« la sécurité nucléaire, la place de la filière et de son avenir »
Et qui donc en particulier ?
L'OPECST
L'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a pour mission d'informer le Parlement français des conséquences des choix de caractère scientifique et technologique afin d'éclairer ses décisions ( wikipédia)
23mn très intéressantes, si-si... où l'on voit que nos "experts" s'y connaissent en gestion industrielle et physique nucléaire comme moi en numismatique de l'Empire des Samanides
Un document de plusieurs kilomètres de long où l'on trouve, entre autres curiosités pour nos Élus, un grand intérêt pour la Tectonique, pas la danse hein, non, celle des plaques de la Litosphère, vous savez, la dérive des continents. Et d'autres dérives comme par exemple la sous-traitance :
"La sécurité n’a pas de prix, mais son coût manque de transparence"
"Toutefois, il arrive un moment où il devient nécessaire de chiffrer ce coût. Or, il nous a été impossible d’obtenir une évaluation crédible du coût de la sécurité dans l’EPR. Vos rapporteurs en ont notamment fait la demande directe lors de sa visite du chantier de Flamanville, sans qu’une réponse satisfaisante leur soit apportée."
Ah, il ne faut pas en vouloir à notre industrie « nue et claire » : la cachoterie et la dissimulation sont une « vieille habitude historique » quasi un atavisme, lisez plutôt :
Afin de préserver le secret, le gouvernement français raconte aux officiers des douanes que les pièces exportées serviront à construire une usine de dessalement d'eau de mer en Amérique latine. (Wikipédia)
Sept ans presque jour pour jour après la légalisation du mariage gay par la Cour suprême des États-Unis, celle-ci a décidé de revenir sur un autre droit : l’accès à l’avortement. Devant l’institution, à Washington, la tristesse des militants pro-IVG a côtoyé la joie des opposants.
L’arrêt « Roe v. Wade », qui a été abrogé par six voix pour et trois contre, avait fait, il y a 50 ans, de l’accès à l’IVG un droit constitutionnel. La décision de la Cour suprême n’est pas le fruit du hasard. Le mouvement anti-IVG tente depuis plusieurs décennies de verrouiller le système judiciaire.
Rien ou presque n’est prévu si une députée doit siéger enceinte à l’Assemblée nationale. Alors que la parité a fléchi au Palais-Bourbon, le voile pudique jeté sur l’arrivée d’un enfant pour une parlementaire interroge la place que l’on accorde aux femmes dans la vie politique.
Si la loi de bioéthique a ouvert la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules, elle a exclu les personnes transgenres. D’après nos informations, une association qui pointe une « atteinte à l’égalité » a obtenu que le Conseil constitutionnel examine le sujet mardi 28 juin.
La première ministre, Mme Elisabeth Borne, n'est pas « juge », dit-elle, lors d’un échange avec une riveraine, ce mercredi 15 juin 2022, l'interrogeant sur les nouvelles accusations visant M. Damien Abad, ministre des solidarités.
Je suis bouleversée suite aux actualités concernant votre ministre accusé de viols et de l'inaction le concernant. Je suis moi-même une des 97 000 victimes de viol de l’année 2021. Je suis aussi et surtout une des 99 % de victimes dont l’agresseur restera impuni. Seule la justice a les clés pour décider ou non de sa culpabilité… Pourtant, vous ne pouvez pas faire comme si de rien n’était.
Il y a quelques jours, un non-lieu a été prononcé sur les accusations de viol en réunion portées par une étudiante suédoise sur 6 pompiers. Cette décision résulte d’une méconnaissance (ou de l’ignorance volontaire) de ce que dit la loi et de ce qu’est un viol.
Sorti en France en 2020, le film « Promising Young Woman » de la réalisatrice Emerald Fennell nous offre une autre façon de montrer les violences sexuelles au cinéma, leurs conséquences et les réponses de notre société. Avec une approche par le female gaze, la réalisatrice démonte un par un les mythes de la culture du viol. Un travail nécessaire.