C’est avec beaucoup d’intérêt que j’ai lu l’intégralité du rapport du 13 Juillet sur le site http://www.irsn.fr/ relatif aux conséquences des événements survenus le 11 Mars 2011 au Japon.
Néanmoins, je suis surpris par l’emploi du mot « accident » dans la présentation de ce document :
« Synthèse des informations disponibles sur la contamination radioactive de l’environnement terrestre japonais provoquée par l’accident de Fukushima Dai-ichi »
Ce terme, suivant la définition du Larousse, me paraît inapproprié compte tenu de la teneur de ce compte rendu :
Accident : événement inattendu, non conforme à ce qu'on pouvait raisonnablement prévoir, mais qui ne le modifie pas fondamentalement
Aussi, pour une juste information du public, je vous prie, Mesdames, Messieurs, d’intervenir auprès de L’IRSN pour modifier ce vocable qui ne correspond pas à la réalité de ce que vivent actuellement nos amis Japonais
Ce décret a été modifié le 7 avril 2007 pour tenir compte de la loi n° 2006-686 du 13 juin 2006, relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire.
Vous remerciant pour l’attention que vous portez à ce courrier, veuillez agréer, Mesdames, Messieurs, l’expression de mon respectueux dévouement.
Désastre économique, humanitaire, droits humains attaqués… Un an après avoir rebasculé dans les mains des talibans, l’Afghanistan n’en finit pas de sombrer. Pour la minorité LGBT+, le retour des fondamentalistes islamistes est dévastateur.
Être une femme en Afghanistan, c’est endurer une oppression systématique et brutale, encore plus depuis le retour au pouvoir des talibans qui, en un an, ont anéanti les droits des femmes et des fillettes. Quatre Afghanes racontent à Mediapart, face caméra, leur combat pour ne pas être effacées. Un documentaire inédit.
Admis pour devenir gardien de la paix en 2019, condamné pour violences conjugales en 2021, un homme devrait, selon nos informations, prendre son premier poste de policier en septembre dans un service au contact potentiel de victimes, en contradiction avec les promesses de Gérald Darmanin. Son recrutement avait été révélé par StreetPress.
Mediapart a sillonné la vallée de la Valdaine et ses environs dans la Drôme, à la rencontre d’agriculteurs qui souffrent des canicules à répétition. Des pans de récoltes grillées, des chèvres qui produisent moins de lait, des tâches nouvelles qui s’accumulent : paroles de travailleurs lessivés, et inquiets pour les années à venir.
Dans ses lettres, Céline accuse Yvon Morandat d’avoir « volé » ses manuscrits. Morandat ne les a pas volés, mais préservés. Contacté à son retour en France par ce grand résistant, le collaborateur et antisémite Céline ne donne pas suite. Cela écornerait sa position victimaire. Alors Morandat met tous les documents dans une malle, laquelle, des dizaines d’années plus tard, me sera confiée.
Depuis longtemps les « céliniens » cherchaient les documents et manuscrits laissés rue Girardon par Céline en juin 1944. Beaucoup croyaient avoir trouvé la bonne personne en un certain Oscar Rosembly. Un coupable idéal.
La veuve de Céline disparue, délivré de mon secret, l’heure était venue de rendre publique l’existence du trésor et d’en informer les héritiers… qui m’accusèrent de recel.
Comment, par les hasards conjugués de l’Histoire et de l’amitié, je me retrouve devant un tombereau de documents laissés par Céline dans son appartement de la rue Girardon en juin 1944. Et ce qui s’ensuivit.