C'est le lundi de Pâques !
Je suis chrétienne.
"Tu/vous es/êtes musulman";
Non, "tu/vous es/êtes l'Islam".
Jésus est ressuscité.
Et moi, je vais écrire un article à la demande de MAHOMET, du Prophète MAHOMET.
"Jeudi saint", des étudiants chrétiens noirs ont été massacrés par des "Islamistes", des Musulmans qui se réclament de l'Islam et qui ont trié entre les "mécréants" et les "Musulmans".
Les "mécréants", ce serait les Chrétiens, selon eux.
Donc j'écris.
Je relirais après et je corrigerais la "dictée" s'il y a des fautes d'orthographe ou "d'expression syntaxique", puisque l'écriture sera jetée sur le papier comme une encre fraîche, l'encre d'une pensée étrangère.
Parfois la pensée est reçue sous forme de concepts.
L'écriture, elle, est perçue par des mots, des mots trop petits pour contenir la pensée d'un Prophète tel que MAHOMET.
L'Islam mourra s'il ne meurt pas pour renaître.
Parce que l'Islam se meurt.
Son coeur s'est arrêté de battre.
Un coeur qui ne sait plus aimer et qui ne fait qu'haïr, est un coeur mort, dit MAHOMET.
C'est lui qui vient de me demander de rajouter le "dit MAHOMET".
Vous ne pouvez plus continuer à asseoir l 'Islam sur un coeur de pierre.
Tous les pélerinages du monde, dont celui de la Kaaba, ne vous laveront pas du sang des victimes de cet Islam qui n'est pas le sien.
MAHOMET explique qu'il rejette si fort cet Islam de mort qu'il ne veut même pas que j'écrive :
- "de cet Islam qui n'est pas le mien".
Ce que j'aurais dû écrire puisque c'est lui qui s'exprime.
Le Prophète me demande de bien le faire comprendre :
- Cet Islam n'est pas le sien. Donc, même lui rejette ce possessif "mien" à la première personne du singulier, sa personne, lorsqu'il s'exprime à la première personne du singulier.
Tuer est un geste de mort.
Ce geste, le Prophète a voulu le restreindre, même lorsque vous tuez des animaux.
Le rite "halal" de l'abattage, ce rite qu'il lie, MAHOMET, à la pratique de la Pâques, a été institué pour vous rappeler que tuer n'est pas permis par Dieu, Allah, sauf en des occasions exceptionnelles.
"Sacraliser" ce geste, c'était le rendre rare.
Vous en avez fait un geste banal.
Vous l'avez dévoyé.
Pire, aujourd'hui, des milliers, des millions d'animaux sont sacrifiés, assassinés (c'est son expression) à la chaîne pour satisfaire vos instincts carnivores.
Plus vous mangez de viande, plus vous devenez carnivore.
Autrefois, tuer un mouton, un agneau, c'était sacrifier une partie de son troupeau.
C'était exceptionnel.
On ne tuait pas "à la légère" un animal.
Le sacrifice de l'animal pour l'homme devait être presque consenti aussi par l'animal, sanctifié par le rite halal.
Le rite halal permet de se laver les mains du sang de l'animal, sang impur non pas parce que l'animal est impur, mais parce que tuer est interdit par Dieu, répète MAHOMET qui me demande d'insister sur cette interdiction.
Aujourd'hui, vous tuez à la chaîne des animaux martyrisés dans des conditions de transport et des conditions d'admission dans les abattoirs cruelles et indignes des bêtes que vous abattez.
L'homme, le croyant, qui tue un animal sait qu'il ne doit le faire qu'exceptionnellement.
C'est un éleveur qui sacrifie une de ses bêtes, c'est à dire, un "compagnon" (sic) [je cherche dans ma "tête" si je traduis bien le terme "compagnon"], une vie à naître, puis née pour le servir et mourir pour lui, l'homme, afin de nourrir l'homme, son maître.
Le rite halal, ce n'est pas seulement tourner la tête ou le corps de l'animal en direction de La Mecque !
C'est surtout se tourner vers Dieu et remettre à Dieu, l'auteur et le compteur de toutes vies, cette vie que l'homme lui prend pour se nourrir.
C'est pour cette raison que ce geste de "tuer" doit être et rester exceptionnel, insiste MAHOMET.
Si vous n'avez pas le respect de la vie, de la vie animale aussi, vous ne pourrez pas avoir le respect de la vie humaine.
Vous êtes devenus des bêtes, pire que des bêtes, parce que vous tuez des animaux non plus pour vous nourrir, mais aussi pour votre plaisir.
En effet, il n'est pas nécessaire à l'homme de se nourrir d'autant de viande !
Cette viande qui déborde de vos "coffres" froids et qui vous rend aussi froids que la mort vis à vis de la mort de ces animaux.
L'Islam va disparaître, contrairement à ceux qui pensent "bêtement" que la reproduction animale sexuelle, la loi du grand nombre par le ventre, permettra la domination de l'Islam sur le monde.
L'Islam est en train de disparaître parce que vous n'êtes pas les représentants de l'Islam.
L'Islam est né d'un constat qui est que Jésus a été renié par les Chrétiens, par beaucoup de Chrétiens tombés dans l'idôlatrie et les plaisirs matériels.
L'Islam ne combat pas le CHRIST, dit MAHOMET.
Ma religion [ Veuillez noter le possessif à la première personne du singulier "Ma" ] vient parfaire un message mal compris des premiers Chrétiens qui est le message de Jésus, d'Issa.
C'est le Prophète MAHOMET qui me demande d'écrire "Jésus" sous son nom "musulman" "Issa".
"L’Heure n’aura pas lieu tant que ‘Issa, fils de Maryam, (paix sur eux) ne sera pas descendu pour être un juge équitable et un chef juste."
(Sounan Ibn Madja, 10-340)
MAHOMET ajoute :
- "Si vous tuez "Issa", vous me tuez aussi. Et vous ne connaîtrez jamais l'avènement de Dieu sur cette terre. Mon passage aura été vain. Et vos vies sont déjà condamnées par avance."
- "Si vous tuez un "Chrétien", vous tuez "Issa".
"Issa" reviendra vous juger et je serais à ses côtés.
MAHOMET me demande d'écrire :
- Que celui qui prétende le contraire, que ce n'est pas "Issa" qui doit revenir nous juger, qu'il vienne me le dire !
Cet imbécile (sic) ne trouvera aucune parole de ma bouche critiquant "Issa".
Mais il trouvera la mort et ne ressuscitera pas.
[Je ne suis pas suffisamment érudite pour savoir si ce que j'écris sous la dictée d'un Prophète qui dit être "MAHOMET" correspond à ce qui est déjà dit par lui dans "al Qur-an", en arabe, conçu et voulu par lui ainsi. MAHOMET n'aime pas quand je doute, mais moi je doute de tout. Je ne suis qu'une "mécréante". J'attends donc que des théologiens musulmans viennent me contredire et prouvent que ce n'est pas leur Prophète qui s'exprime.]
MAHOMET demandera compte à ceux qui se prétendent musulmans de la mort de l'Islam.