INTERPRETATION DE L’ACCORD ENTRE L’AGENCE INTERNATIONALE DE L’ENERGIE ATOMIQUE ET L’ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE
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Soucieux de l’indépendance de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), liée par l’accord de 1959 avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) pour les questions relatives à l’exposition aux substances radioactives et à ses conséquences pour la santé, des journalistes et d’autres personnes ont interrogé récemment l’OMS sur ses relations avec l’AIEA. Ces inquiétudes sont sans fondement.
Ah... voyons ça.
L’Accord entre l’AIEA et l’OMS suit le modèle des accords passés entre l’OMS et les Nations Unies ou d’autres organisations internationales. Ils établissent un cadre général permettant aux parties en présence de mettre en forme et de développer leur coopération selon leurs programmes et leurs priorités, sans toutefois prévoir des obligations détaillées.
...sans toutefois prévoir des obligations détaillées, pas prévu : circulez!
La clause de confidentialité mentionnée à l’Article III se retrouve dans les accords conclus entre l’OMS et d’autres organisations internationales. Elle représente une garantie normale contre la divulgation d’informations que les organisations concernées, l’OMS comprise, ont l’obligation juridique de protéger dans le cours de leurs travaux. Dans le cas de l’OMS, cette clause s’applique par exemple à la protection des renseignements cliniques ou similaires de nature personnelle.
A défaut de protéger les populations...
L’OMS est en train d’élaborer un Programme mondial complet sur les radiations qui comportera une stratégie et des priorités claires pour la défense des intérêts du public en matière de santé face aux utilisations de la technologie nucléaire.
Pour ce qui est de l’uranium appauvri, l’OMS est en train de finaliser une évaluation générale de tous les risques possibles que l’exposition à ce métal fait peser sur la santé.
Puisqu'on vous dit qu'elle est en train, date de cette "Déclaration OMS/06" 23 février 2001!
En train de sénateur?
Et encore, eux ils courent!
Donc, conclusion :
L’Accord entre l’AIEA et l’OMS ne gêne en rien ces activités. (copié-collé)
Bon, ça donne quoi au niveau des infos, trouvé ça en anglais sur le site:
(en français le dernier bulletin remonte au 29 avril! dommage < = clic!)
FAQ Les préoccupations nucléaires du Japon (lien <= clic!)
Extrait ( que des choses très précises, ni chiffres, ni situation géographique)
Quels conseils généraux peut être donnée aux consommateurs de produits alimentaires et les producteurs dans le cas d'une urgence nucléaire?
- La réponse à une urgence impliquant la radioactivité devrait être la même que la réponse à toute situation d'urgence impliquant des matières dangereuses contamination des aliments. Dans les premiers stades d'une urgence, et s'il est sûr de le faire, il est possible de prendre des mesures immédiates pour prévenir ou minimiser la contamination des aliments par des matières radiologiques.
C'est quand même intitulé :
Risques sanitaires actuels
Il y a tout de même un lien vers le Codex Alimentarius (késako? <= clic!)
Norme générale Codex pour les contaminants et les toxines dans les aliments et l'alimentation(CODEX STAN 193-1995)
Extrait du tableau page 47 :
- Code denrée : colonne vide
- Nom du produit : Aliments pour nourrissons*
- Radionucléides représentatifs : 238Pu, 239Pu, 240Pu, 241Am, plutonium pricipalement
- Coefficient de dose par ingestion en Sv/Bq : colonne vide
- Limite en Bq/kg : 1 Bq/kg pas zéro, hein, 1, c'est pour les nourissons...
- Type Référence Remarques/observations : colonne vide