... de ceux qui prétendent le défendre,et qui le quittent.
Oh, ils n'ont pas aimé mon billet qui les a piégés. Ils n'aimeront pas celui-ci davantage.
Normal. Il n'y a que dans le secret d'un cabinet d'un psy qu'on a quelque chance d'entrevoir et d'accepter les tréfonds de sa personnalité tortueuse et tourmentée. Pas sur médiapart, pas publiquement, surtout pas après avoir mordu à un gros hameçon que l'on n'a pas eu l'intelligence d'entrevoir sous le bel appât d'un abonné à réduire en bouillie, comme on aimait à le faire, à la belle époque, souvenez vous, l'époque où celle ou celui qui ne nous plaisait pas, ne faisait pas allégeance était voué aux gémonies, banni à tout jamais de ce qui au bout du compte ne se différenciait en rien d'une secte.
Et puis ils sont venus, ils ont cassé notre jouet, ils nous ont montrés tels que nous sommes, ils l'ont démontré, ils l'ont clamé, crié au monde médiapartien qui, heureusement, est plus préoccupé par ce qui se passe ailleurs que dans le microcosme du Club.
Mais ils ont brisé notre rêve, notre utopie, exister dans l'ombre d'une microsociété qui s'est construite sur la transparence et la lumière.
Pourquoi rester.
Mais partir avec les honneurs et les désigner comme coupables de détruire le Club de Médiapart, ça oui !!
Non, je ne vous laisserai même pas la possibilité de cette dernière imposture.
Votre abandon de poste est le plus criant des aveux.
Quelle amante pourrait croire son amant lui clamant qu'il l'aime, qu'elle est toute sa vie mais que finalement il a choisi de partir.
Vous avez du talent pour avoir pu rester aussi longtemps, vous n'en avez pas assez pour vous faire passer pour des victimes.