Si au bord de la vie mes yeux se posent,
Je chercherais d'abord les mysteres interieures,
ceux que je peux comprendre et qui osent
capter une breve idee ,une ebauche de lueur.
Les petits secrets que seul nous possedons,
ouvre parfois les portes de notre garnison.
J'en retire parfois quelques formes imparfaites,
Une clef de plus ,je me gratte la tete.
Et je scrute mon ame dans un mouvement conscient.
Mes pensees, que je note pour ne plus qu elles s'envolent,
Glissent pres de mon coeur pour faire surgir le vent,
Les idees tourbillonent vers une histoire folle.
Une fois la tempete passée, je respire.
Mon ame ne s'est pas envolé ,c'est pire,
Elle est resté ici et je parle maintenant,
D'un etat d'esprit qui n'est deja plus present.
Mais je suis satisfait d'avoir essayé,
De comprendre le sens du mot queter.
J'aime la recherche d'un parfait absolu,
Meme si je sais tres bien qu il n'existe deja plus.