Sur ce billet: Un Imam pédophile l'abonné a décidé de fermer les commentaires.
C'est son droit le plus absolu.
Mon droit, je ne sais s'il est absolu, mais j'y tiens, c'est de lui répondre ici.
Même si cela n'intéresse personne, j'aurai pu au moins lui dire le fond de ma pensée:
Vous avez choisi de fermer votre billet (l’imam pédophile) aux commentaires. La discussion paraissait pourtant courtoise et constructive avant que vous décidiez de mettre un terme à ces échanges.
Chacun pourra imaginer quelles en sont les raisons.
Je ne reprendrai pas point par point votre commentaire comme je l’ai fait jusqu’à présent, car je pense qu’il est vain que je puisse imaginer de vous faire bouger d’un iota dans vos positions tant vous semblez ferme et définitif.
Par contre, je ne tenterai pas non plus de vous faire accepter que je puisse être différend de vous, quand je dis « accepter », je veux dire faire en sorte que vous jugiez mes positions acceptables.
Votre façon de devenir péremptoire, de traduire un certain agacement à mes propos, peut provenir de votre incapacité à démontrer objectivement que je me trompe, incapacité flagrante quand vous êtes toujours obligé de raisonner à la marge en décrivant et me mettant en scène dans des situations qui ne sont que le fruit de votre imagination et peut-être de vos fantasmes.
Et c’est bien là ce qui me motive à changer de registre.
Je crains, sans en être sûr, que vous vous projetiez dans cet échange et que vous soyez un si ardent défenseur de la non adoption d’enfant par des couples homosexuels uniquement parce que vous savez que vous-même, dans ce type de situation, n’auriez ni la force de maîtriser vos instincts ni ne seriez capable de ne pas céder à vos fantasmes.
Vous me faites penser, mais je peux me tromper, à un alcoolique qui serait pour la prohibition car il se sait incapable de résister en présence d’un verre de bière, de vin, whisky ou autre. Il voudrait que personne ne puisse consommer de l’alcool en famille, entre amis en toute convivialité.
Vous vous attachez tellement à ne faire ressortir que les situations les plus perverses que vous donnez le sentiment de vouloir vous protéger de vous-même.
Mais laissez donc en paix ceux qui savent vivre en toute tranquillité avec leurs instincts et leur sexualité, qui savent en tirer le meilleur parti et non pas en être leur propre victime.
Si vous savez que vous ne pouvez pas être comme eux, ne vous acharnez pas à imaginer qu’ils puissent être comme vous.
Lui ayant adressé publiquement cette réponse sur un autre fil, voila ce que fut sa réaction:
Il s'est empressé de supprimer ce billet en le rééditant en fermant les commentaires: Le porte-avion Eisenhower à proximité des côtes syriennes