Ils sont entrés.
Ils ont crié : "Allahou Akbar !"
Et ils ont tiré.
Et ils ont tué le rire, ils ont tué l'humour, ils ont tué l'amour.
Il reste le silence et la haine, comme ce sentiment de peur, ce linceul blanc qui s'étend lentement sur la France pour la couvrir d'un drap noir et nous couvrir d'un profond désespoir, pendant qu'il faut recouvrir les corps qui vont partir à la Morgue.
Un petit tour et puis s'en vont.
Ils sont apparus et déjà ils ont disparu.
COLUCHE est là.
Il veut le rire contre mourir.

Il faut "bombarder" l'Islam et son Prophète de blagues et de dessins pour faire rire.
Il faut sortir de cette "fatwa", l'exécution publique de nos humoristes, sous nos yeux, et de leurs protecteurs achevés à terre à cause de la condamnation de débiles graves, d'imbéciles qui se gavent de sang et de larmes.
La France doit convier Voltaire et les défenseurs des libertés publiques pour montrer qu'elle n'a pas peur. Il faut en finir avec un droit de la presse qui a autorisé, par sa lâcheté et sa mocheté, ces exécutions publiques. Le droit de la presse, frileux et pustuleux, exhale aujourd'hui la bienpensance médiatique et la fausse bienveillance politique des ennemis de la liberté d'expression, au nom de la vanité de petits "egos, gros détenteurs de comptes bancaires.

Tous les journaux de France doivent accompagner, en riant, ceux qui sont partis et qui vont revenir dans nos rires et dans nos "délires" burlesques, parfois grotesques et aujourd'hui dantesques.
Edwy PLENEL, dans votre défense systématique des Musulmans, vous me faites penser à Jean-Paul SARTRE qui s'aveuglait sur le stalinisme parce qu'il ne fallait pas condamner le communisme. Ce grand philosophe a ainsi glissé vers un collaborationnisme qui l'a déshonoré et reste comme une tache dans son brillant parcours intellectuel.
Au contraire, Albert CAMUS, lui, a toujours refusé de faire passer une idéologie avant l'homme, avant l'humain et sa souffrance.
http://jonathanutz.wordpress.com/2011/11/03/cocktails-molotov-et-islam/

Demain, il faudrait fleurir, non pas les tombes, mais les journaux, tous les journaux, de jeux de mots sur l'Islam, pour chasser les maux et les vilains mots, plutôt que d'accepter que des femmes et des hommes soient abattus comme des chiens par des fanatiques musulmans important en France leur haine de la culture occidentale, c'est à dire leur haine de la culture chrétienne.
Demain, il faudrait sortir des dessins et ressortir les caricatures sur MAHOMET pour prouver à tous ces fous d'Allah que la France n'a pas peur... pas peur de s'amuser encore, quand la mort frappe des amuseurs publics qui sont nos amis, parce que des tueurs ont décidé de ce qui doit être dit et écrit.
Demain, nous saurons si les journaux se plient devant la "fatwa" de Musulmans qui ne supportent pas qu'on critique leur religion.
Demain nous saurons, nous les Français, si nos journaux décident de "résister" au craquement du billet américain et aux cris des pétrodollars, s'ils publient ce qui a coûté la vie à des journalistes qui eux n'ont jamais tué personne, s'ils publient leurs dessins critiques sur l'Islam!

Quel dessein horrible et terrible de venir en France pour tuer la culture française, l'esprit français et l'humour français !
Allez tous à vos plumes et à vos stylos.
Non à la dictature de la mort !
Vive la liberté d'expression !
Une religion n'est pas une race.
Mais une religion peut tuer si on n'accepte pas qu'elle soit critiquée parce que critiquable.
L'Islam est critiquable comme n'importe quelle autre religion.
Mais l'Islam aujourd'hui pose un problème démocratique et son intolérance à la démocratie devient flagrante, comme un flagrant délit qui conduit à la case-prison ou à l'extradition, pire, comme une exécution publique en plein Paris, dans la salle de rédaction d'un journal qui est le symbole français de toutes les luttes pour la liberté d'expression, pilier de toutes les autres libertés, contre les dictatures de la "Pensée Unique", que cette "Pensée Unique" soit staliniste ou islamiste.
La Pensée Unique, elle est d'abord inique.