Mediapart est l’image d’une production attirant ses clients par révélations de scoops :
Celui qui va lancer le journal, Sarkozy, un financement de campagne présidentielle occulte, et le bombardement de Tripoli qui en a suivi, Cahuzac, une fraude déclarative fiscale, et le « tous pourris » d’extrême droite au second tour induit, Villepin, un assistant parlementaire qui ne fait pas grand-chose, renforcement du précédent exploit et aujourd’hui Roussel, même forfaiture mais pour le coup, par un jeune militant ouvrier.
Suivant quelques journalistes commentant en médiapart ces actions proclamée de salut public, chasse aux planqués détourneurs de fonds de la République, un malaise prend le lecteur, ce «J’Accuse…!» perpétuel, ce Zola à charge multiple, pour qui tire-t-il ?
Pour lui, ses finances ?
Pour déstabiliser les institutions élues du peuple désignées ainsi indignes ?
Pour assoir dans l’opinion le dégoût du pouvoir, du collectif ?
Journalistes faiseurs de Rois !
Les dictateurs, les tyrans sont de mode.
D’avenir ? De choix ?
Argent public détourné !
Roussel, la paye d’un jeune militant, combien ?
Entre 2015 et 2020, France a équipé l’armée de Vladimir Poutine, déclarée agresseur, 152 millions d’euros.
Thales, Safran, dont l’Etat français est le premier actionnaire.
Argent public détourné ?
Crimes contre l’humanité, c’est pas le sujet de nos justiciers.
Assassiner des Ukrainiens, c’est légal, suivant Macron, c’est dans le contrat commercial.
Tous complices ? Pas d’enquête en Médiapart.
Le crime, c’est nous, seuls justiciers.
Taisez-vous Nathalie ! Vous qui fuyez de rendre hommage à nos révélations historiques.
Mediapart n’a pas de parti ?
N’a celui du respect de ces lecteurs, sortant de sa lecture par « ils nous prennent pour des c. »
Mediapart, le bilan de nos justiciers ?
La victoire pour qui ?
Depuis 2008, dans les urnes, les voix de gauche ont continué de fondre, celles des populistes doublé.
Combien de nouveaux lecteurs conquis par nos justiciers dans chaque camp ?
Mediapart ne vit que de ces lecteurs, non de sa lecture … C’est dans le contrat … du profit.
Boîte Noire –
Il faut parler de tout. Un sous est un sous et voler, c’est voler.
On dit que les grands nombres sont du bruit, de l’indéterminisme, en logique mathématique.
On dit « noyer le poisson » en langage courant.
Le climat, la pandémie, les ventes d’armes…