La Fête des Lumières devait être une date mémorable pour la France.
Je me demandais quel événement pouvait à ce point Lui plaire pour qu'Il l'inscrive à l'avance dans le calendrier de l'histoire de France, sur mon blog, le 24 août 2014.
Serge LAZAREVIC, l'otage franco-serbe, est libéré.
Il est enfin libre !
Nous le savons officiellement depuis le 9 décembre 2014 par la voix du président de la France, "France-ois" HOLLANDE.
La France a libéré tous ses otages, jour de gloire nationale !
Soyons fiers d'appartenir à un pays qui n'abandonne jamais ses citoyens et d'avoir élu un président français qui ne renonce jamais à faire libérer "ses" otages français.
Vive la France !
Une autre fête des Lumières s'annonce, cette fois-ci, celle de Noël.
Evidemment, d'autres pays vont venir réclamer des comptes à la France, ceux qui préfèrent verser le sang, rançon de la peur et politique de la terreur, plutôt que de verser une rançon pour le prix du sang non versé.
Pour la France et pour les pays latins de culture catholique, l'argent vaut moins qu'une vie humaine. Une dette publique ne doit pas être remboursée, si c'est rançonner le peuple.
La prière des Chrétiens, la prière de Jésus, transmise par Jésus lui-même, est très claire sur la question de la dette publique et des dettes privées. Cette prière est inspirée du Jubilé juif, car Iéshoua est juif et revendique Sa judéité.
Cette prière chrétienne quotidienne est contenue dans le "Notre père" orthodoxe, puisque l'Eglise catholique a préféré effacer définitivement les dettes dans la prière d'origine, préférant y substituer la très vague "notion" moralisatrice d'"offenses" et de "pardon" :
- "Remets-nous nos dettes comme nous les remettons à ceux qui nous sont débiteurs"
(efface nos dettes comme nous les effaçons pour ceux qui doivent des créances)
devenu dans une Eglise catholique soumise au pouvoir temporel de la finance :
- Pardonne-nous nos offenses comme nous les pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
Il est vrai que ça coûte moins cher à un banquier de pardonner des offenses plutôt que d'effacer des dettes.
Sinon qui pourrait être sauvé, s'il fallait que nos riches "banksters" effacent les dettes des peuples et des pauvres, tous les sept cycles de sept ans ?
Jésus le Juif connaissait la valeur de l'argent.
Et c'est pourquoi il conditionnait l'amour de Dieu à la capacité des hommes à libérer les autres hommes du dieu Mammon, à les libérer de leurs dettes.
Une religion des intentions, et non des actes, n'est que pure hypocrisie.
Et Jésus n'aime pas l'hypocrisie ni les hypocrites.
La Torah commande d'observer tous les sept ans une année de relâche (shmita שְׁמִטָּה). C'est une année de jachère pour la terre : pendant l'année de shmita, il est interdit de cultiver et récolter, et de consommer les produits de la terre qui ont été obtenus pendant l'année de relâche. La Shmita est également l'occasion pour le maître d'affranchir le serviteur, et pour le créancier d'aquitter le débiteur.
Maintenant, il vous appartient et il nous appartient de réfléchir à un signe, un autre signe, comme un jeu de pistes à déchiffrer :
- Serge LAZAREVIC est "franco-serbe".
La France a trahi ses engagements envers la Serbie.
Elle ne doit pas trahir ses engagements envers la Russie.
C'est dit, c'est écrit.
Ce fut dit et écrit un peu avant sur le blog de Jean-Pierre MIGNARD, à Sa demande.
Il a choisi l'ami personnel de "France-ois" pour annoncer qu'Il est vivant... Lui aussi, comme "Lazare-EVIC".
Il faut dire que le titre "Gardien des frères" L'a beaucoup amusé !
http://blogs.mediapart.fr/blog/jpmignard/081214/gardiens-de-nos-freres-les-raisons-d-un-livre