Tout « homme politique » a une histoire, une famille et un fil d’Ariane dans la succession des générations. Etant un membre du clan (et même un héritier naturel du pouvoir traditionnel) des Bassumbas (tradition punu), j’ai eu l’honneur de marier (comme père traditionnel) ce samedi 12 juillet ma fille (et nièce) Sylvie MIPIMBOU qui a épousé l’excellent Michel Jeff VINGA à la Mairie du 5e arrondissement de Libreville. Du fait de mes nombreuses activités politiques, je n’ai pas pu assister au mariage coutumier le 11 juillet mais j’ai tenu à m’associer au bonheur des époux ce samedi malgré la proximité du 25e anniversaire de la création de l’Union du Peuple Gabonais (UPG).
Ce samedi 12 juillet 2014, en saluant respectueusement et familialement mon beau fils MOUKAGNI-IWANGOU (avec sa femme Denise qui est une de mes nombreuses filles en tant qu'héritier possible du Clan des Bassoumbas) qui prétend diriger l’UPG en dépit de la réalité, j’ai été rassuré pour deux raisons : il va bien et semble avoir le moral d’une part ; ma fille et sa femme Denise semble supporter stoïquement tout ce qui se passe. Mais, parfois quand on voit tout le gâchis dans nos vies, il y a de quoi se demander si « ça valait tout ça ? ». Après tout, qu’est-ce qui est le plus important dans la vie ? A la fin de tout, il ne reste que l’amour. Je prie pour que les acteurs de notre pays le Gabon soient animés par un esprit de construction et non des démons destructeurs.
– à Owendo.
Aux noces de ma fille et nièce Sylvie MIPIMBOU et Michel VINGA
Etant un membre du clan (et même un héritier naturel du pouvoir traditionnel) des Bassumbas (tradition punu), j’ai eu l’honneur de marier (comme père traditionnel) ce samedi 12 juillet ma fille (et nièce) Sylvie MIPIMBOU qui épousé l’excellent Michel Jeff VINGA à la Mairie du 5e arrondissement de Libreville. Du fait de mes nombreuses activités politiques, je n’ai pas pu assister au mariage coutumier le 11 juillet mais j’ai tenu à m’associer au bonheur des époux ce samedi malgré la proximité du 25e anniversaire de la création de l’Union du Peuple Gabonais (UPG). C’est donc avec un certain bonheur et une forme de gravité joyeuse qu’au nom de tous les miens, au nom de mes ancêtres, de mes pères et mes mères que j’ai pu m’associer aux noces de ma fille Sylvie.
– à Owendo.
J’ai de bien jolies nièces mais elles sont interdites à la voyoucratie gabonaise … Au mariage de Sylvie ce samedi 12 juillet 2014. – à Owendo.
J'ai eu l'honneur d'ouvrir le bal des noces de Sylvie MIPIMBOU et Michel VINGA au nom du père de la mariée. Tout « homme politique » a une histoire, une famille et un fil d’Ariane dans la succession des générations. Etant un membre du clan (et même un héritier naturel du pouvoir traditionnel) des Bassumbas (tradition punu), j’ai eu l’honneur de marier (comme père traditionnel) ce samedi 12 juillet ma fille (et nièce) Sylvie MIPIMBOU qui a épousé l’excellent Michel Jeff VINGA à la Mairie du 5e arrondissement de Libreville. Du fait de mes nombreuses activités politiques, je n’ai pas pu assister au mariage coutumier le 11 juillet mais j’ai tenu à m’associer au bonheur des époux ce samedi malgré la proximité du 25e anniversaire de la création de l’Union du Peuple Gabonais (UPG).
– à Owendo.
Ma venue à l’Union du Peuple Gabonais (UPG) fin 2011 coïncide aussi avec un retour aux sources. En 2012, je suis revenu à Moabi le « pays » de mes pères pendant un voyage d’adieu de mon géniteur. En 2013, je me suis engagé à Ndendé là ou ma mère a grandi et en 2014, je procède au rassemblement de ma famille biologique maternelle le « clan des Basumbas (tradition punu). Être privé de la richesse de nos racines et de nos traditions culturelles, voilà une des tares qu’on a du mal à pardonner au système gabonais. Ce système nous a privés de notre identité et a fait de nous des « nègres errants » perdu dans l’immensité de l’humanité. Mais ce cycle va bientôt s’achever. Au-delà des rigueurs de la politique, je ne remercierai jamais assez le Président Pierre MAMBOUNDOU d’être finalement le catalyseur d’une cosmogonie renouvelée au Gabon.
– àOwendo.
On peut se sentir prêt à mener un combat politique objectif et ne pas se sentir prêt encore à devenir l’héritier naturel d’une tradition et d’une culture du clan des bassoumbas. En tous cas, on verra bien … – àOwendo.
