avril, le soleil est trop bas. Je n’ai qu’un créneau de soleil vers quatorze heures. Côté cour, c’est le matin que je peux voir le soleil. L’appartement n’est jamais inondé de soleil. C’est trop bas. Mais j’ai déjà de la chance que ce soit traversant…
J’ai pris ou reçu des nouvelles de ma famille, en France, en Espagne. Tout le monde va bien, disons, aussi bien que possible.
Chez Carrefour, le prix du kg de pommes de terre (du même fournisseur) a été multiplié par 5,4 entre le premier et le huit avril (plus de cinq fois plus cher !).