De l'hospitalité chrétienne aux hostilités publiques mais pas païennes !
Seigneur, c'est quoi encore, cette histoire de crèche ?
Te voilà revenu tout nu et tout petit, jeté à la rue par une République qui ne veut pas de Toi.
Elle a la mémoire courte, la République maçonnique, et l'histoire rancunière.
Finalement, sans le savoir, elle fait revivre aux Chrétiens Ton histoire, notre histoire culturelle.
Comme au temps d'Hérode le Grand, les Grands Maîtres de la grande loge de la République ont décidé que le petit Jésus devait être tué, disparaître de la mémoire des hommes, car Il menacerait leur conception du pouvoir.
Oui, ces "laïcs" non chrétiens considèrent le petit Jésus comme une menace pour leur pouvoir temporel, Lui dont le royaume est uniquement spirituel.
Pas de crèche dans les Mairies, bonne mère !
Et pourtant, dans l'histoire, le cocu, c'est bien Joseph.
Et Jésus, c'est bien un bâtard !
L'amour plus fort que les préjugés ? Oui, si on est chrétien.
Bientôt plus de sapin de Noël dans les établissements scolaires, lesquels rappellent la fête de Noël, une fête païenne à l'origine. En effet, sauf erreur de ma part, le sapin nordique ne pousse pas sur des terres orientales. Aujourd'hui, ça sent le sapin, moi je vous le dis, pour nos sapins de Noël, cette hystérie collective christianophobe !, même si j'en ris quelque peu.
Parce que la spécialité-maison de l'Eglise catholique fut la récupération des cultes païens, sous ses diverses formes et divinités ludiques et magiques. Ainsi ses ouailles pouvaient continuer à prier la Fontaine magique, là où était vénérée la déesse Séquana, une fois qu'elle était baptisée dans la religion catholique, renommée et "re-née" la "Vierge noire" ou la "Vierge blanche" ou la "Vierge bleue". Peu importe, elle était, elle est et elle sera toujours là, bien présente au coeur de la France et de ses terres "paganisées" car "christianisées".
Les déesses de l'Antiquité continuent de veiller sur la France et leurs ventres de "mère-vierge" n'effraient pas les rationnels mais les convainquent que la Vie peut naître en terre stérile, comme le grain de blé pousser sur une roche aride.
C'est ainsi que ces "barbares" à la virilité affirmée adoraient des femmes aux manières raffinées qui les protégeaient de leurs démons intérieurs.
Et c'est sans doute pour cette raison que l'Islam, religion de l'aversion de la femme, aura du mal à s'implanter en France, terre des "mères-vierges", de ces femmes impudentes, réceptacle de semailles opulentes, qui sont adorées et vénérées comme des déesses, pas comme des moitiés d'hommes.
Laïcité, là où se cache le machisme régressif d'une société qui veut enfermer les femmes et leurs ventres dans un gynécée "gréco-latin", la "mater" devenant la matrice d'une société formatrice des mâles devenant eux-mêmes le mal pour les femmes.
L'image du petit Jésus dérange plus par son côté "putatif" que par son côté natif juif procréatif d'une religion qui fait naître un homme fait Dieu rendu Homme, le fils de l'Homme, d'une mère célibataire marié à un cocu nommé Joseph, le Saint-patron de tous les cocus de France et de Navarre, c'est à dire les maris catholiques. Le Seigneur fut prévoyant.
Marie, cette vierge si sage, nous renvoie l'image d'une femme émancipée qui a accepté de suivre sa voie, d'écouter ses voix, comme Jeanne d'Arc a écouté ses voix et suivi sa voie , cette autre femme émancipée, une "guerrière", la première pour donner naissance à une religion, l'autre à une nation, en la libérant de ces occupants étrangers. Etonnez-vous après que les Français parlent mal l'anglais !
La religion chrétienne est subversive. Son message n'est pas si sage qu'il y paraît. C'est pour cette raison que les Chrétiens ont pu être des païens et rester des païens, ces "vilains" paysans, ou ces paysans dits "vilains", attachés à leurs terres comme leurs seigneurs de guerre. La France a un visage de femme libre et son buste, en place dans toutes les mairies de France, (mairies, pas "paieries", de la mère et non du père) a été baptisé "Marianne" par la nouvelle religion laïque de ces derniers siècles.
Par conséquent, le petit Jésus né d'un père putatif et de cette vierge-mère, union qui contrarierait beaucoup de nos opposants au mariage pour tous, est rejeté aujourd'hui par une nation "bienpensante" qui se dit "la-hic-ïque-hips, hips" au nom d'une éthique qui place la femme au coeur du foyer, mais pas au coeur de l'Homme.
Non, les Chrétiens n'étaient pas et ne sont pas racistes.
Leurs vierges sont noires et Jésus aussi.
C'est quand il grandit, comme Michael JACKSON, qu'il blanchit.
Mais jamais Jésus, même devenu blanc pour les blancs, ne devient machiste.
Jésus était noir, mes frères, ou "très bronzé" !
La nouvelle vestale vêtue de voiles, couverte d'une toile noire, entretient le feu du foyer de la haine et doit rester vierge, vierge du regard des autres hommes, vierge de tout contact corporel, vierge même après avoir été mère, vierge de manière irréelle, pour tomber dans une guerre réelle et nous faire retomber dans cette guerre des sexes qui est la vision "orientale", sudiste et machiste d'une femme soumise à l'homme, la désillusion du genre humain.
