GABON / MARCHE ET DISCOURS « DERRIÈRE L’HÔPITAL MILITAIRE » DE LIBREVILLE

Selon le préambule de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme :

Si les Droits de l'Homme ne sont pas protégés par un régime de droit :

Le peuple est contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression.

EXEMPLES DE DROITS DE L’HOMME QUE LA DICTATURE GABONAISE BAFOUE :

• Droit à la liberté, à la sûreté de sa personne, à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux.
• Liberté d'opinion et d'expression, ne pas être inquiété pour ses opinions.
• Droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.
• Droit au travail, à l'éducation gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental.
• Droit à l’égalité de tous devant la loi, égale protection de la loi. Tribunaux indépendants et justes. Droit à des élections honnêtes.
• Pas de torture, ni de peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, pas de détention ni d’arrestation arbitraires, Pas d’intrusion dans la vie privée, le domicile ou dans les correspondances, conversations téléphoniques, etc.

Nous sommes donc contraints, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression de Monsieur Ali Bongo Ondimba et de la Légion Etrangère.

1 – BOYCOTT DE TOUTES LES MANIFESTATIONS ET MEETINGS DU POUVOIR.

2 – LANCER DES CONTESTATIONS PARTOUT, RESISTER, NE PLUS ACCEPTER.