OK, je te prête ma plume, le temps d'un article, histoire d'être ou de paraître éclectique, sans esprit critique.
Après je prétends que c'est la brume d'une nuit de pleine lune qui m'a fait prendre ton souvenir pour une présence, en fait la résurgence d'un homme historique qui ne peut plus revenir mais qui veut venir, la régence d'un destin politique qui n'est plus celui de la France. Car une France sans souvenir n'a pas d'avenir, précises-tu.

Tu sais (autorisation donnée pour le tutoiement, alors que Patricia DARRE te présente comme étant très orgueilleux et exigeant d'être vouvoyé ), mourir n'est pas surgir dans le cours de notre temps, venir dans l'histoire du XXIème siècle contrarier nos hommes politiques divers et variés que tu trouves ridicules et donner ton avis, un avis public, sur l'Europe à ces incrédules qui diront qu'il s'agit d'un avis interlope, l'avis d'une "salope" qui se prend pour toi.
Quand je pense que je viens d'écrire un article sur la mégalomanie, bonne mère, mamma mia !
Napoléon était très attaché à sa mère, Laetitia BONAPARTE.
Non, pas toi, mais moi.
Se faire passer pour toi, c'est être mégalomaniaque, avoir la "folie des grandeurs".
Tu réponds à ces paranoïaques qu'ils sont dans l'erreur, que tu as été Empereur, que ce n'était pas une folie mais une réalité historique.
Soit.
Passe encore que les morts du XXème siècle paraissent vouloir s'exprimer par ma voix, mais à quoi sert-il aux corps d'expirer si les morts du XIXème siècle veulent pouvoir aussi faire entendre leur voix d'outre tombe ? Qu'ils trépassent, tous !

Le monde sombre dans la folie.
Le monde, c'est moi.
Oui, je suis mégalomaniaque.
C'est à cause de Frédéric TADEI.
D'ailleurs, vous remarquerez que c'est toujours à cause de lui et par lui que le scandale arrive.
Vendredi soir, dans l'émission "Ce soir ou jamais" que des railleurs jaloux critiquent plus que de raison, étant fous d'orgueil montrant leur déraison, tu as frappé à la porte de ma maison. Evidemment, tu voulais regarder la télévision avec moi. Et pour cause, puisque c'est à cause de Frédéric TADEI que l'émission avait pour sujet le libéralisme et pour objet de ce libéralisme, la Corse, une Corse qui veut résister contre le mondialisme foncier.
Ce matin, alors que je te fuis et que tu me suis, me poursuis, rebelote !
Le Jour du Seigneur a frappé à la porte de la Corse et l'émission se passe en Corse.
L'affaire se corse, et à cause de mon incrédulité, j'ai raté le coche de la synchronicité.
France 2 a passé un contrat corse avec le Seigneur, qu'y puis-je ?
Je n'avais pas envie de passer pour une mégalomaniaque et j'en avais ma claque de cette promiscuité avec toi.
Total, j'apprends que cette parlotte avait du sens et que j'aurais dû me hâter d'écrire sur toi.
- "Passez par la bonne porte !" a dit le bon pasteur d'Ajaccio.
Tu es donc passé par la bonne porte, BUONAPARTE.
C'est Lui qui me l'a dit, BUONAPARTE, comme "Bonne Porte", plutôt "bonne part" ou "bonne lignée", selon certains généalogistes qui écrivent que c'est un probable nom de personne augural ou mystique. Ce nom, ton nom, aurait une PORT-ée mystique, le "bon parti".
Ma foi, s'Il le dit...
La France a toujours eu des signes et des élus signalés, car c'est Son pays préféré, dit-IL.
Il l'a même déjà dit à Marcel VAN, un saint vietnamien, alors que l'Indochine était en guerre avec la France : "- Prie pour la France (le pays ennemi) car c'est le pays que j'aime."
Il a dicté à Joachim, l'Indochinois, une prière pour la France, son ennemi, puisque, je le répète, c'était la guerre d'Indochine.
Donc après, Hugues CAPET, la "tête" de la France, nous avons eu BUONAPARTE, de "bonne lignée" ou la "bonne porte", comme nous avons eu le Général De GAULLE, dont personnne ne pourra nier qu'il portait bien son nom, lui, le libérateur de la France, l'ancienne GAULE.
Mais répète-t-Il, savez-vous lire votre histoire, l'Histoire de France ?

