Lieu de constatation des faits :
Gare de Marseille, la fameuse gare SNCF de Saint-Charles, la gare la mieux gardée de France, là où la célèbre "BCF", Brigade des Chemins de Fer de la "Police aux Fous" de Marseille, la PAF, sévit ou survit, selon les appréciations locales.

La "B.C.F.", c'est le petit bijou de famille du "z'annales", "z'annales" parce que son nom va rester dans "les-z'-annales" de la police nationale de France, "normal" pour un "zonal", c'est à dire pour tout vous dire, le chef de la PAF, chef d'une zone de non-droit, la ville de Marseille, dont l'influence s'étend sur toute la zone Sud des "Frères de la côte".
Banal comme l'odeur du sang frais pour les chasseurs de gibiers français !
Est normal ce qui efface toute mémoire et ouvre au mouroir du futur.

Disparition inquiétante d'une future terroriste ou d'une police aux frontières terrorisée :
Depuis mardi, si c'est pas misère, une jeune "Iroquoise", euh, non, pardon, "Iséroise" (de l'Isère) a tenté une fugue en ut mineur, fuir pour rejoindre la Syrie en guerre et secourir les enfants en galère.
Dans l'heure qui suit ce malheur, le procureur de la république de Vienne décide de lancer un avis de recherche pour disparition inquiétante de cette jeune et jolie citoyenne en folie, la maman très polie l'ayant saisi de ses doutes et de ses peurs. Et comme il redoute une sortie du territoire, il ajoute aussi une mesure d'opposition à la sortie du territoire français.

Epousailles nationales des Djihadistes avec Marseille :
Tous les journaux s'emparent de l'affaire pour que, ni par air ni sur mer ni sur terre, Bonne Mère, la jeune mineure ne puisse échapper aux contrôles d'une police aux frontières, peuchère, "sur les dents"... à Marseille.
Pourquoi "Marseille" ?
Parce que.
Parce que, quoi ?
Parce que.
Parce que, comme l'ont déjà signalé des valeureux policiers de la police aux frontières à l'extérieur des frontières de la France, Marseille est présentée comme la ville "aux mille merveilles" par les passeurs, la capitale des "blanchisseurs", là où tout disparaît et tout réapparaît, surtout les Djihadistes peu peureux et fort heureux à Marseille.
Donc voilà Assia partie pour Marseille, la ville aux mille merveilles, la ville où toute chose paraît bénine, surtout les plus "MAL-ignes".

Retrouvailles familiales à Marseille :
Mais la jeune Assia n'est pas à la noce et vite déchante à Marseille.
En fuite, il faut qu'elle bosse pour pouvoir vivre.
Pas malhabile pour un sou, même si malintentionnée car mal informée au départ, la mineure en fugue trouve du travail à Marseille.
Comme quoi, tout est possible à Marseille pour les "sans-dents", même de travailler, surtout au noir.
Gardez espoir !
Pendant ce temps, la mère de famille, devenue louve car poussée au désespoir de ne pas revoir sa fille si immature, décide de venir elle aussi à Marseille, cette ville où rien ne serait possible, pour retrouver sa progéniture, quitte à écumer les douves des forts de Marseille.
Pas d'avenir pour elle, sans sa fille !

Munie seulement de quelques photographies et armée de son amour de maman pour sa chérie, en une journée, une seule, elle retrouve sa fille démunie dans un bar, à la gare Saint-Charles de Marseille, le fief de la "B.C.F.", la célèbre Brigade des Chemins de Fer de la PAF, la non moins célèbre "Police aux Fous" de Marseille.
Vous dire si son "zonal" est fier, du chef de la BCF, serait un peu mentir et beaucoup médire.
Epilogue pour l'affaire "Assia"
La jeune fille a été rendue à la gendarmerie (encore la gendarmerie ? ) venue spécialement la chercher à Marseille, après que la PAF ne l'ait pas recherchée là où elle se trouvait, dans un bar, à la gare Saint-Charles de Marseille, l'endroit le plus surveillé de Marseille, avec l'aéroport, il paraît.
Pourtant la bise n'étant pas encore venue, la PAF de Marseille n'aurait pas dû se trouver à ce point dépourvue. Après avoir chanté tout l'été la chanson de la radiation d'une syndicaliste non djihadiste, que sera-ce, cet hiver, au vent mauvais du terrorisme islamiste, un terrorisme pervers qui se joue de tous les contrôles de la PAF de Marseille ? Ce ne sera pas drôle, ou alors encore plus drôle, à l'envers du décor de la PAF de Marseille.
Si elle contrôle les Djihadistes, la PAF de Marseille ?
Quelle drôle de question, meuh non !
Elle préfère contrôler les syndicalistes et les faire radier des cadres, pour les faire taire.
Qui a eu le plus tort dans cette affaire de radiation des cadres partie de Marseille ?
La syndicaliste d'avoir alerté sur l'état de la PAF de Marseille ou le ministre de l'intérieur d'avoir fait taire la syndicaliste, pour plaire au chef de la PAF de Marseille ?

Qui est le plus ridicule aujourd'hui pour avoir ainsi inversé les responsabilités et renversé la charge de la culpabilité ?
- "Facile, le silence résoud tous les problèmes", pense le ministre de l'intérieur, Bernard CAZENEUVE, lequel pratique la langue des signes pour les muets.
Surtout les problèmes d'incompétence professionnelle !
Faites silence, chut !
Mais gare à la chute.
Apprenez que, si, en politique, milieu débile, l'espérance seule fait vivre par des promesses non tenues, dans la police nationale, c'est la compétence opérationnelle, en milieu hostile, qui permet de survivre dans un stress procédural quasi carcéral, face à une presse de moins en moins cordiale aux traits indélébiles.
Tous vos billets en pétrodollars ne changeront rien à ces affaires de "pétroleuses" djihadistes.
Les incendiaires, ce ne sont pas les syndicalistes, ce sont vos stratégies racoleuses pour des "ré-élections- serpillères", des tromperies de linguistes au verbe si peu sincère qu'il ne trompe plus guère, et encore moins les Français qui ne seront pas vos ré-électeurs.

Cette succession d'affaires à Marseille devrait vous en rappeler une autre.
Il s'occuperait personnellement de ceux qui voudraient me faire taire.
C'était un avertissement écrit dans un article sur ce blog, avant que ne fût prise cette faste décision de radiation des cadres pour Marseille, devenue quelque peu néfaste pour Paris.
Il me demande d'écrire à Manuel VALLS qu'Il attend toujours la réponse à la lettre recommandée avec accusé de réception du 12 septembre 2014, demande engageant la responsabilité du gouvernement VALLS II.
- "Il y aura toujours des gens pour faire leurs courses au milieu des bombes, "VALS-er" pendant que le Titanic s'enfonce, faire l'amour pendant que le Vésuve entre en éruption".
"Le passager récalcitrant" (2007) – de Michiel HEYNS
Que fallait-il faire ?
Peut-être ce que vous deviez faire, en tant que responsable politique et chef du gouvernement, Monsieur Manuel VALLS.
Vous êtes en train de détruire l'image du "super-flic" de gauche, en tournant la page d'un "Premier Flic" de France que vous aviez réussie à écrire, lorsque vous occupiez la place de Bernard CAZENEUVE, actuel ministre de l'intérieur.
Tout s'efface, tout passe et tout se casse, surtout en politique.
