Roy Andersson, ses pigeons, ses fourmis et ses "vivants"
Lion d'or à la dernière Mostra de Venise, Un Pigeon perché sur une branche philosophait sur l'existence, troisième et ultime volet de la "Trilogie des vivants" du cinéaste suédois, sort ce mercredi 29 avril en salle.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Lion d'or à la dernière Mostra de Venise, Un Pigeon perché sur une branche philosophait sur l'existence, troisième et ultime volet de la "Trilogie des vivants" du cinéaste suédois, sort ce mercredi 29 avril en salle. Le film est constitué de 39 plans séquences très picturaux qui représentent autant de tableaux de la petite tragi-comédie humaine de Roy Andersson. Les "vivants", ces êtres blancs comme des cadavres, y continuent d'épingler avec humour l'égoïsme et la solitude de notre société contemporaine. Roy Andersson, un auteur nihiliste et misanthrope donc ? Pas du tout, il nous parle d'espoir, des Évangiles et des fourmis.
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