A force de prêter ma plume, je vais devenir professeur d'Histoire de France ou finir conteuse d'histoires à dormir debout, l'errance psychiatrique due à la souffrance médiatique des inconnus, chez les fous, zou !
Parce qu'il se faisait tard et que je rêvais à un autre monde, au minuit de l'Europe, entre un sommeil normal et le sommeil paradoxal, tu es venu dans mon monde, BUONAPARTE. Quelle idée, encore une idée corse !
Il faut que je me lance, même si ma raison me tance de ne pas le faire.
Sinon c'est moi qui vais perdre le sommeil, à t'avoir à mes côtés, à l'état de veille.
Ne me surveille plus, c'est bon, "BON-A-PARTE", je me rends.
Tu as gagné.
Je sais, tu n'aimais pas perdre.
Ok, je m'incline mais je décline toute responsabilité sur tes propos "corses(sés)".

L'Europe est un continent séparé en deux Europe(s).
Je préviens : ce n'est pas de moi, inutile de polémiquer sur ce que je vais écrire.
Si vous voulez le critiquer, allez visiter l'île de Sainte-Hélène qui lui fut fatale ou sa Corse natale.
Peut-être l'entendrez-vous ?

Donc l'Europe est divisée en deux Europes :
- d'un côté, l'Europe méditerranéenne, latine et catholique (je sens que je vais me faire des amis , plutôt qu'il va se faire des ennemis !)
- et de l'autre côté, l'Europe continentale (à l'intérieur des terres), occidentale (au sens anglo-saxon du terme) et protestante.
Napoléon ne comprend pas pourquoi, ni comment, la France qui dominait le monde (Selon toi ! Oui, je rajoute cette parenthèse, même si tu penses que la France peut reprendre sa place dans le monde) a pu se retrouver soudainement sous la coupe de l'Allemagne et d'un lointain continent, l'Amérique du Nord.
Si ! Tu comprends et donnes quelques explications qui vont plaire aux mondialistes :
La France a abandonné sa souveraineté nationale, en abandonnant sa monnaie, le Franc (Stop ! Tu es juge et partie, puisque c'est toi qui as créé cette monnaie). Pourtant nos conquêtes (Tu veux dire tes conquêtes ?) avaient permis à la France d'être à la tête d'un empire colonial (J'ose l'écrire, puisque tu me le demandes) avec lequel, cependant, nous continuons d'avoir des liens privilégiés. Le Franc était d'ailleurs une monnaie qui avait cours dans d'autres pays que la France. (Alors toi aussi, tu vas me faire le coup de la Francophonie ?)

Question : - Quel était l'intérêt d'abandonner le FRANC pour une monnaie EURO-péenne ? (C'est toi qui parles et poses la question.)
En fait, il s'agissait de permettre aux riches anglo-saxons d'imposer une politique économique, la leur, avec leurs critères, dans une Europe réfractaire, une Europe du Sud contestataire, au tempérament latin et coquin. L'Espagne, l'Italie, le Portugal et la France sont des pays libertaires, mais pas au sens où l'entendent les riches négociants protestants.
Dans les pays latins, l'argent n'est pas sacralisé comme chez les Américains où le pouvoir, c'est d'avoir de l'argent, où ceux qui ont le pouvoir sont les larbins avalisés des riches, tandis que les pauvres sont dévalisés, puisque le pouvoir n'a plus de pouvoir politique. Celui qui ne fait pas fortune n'est qu'une personne importune. Sont braves gens ceux qui trichent pour avoir de l'argent et mauvaises gens ceux qui s'en contrefichent.
Les guerres en Europe, voulue par ces riches commerçants d'armes, ont vendu la France à ces libérateurs venus d'outre-atlantique, une France aveuglée par ces larmes, sa souffrance naguère et son désir de paix à tout prix. Et le prix à payer pour le maintien de cette paix nous coûte de plus en plus cher. Les critères économiques imposés par des vainqueurs hégémoniques sont des critères anglo-saxons qui ne "collent" pas avec la réalité française (Je n'arrive pas à traduire tout à fait la pensée exacte de Napoléon pour le mot "coller", "correspondre" ou autre).
L'abandon du Franc correspond à l'abandon de la souveraineté française dans son rôle politique et nécessaire de régulation sociale et de circulation des richesses. La France aurait dû garder, conserver une Banque soumise au pouvoir politique, pour sauvegarder le pouvoir de l'Etat. La plus grave erreur commise par les hommes politiques, les "achetés" (Aujourd'hui on dirait plutôt les "vendus") désignant ces élus qui ne sont élus que par un peuple désespéré en souffrance car exaspéré par leur impuissance, ces élus qui ne sont là que pour donner le change dans un système d'échanges qu'ils ne dominent plus et ne maîtrisent pas, est d'avoir abandonné leur pouvoir aux mains de riches commerçants, des négociants sans scrupules, qui se comportent comme si le monde n'était devenu qu'un vaste marché (Napoléon m'envoie l'image des marchés qui s'étalent dans nos rues, là où tout peut s'acheter et tout peut se vendre, jusqu'à vendre son âme, jusqu'à vendre l'âme d'un pays), élus qui se comportent comme de vulgaires crapules.