Fornication, procréation, tout doit être sous contrôle. Non, petit Jésus, ce n'est pas drôle ! Quelle idée aussi de naître pauvre ? Tu serais riche, ton portrait serait affiché partout sur nos murs, nouveau mécène de cette culture du Q et du Qlte du Veau d'Or. Il suffit de rentrer dans n'importe quelle mairie de France pour y trouver le portrait de nos "César" à qui les Français vouent un culte désespéré et désespérant.
- César, du travail !
- César, de l'argent !
- César, j'ai faim !
Mais ce clientélisme religieux qui ne dit pas son nom est toléré, lui... jusqu'au jour où les Français, fils d'un autre dieu, celui du Qlte qu'ils adorent, l'or, silencieux aujourd'hui, décideront de tuer le Père, ayant déjà tué le Fils.
Il restera... rien, ah si !, un dieu lointain qui ne sera pas l'Homme, qui ne sera plus l'homme, petit Jésus. T'iras crécher où Tu veux, avec ta gueule de métèque, Toi qui ne veux être pour nous que ce que nous voulons bien que Tu sois pour nous. Nous serons tous des Juifs errants dans ce monde sans dieu à visage humain.
Par contre, la fête du Ramadan, qui n'est pas une fête religieuse qu'on se le dise et qu'on ne médise point, a trouvé à "crécher" dans la Mairie de Paris, sans qu'un recours administratif soit déposé contre le Maire de Paris.
[ La mairie de Paris fête le Ramadan. Et le principe de laïcité ? Mauvaise idée
Publié le 03-07-2014 à 13h10 - Modifié à 14h52
Par Olivier Maillebuau et Fabrice Moulin
Élus parisiens du Parti radical de gauche
LE PLUS.
Le 9 juillet, la mairie de Paris organise une réception pour célébrer le début du Ramadan. Une fête qui n'est pas du goût de tous les élus parisiens, qui dénoncent une initiative allant à l'encontre du respect de la laïcité. Parmi eux, ceux du Parti radical de gauche, qui co-signent cette tribune collective. ]
Édité par Rozenn Le Carboulec
Sans doute que les Musulmans de France ont un guide plus puissant qui sait convertir en pétrodollars les réticences et résistances de nos Républicains laïques, élus politiques machistes pour qui une religion qui interdit aux femmes "impures" de pénétrer dans une salle de prière commune (commune pour les hommes seulement) est une religion "acceptable", car respectueuse de nos lois républicaines.
Ont-ils mangé l'Agneau pascal à cette fête du Ramadan, nos élus politiques si peu regardants sur le droit des femmes ?
Et si peu regardants sur le droit de ces animaux qu'ils viennent de reconnaître comme étant des "êtres sensibles", sensibles au point de pouvoir être égorgés vivants, puisqu'ils ne ressentiraient rien, ces êtres sensibles ?
Quand un moine bouddhiste, Mathieu RICARD, écrit un livre pour nous interpeller sur la souffrance des animaux tués de manière horrible dans les abattoirs, nos élus politiques construisent, eux, des abattoirs laïques avec des "locaux" cultuels musulmans, exception culturelle oblige, s'il vous plaît, pour l'égorgement de moutons vivants non assommés ou non endormis "avant", avant qu'un homme non humain ne leur tranche la gorge.
Pourquoi les Bouddhistes n'ont-ils pas de problème d'intégration en France ?
S'ajoute le fait que ces rites barbares et sanglants rapportent de l'argent à une religion, la religion musulmane, au nom de la laïcité bienpensante, je suppose, une forme de charité publique consentie par tous les contribuables français. Pourtant "charité bien ordonnée" commence par soi-même et commande de s'occuper des siens propres.
Et les animaux, qu'est-ce qu'ils en pensent de votre laïcité à tangente variable , mesdames et messieurs les élus politiques de tous bords ? Qu'elle est comme vous, cette laïcité, très variable, très, très variable et surtout cruelle pour eux et "christianophobe" pour nous ! Que votre laïcité est commandée par une soif de l'or noir qui devient pour eux une soif de sang, de leur sang ?
C'est un peu ça, le "Suicide Français", c'est être "bêtes", non ?
Et renoncer à tenir tête pour avoir de l'or dans sa bourse.
"On" peut perdre la tête et sa tête, à ce petit jeu-là, ce jeu de la bourse ou de la vie.
Tendre le couteau à ceux qui écornent nos lois et égorgent leurs bêtes selon un droit cultuel, pour jeter dehors, au nom de l'or noir et de ses pétrodollars, le petit Jésus, Seigneur !, pourquoi tant de haine contre la France, ce visage de femme ?
Où est passée votre flamme laïque lorsque vous construisez des centres culturels musulmans, avec en leur sein, des lieux de culte musulman interdits à la prière des femmes, vous, élus de tous bords qui payez par vos subventions publiques des Imams, employés sous couvert d'une association à but non lucratif, une religion, la religion musulmane ?
Tags à la mosquée de Pau: l'imam avoue en être l'auteur
Publié le 14/11/2013 à 17h15 Mise à jour : 15/11/2013 à 07h42
Les tags avaient causé un vif émoi, fin octobre. (Marc Zirnheld Archives PP)
[ La police avait ouvert une enquête après la découverte de tags injurieux réalisés à la peinture verte fin octobre sur la mosquée de Pau, avenue de Buros.
Aucune piste n'avait abouti. Mercredi, l'auteur est venu spontanément se dénoncer au commissariat (peut-être pris de remords ?) : il s'agit de l'imam lui-même. Salarié de l'association cultuelle, cet homme âgé d'une cinquantaine d'années aurait agi ainsi dans le cadre d'un règlement de comptes interne.
Il est convoqué au tribunal le 8 janvier prochain pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité.]
Bande d'hypocrites !