Nous ne sommes pas une force d'opposition mais de propositions !

Le débat est passionnant, et parmi les reproches qui reviennent le plus souvent, on retrouve deux idées :

« Vous ne faites que critiquer »

« Vous utilisez l’IA »

Sur le premier point

Depuis le 14 juillet, nous avons publié des dizaines de propositions et, oui, nous avons aussi pointé certains manquements de l’équipe actuelle.

Nos critiques ? Les voici, et elles tiennent en quelques exemples :

* le maquillage du montant de la dette par habitant dans le journal municipal,

* l’absence d’explication sur ce qu’il s’est passé le 16 août, suite à l’interdiction de baignade,

* l’opacité dans la répartition des subventions aux associations,

* l’état des routes dans Valras,

* la nécessité d’une campagne de dératisation,

* l’impossibilité de trouver clairement les délibérations des conseils municipaux sur le site de la ville.

Voilà nos critiques. Avouez que nous sommes vraiment « très méchants »…

Mais à côté de cela, nous avons surtout formulé des dizaines de projets concrets pour Valras, parmi lesquels :

* le retour des Brescoudos,

* une taxe foncière majorée sur les logements vacants,

* une nouvelle fête le 18 février,

* faire de Valras le premier village fier d’être français en arborant des drapeaux,

* proposer du sport au travail pour le personnel municipal,

* créer un centre de thalassothérapie,

* appliquer la tolérance zéro pour les délits,

* un musée de la rivière et de la mer,

* une navette Valras-Béziers pendant la féria,

* l’enfouissement des conteneurs dans tout le village,

* une autorisation préalable avant d’ouvrir un commerce,

* une Maison des Sages,

* un service municipal de l’emploi,

* la mise en place de référendums locaux,

* une priorité donnée aux associations qui défendent la culture locale,

* le Wi-Fi gratuit dans le centre,

* une réflexion avec nos villes voisines pour refaire les ronds-points d’entrée de Valras,

* des horaires élargis pour les commerces de bouche et paillotes,

* la demande du classement UNESCO des Orpellières,

* mettre la pétanque au cœur de Valras,

* créer un village des saisonniers,

* végétaliser le quartier « Rebelle » entre le Casino et les Mouettes,

* organiser chaque mois des petits déjeuners économiques avec les entreprises valrassiennes,

* un jumelage international,

* une meilleure intégration des chiens et chats dans le village,

* proposer le stationnement gratuit toute l’année.

Et cela s’ajoute à de nombreux autres sujets que nous avons abordés : la disparition des Clés de Saint-Pierre au profit des geckos, les incendies d’été, notre soutien à la corrida et à Patrick Sébastien, l’explication de ce qu’est le vin bourru, les problèmes de cabanisation ou d’alcool pendant la féria, ou encore des thèmes plus généraux comme le kit de survie gouvernemental, l’importance du casino de Valras, le Mercosur ou… l’IA.

Alors non, nous ne « critiquons pas toujours la municipalité ». Dire cela, c’est ne pas savoir lire ou choisir de ne voir que ce qui vous arrange.

Notre rôle, et c’est le principe même de la démocratie, est d’expliquer pourquoi il faudra voter pour nous en mars prochain.

Sur le deuxième point : l’IA

Certains nous reprochent d’utiliser l’IA.

Franchement, c’est comme reprocher à quelqu’un d’utiliser un smartphone plutôt qu’un téléphone à cadran, Word plutôt qu’une machine à écrire, ou un vélo électrique plutôt qu’un vélo traditionnel. La liste pourrait être longue…

Et surtout, rappelons-le : l’IA n’est pas une baguette magique qui fait tout, toute seule, en appuyant sur un bouton.

Derrière, il y a toujours des femmes et des hommes qui réfléchissent, cherchent, coordonnent, inventent.

L’IA, ensuite, n’est qu’un outil au service de cette intelligence collective.