On ne vend pas un pays à des marchands d'âmes, encore moins à des marchands de biens. Depuis quand les objets ont-ils une âme ? Depuis quand l'argent domine-t-il le monde ? L'argent est au service des peuples. Aucun peuple ne doit être asservi à cause de l'argent, encore moins un Etat.
Napoléon y voit une utilité stratégique, qui a permis de faire tomber la résistance des peuples. Le pouvoir politique s'est allié au pouvoir financier, en donnant le pouvoir volontairement (puisque tu insistes sur ce point : volontairement) aux banques et aux négoces, en abandonnant lâchement leur pouvoir politique aux mains des marchands de biens.
Pour quelle raison ?
Pour Napoléon, les démocraties actuelles sont des monarchies réelles. Les élites se sont entendues pour se reproduire socialement et interdire l'accès de leurs privilèges aux plus pauvres. Il considère même que c'est encore pire que de son temps où le monarque, où l'empereur pouvait anoblir un homme pour sa bravoure ou pour avoir rendu un grand service à l'Etat. Cette époque est terminée, cette époque est révolue. Les lois sont tordues et les hommes de bonne volonté sont confondus par la mauvaise foi des gouvernants.
Le système bancaire est devenu l'allié des "tyrans" qui prospèrent sur le dos des peuples. Sous prétexte de liberté économique, des lois du marché, le peuple n'a plus aucun droit. Les comptes bancaires et l'obligation de la domiciliation en France de tous les revenus et/ou salaires dans un établissement bancaire sont devenus des outils de domination politique. Les pauvres aux abois sont pressurisés et se retrouvent tout nus, perdant le peu qu'ils ont, un toit pour les abriter du froid. Toute la population française est volontairement (puisque tu insistes sur ce point : volontairement) paupérisée, grâce à une stratégie d'endettement qui se retrouve dans tous les parcours "marchands". L'usure règne en maître, l'usure triomphe et cette usure vient à bout de la résistance des peuples. Chacun a le couteau sur la gorge, grâce à la complicité des Banques.
Ainsi les chefs d'Etat se partagent le pouvoir avec les Banques. En échange, dans cet immense marché mondial qu'est devenu ce monde sauvage et violent, encore plus violent que du temps des guerres anciennes, car les hommes ne peuvent plus se révolter, le lien de sujétion étant individuel, l'outil d'oppression étant virtuel, pourtant réel quand il s'agit de payer la dette, les intérêts, les pénalités, les agios, bref tout ce qui ajoute à la condition d'esclave d'un homme qui se croit libre, les élus politiques deviennent les garants des Banques, banques qui, en échange (libre échange car volontaire) leur garantissent une paix sociale et durable, ayant réduit leurs peuples en esclavage, au nom de la Dette et de leurs dettes.

