Cannes 2014 — Nadav Lapid : portrait de l'institutrice en Don Quichotte
Avec son nouveau long, le cinéaste israélien poursuit le projet qu'il a entamé avec son premier film, Le Policier, à savoir une remise en question de la société au travers de la disparition de l'idéalisme. Avec L'Institutrice, présenté en ce moment à La Semaine de la Critique cannoise, Nadav Lapid signe une œuvre intense et en partie autobiographique.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Avec son nouveau long, le cinéaste israélien poursuit le projet qu'il a entamé avec son premier film, Le Policier, à savoir une remise en question de la société au travers de la disparition de l'idéalisme. Avec L'Institutrice, présenté en ce moment à La Semaine de la Critique cannoise, Nadav Lapid signe une œuvre intense et en partie autobiographique. Il se confie sur cette histoire singulière d'une professeure marquée par les dons poétiques de l'un de ses élèves - alter-ego du réalisateur. D'autres interviews d'UniversCiné en direct de Cannes : cliquez ici
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