- Jusqu'ici tout va bien
Fukushima : possibilité d'une explosion dans un des réacteurs
La présence d'un gaz inflammable non identifié a été détectée dans une conduite reliée à l'un des réacteurs de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima, a annoncé samedi son exploitant, cité par l'AFP.
Tokyo Electric Power Co (TEPCO) a indiqué ne pas avoir identifié ce gaz mais a cependant écarté la possibilité d'une explosion dans le réacteur.
La compagnie a injecté de l'azote dans le réacteur afin d'abaisser le niveau d'oxygène à l'intérieur pour prévenir toute explosion.
Mais, selon un porte-parole de TEPCO, les ouvriers ont enregistré la présence d'un gaz inflammable à 100% dans une conduite relié au réacteur numéro 1 de la centrale. lien
- Jusqu'ici tout va bien
Du césium radioactif dans du riz japonais
Un niveau de césium radioactif de 500 bequerels par kilogramme a été mesuré sur un échantillon de riz récolté à Nihonmatsu, dans la préfecture de Fukushima, à 56 km à l'est de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi. Il s'agit du premier cas au Japon de riz contenant du césium radioactif de plus de 200 becquerels par kilogramme, niveau à partir duquel des analyses complémentaires approfondies de la zone incriminée doivent être réalisées. Concrètement, ce taux de césium radioactif implique que la radioactivité des rizières de la région concernées devra désormais être mesurée avant récolte.
C'est TF1 qui le dit
et en préambule ceci lien
Les effets de la catastrophe de Fukushima se font encore sentir au Japon (ah ben y pensaient qu'c'était fini? Pincez moi : je rêve !)
. Après les poissons au large de la centrale, les fourrages et les boeufs dans des régions voisines, ce sont des rizières qui semblent ( j'aime bien : semblent...) avoir été contaminées.
- Jusqu'ici tout va bien
De plus en plus d'experts estiment que de sérieux problèmes auraient été créés à Fukushima Daiichi par le séisme lui-même lien
Un chercheur de l'AIEA, Yasuteru Shibamoto, a déclaré le 21 septembre que l'enceinte de confinement du réacteur n°. 2 aurait pu être endommagée le 11 mars, juste après la survenue du séisme majeur et avant l'arrivée du tsunami (...)
Il ne s'agit pas de la première intervention d'un scientifique Japonais qui tende à démontrer que de sérieux dégâts, peut-être suffisants pour créer à eux seuls un accident grave, auraient pu être directement engendrés par le séisme et non à la suite du tsunami comme l'assure l'opérateur. Ce point est très important car il exonérerait en partie la source d'un événement exceptionnel comme un tsunami et fragiliserait un peu plus la position de Tepco dans un pays affecté en moyenne chaque année par une douzaine de séismes d'une magnitude supérieure à 6.
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Areva attendra
L'Inde a déclaré le 19 septembre qu'elle attendra les résultats des audits nucléaires français post-Fukushima sur le réacteur de troisième génération EPR avant de s'engager avec Areva (pour 2 à 6 réacteurs)
Jusqu'ici tout va bien...