Napoléon ajoute :
- "Cessez d'avoir peur !
Préférez la guerre à l'esclavage.
Arrêtez de dormir sur des discours soporifiques, vaguement pacifiques, alors que tout se meurt autour de vous et que tout se meut pour mieux vous enchaîner aux tyrans marchands.
Soyez intelligents, reprenez votre liberté !
Un homme libre n'est pas un homme soumis.
Arrêtez de vomir vos tripes dans la rue.
Ne vous laissez plus traîner dans la misère comme des chevaux qu'on mène à l'abattoir.
Entraînez-vous à résister et déchaînez-vous."
L'Europe du Sud a un avenir commercial différent de l'Europe continentale (à l'intérieur des terres).
Arrêtez d'avoir peur de votre avenir, sans espoir !
Les problématiques ne sont pas les mêmes.
Les pays d'Europe du Sud ont des façades maritimes qui sont un appel à la liberté, à se libérer d'un modèle occidental qui est un modèle anglo-saxon.
Les Français, les Italiens, les Espagnols et les Portugais ne sont pas des Anglo-Saxons.
Pourquoi vouloir imiter ceux qui sont différents de vous, alors que vous avez devant vous des espaces de conquête commerciale et des friches industrielles, de l'autre côté de la Méditerranée ?
Pendant que Napoléon développe sa théorie, je me souviens que l'ex-président français, Nicolas SARKOZY, avait débuté l'aventure avec "L'Union pour la Méditerranée" et qu'Angela MERKEL, la Chancelière allemande, avait peu apprécié cette initiative, considérée comme un désir d'émancipation des pays du pourtour méditerranéen, une prérogative commerciale regardée comme une trahison par les pays nordistes de l'Europe :
- « Nicolas Sarkozy, alors président de la République française a émis l’idée, le 6 mai 2007, de créer une Union pour la Méditerranée. Après des négociations difficiles avec les autres États membres de l’UE, l’initiative baptisée « Processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée » a été lancée par l’UE, à Paris, le 13 juillet 2008. Elle visait à donner un nouveau souffle au partenariat, en le dotant d'une gouvernance plus équilibrée et en renforçant sa visibilité. »Source WIKIPEDIA
Franchement, je ne trouve pas que ce fut une réussite.
Napoléon réplique que Nicolas SARKOZY n'a pas su choisir entre l'Europe protestante et l'Europe catholique. Il était, selon lui, fasciné par la réussite à l'anglo-saxonne, le mythe du « self-made man », qui cache une réussite par l'argent, la plus méprisable qui soit, l'argent et le commerce.

Les valeurs guerrières, les valeurs foncières des peuples conquérants ont disparu (Je rappelle que c'est toi qui parles, pas moi !). Au final, ce sont ces valeurs sacrificielles, de bravoure et de courage, d'union nationale qui fondent une belle nation. L'argent au contraire délite cette nation, pourrit l'Etat et ses élites ne sont plus que des crabes qui se nourrissent de cadavres, ceux des enfants du peuple. Oui, ils ont raison de se croire le dessus du panier, ces tricheurs et ces menteurs, élus se pinçant le nez en se suçant mutuellement, habituellement enserrés dans leur paniers de crabes, comme des voleurs enfermés dans une oubliette. Pourtant aucune cachette ne pourra jamais leur permettre d'échapper plus tard à leurs responsabilités, plutôt à leur volonté de ne prendre aucune responsabilité politique vis à vis de ces marchands continentaux qui volent et dépouillent leur peuple.
Le représentant politique, à l'heure actuelle, qui se rapprocherait le plus du modèle « bonapartiste » serait, pour (non, « est » pour Napoléon) Nicolas DUPONT-AIGNAN.
Par curiosité, je vais aller découvrir le programme politique de cet homme. J'avoue que je ne peux pas tous les connaître parfaitement.
Oups, j'ai oublié la Corse !
Tu me dicteras l'article sur la Corse un peu plus tard.
Sinon ce serait trop long à lire.
OK, je vais essayer d'en parler, ou plutôt de te faire entendre sur la Corse, à la suite de cet article. Par un commentaire, un seul.
A vos flingues, à cause de cet article "exceptionnel" qui dézingue les "pro-européennistes" marchands !
S'il y en a bien un qui "ne marche pas" à leurs arguments commerçants, à leurs boniments de menteurs, c'est lui, Napoléon.
Enfin, c'est lui, c'est vite dit, entre le sommeil normal et le sommeil paradoxal, à l'heure de minuit, lors de l'émission : - "Ce soir ou jamais !" sur France 2, une émission qui ne fut pas à l'heure de Jacques DELORS.