Petro POROCHENKO, c'est celui qui nous prend pour des cloches avec sa guerre opaque, fausse paix de Pâques, et cette haine de la Russie qui sert les intérêts de ses amis alliés, les deux A, l'Amérique et l'Allemagne, comme les deux oreilles d'un même bonnet d'âne.
Ou comment résoudre une crise économique ?
En faisant disparaître les peuples européens et l'Europe pour le plus grand profit des USA et de l'Allemagne qui étend ainsi son empire économique et prend enfin sa revanche "historique" contre la Russie.
Qui est Petro POROCHENKO , le roi du chocolat devenu roi de l'Ukraine ?
Un milliardaire corrompu, jugé et condamné dans son propre pays pour corruption, interdit d'exercice de tout mandat politique pendant cinq ans.
Une évidence, puisque, dans ce monde, "être milliardaire" rime rarement avec "être honnête".
Les bêtes gens pensent "norMAL" que l'honnêteté soit devenue synonyme d'imbécillité pour les peuples à qui l'on fait miroiter un seul choix, celui des possessions matérielles contre leur dépossession personnelle.
Plus on possède, plus on existe, plus on est reconnu.
Moins on possède, moins on résiste, moins on est soutenu.
Ou alors on est fachiste ou fâché(e).
Par qui est-on reconnus ?
Bah, par les médias, pardi !
Ces médias qui sont payés par de généreux ou dangereux mécènes à la morale obscène pour ne pas être méconnus.
Heureusement pour lui, depuis 2007, Petro POROCHENKO, le roi du chocolat, cette bête de scène, préside le conseil de la Banque nationale de l'Ukraine, ceci pouvant expliquer cela, la faillite insultante d'une économie rongée par sa dette, la dette exorbitante de l'Ukraine, une dette qui la jette dans les bras d'odieux prédateurs mondialistes, ses joyeux libérateurs capitalistes.
Sur la scène internationale du monde, se joue un drame, le drame fatal de la guerre, de la troisième guerre mondiale, un drame déjà joué naguère sur la même scène européenne, 1914-1918, 1939-1945. Comptons aux bas maux quatre à six ans de guerre, le temps de tuer son peuple, la populace salace qui ne veut pas que les riches s'enrichissent et qui passe son temps à huer ceux qui trichent !
Car un riche triche, sinon il ne serait pas riche, parole de Maastricht !
Non, cette guerre n'est pas voulue par les djihadistes, mais depuis longtemps conçue par une caste mondialiste prête à tout détruire pour tout avoir et que vous n'en puissiez rien savoir, en proposant de tout reconstruire à ceux qui n'auront plus rien, à ceux à qui ils auront su nuire, à ceux qui vont devoir fuir, pour finir vaincus et nus entre les mains de ces milliardaires corrompus et rompus à l'exercice de tout mandat politique.
Allez, je prends le pari que, dans l'avenir, la vie d'un homme vaudra moins cher que la viande de porc sur le marché du monde.
Qui a tort ?
La France vient de perdre sa place dans le monde.
La France vient de se vendre pour offrir une place de commissaire européen aux affaires économiques, quitte à vendre à perte ses fruits et ses légumes, quitte à perdre le chantier naval de Saint-Nazaire et ses ouvriers, quitte à perdre son honneur pour l'horreur d'une guerre qui rapporte aux amis de leurs amis, politique des petits crimes entre amis pour une grande guerre entre adversaires de la terre, notre planète.
Soyons honnêtes et donc prouvons que nous ne sommes pas bêtes :
- c'est un contrat gagnant-gagnant pour les amis des riches et un contrat perdant-perdant pour les amis des pauvres.
La gauche vient de placer ses pions sur l'échiquier d'une Europe interlope et salope où les peuples, sous le bâillon et sous les coups de bâton, seront bientôt habillés de haillons.
Dans ce jeu de rôles pas drôle, les cheffaillons se sont distribués les monopoles, ceux de la mort et de la misère.
Qui seront les champions de cette future guerre ?
La Russie.
Et la Chine.
Zidane, pas le footballeur, non, Zid'âne, le bonnet d'âne, l'autre zig de la tatane chez les tartares.
