Well, it's a new day for a new deal :
- Never tell the truth when a lie will do !
To be alive, you just leave it alone.
What's done is done.

- "Jean-Pierre JOUYET, avez-vous menti ?"
- "Non".
- "Donc vous avez dit la vérité ?"
- "Non"
- "Pardon, on ment ou ou on ne ment pas, non ?."
- "On peut dire la vérité sans la dire ou mentir sans mensonges."
- "Vous en êtes ?"
- "Comment ça, si j'en suis ?"
- "De ceux qui sont francs ?"
- "Mais francs, de quelle façon ?"
- "Comme Jérôme CAHUZAC !"
- "Je n'en suis pas. Moi, je suis franc !"
- "Comme eux, ils sont francs ?"
- "Non pas comme eux. Moi j'en suis vraiment."
- "Vous en êtes ou vous n'en êtes pas, alors ?"
Pour ceux qui n'auraient pas tout compris pourquoi Jean-Pierre JOUYET dément ce qu'il ment avoir dit "franchement" la dernière fois qu'il a dit vrai pour de faux, bien vouloir se référer à la règle d'or du "maçon" pas franc, s'il en est ou pas :
- "Never tell the truth when a lie will do !"

Truth is willy-nilly revelation, not silly veneration.
De toute façon, ils n'existent pas, les francs-maçons, pour de vrai !
C'est vrai, vous connaissez un maçon franc, vous ?
Quand on gère sous la gouverne des loges, on berne le bon peuple de France avec des traités qui dérogent aux paroles dites.
Le temps que le peuple digère ces discours du Bourget, l'euro déloge ensuite le "franc" pas franc, petit roitelet en fuite.
Les trahisons sont maudites, encore faut-il savoir que l'on est trahi.
Les effets de cours peuvent vous prendre de court.
Le mensonge sert à couvrir de ses oripeaux les "argu-ments" à dix balles d'une politique du comique troupier en période électorale, de pied en cap, pas comme Zorro, mais plutôt comme un "z'héros".

Développer la conscience... (trois petits points)
« Mais quand donc en aurons-nous fini avec les emblèmes, les symboles, rocamboles séditieux et politico-religieux, drapeaux et oripeaux ?… Assez, qui qu’en grogne ! Assez comme cela ! […]
— Un emballeur, qui ne s’emballe pas, et qui s’en bat l’œil »
— (Questions, L’Intermédiaire des chercheurs et curieux, vol. 13, no. 294 (10 août 1880), Paris, 1880)
Ne jamais oublier qu'un éléphant, ça trompe énormément !

[ La Cour du Lion
Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître
De quelles nations le Ciel l'avait fait maître.
Il manda donc par députés
Ses vassaux de toute nature,
Envoyant de tous les côtés
Une circulaire écriture,
Avec son sceau. L'écrit portait
Qu'un mois durant le Roi tiendrait
Cour plénière, dont l'ouverture
Devait être un fort grand festin,
Suivi des tours de Fagotin.
Par ce trait de magnificence
Le Prince à ses sujets étalait sa puissance.
En son Louvre il les invita.
Quel Louvre ! Un vrai charnier, dont l'odeur se porta
D'abord au nez des gens. L'Ours boucha sa narine :
Il se fût bien passé de faire cette mine,
Sa grimace déplut. Le Monarque irrité
L'envoya chez Pluton faire le dégoûté.
Le Singe approuva fort cette sévérité,
Et flatteur excessif il loua la colère
Et la griffe du Prince, et l'antre, et cette odeur :
Il n'était ambre, il n'était fleur,
Qui ne fût ail au prix. Sa sotte flatterie
Eut un mauvais succès, et fut encore punie.
Ce Monseigneur du Lion-là
Fut parent de Caligula.
Le Renard étant proche : Or çà, lui dit le Sire,
Que sens-tu ? Dis-le-moi : parle sans déguiser.
L'autre aussitôt de s'excuser,
Alléguant un grand rhume : il ne pouvait que dire
Sans odorat ; bref, il s'en tire.
Ceci vous sert d'enseignement :
Ne soyez à la cour, si vous voulez y plaire,
Ni fade adulateur, ni parleur trop sincère,
Et tâchez quelquefois de répondre en Normand. ]
Jean de La Fontaine. Livre VII

Il n'a vraiment pas de chance, François HOLLANDE, avec ses courtisans.
Ou alors il a la "scoumoune".
Car ça "cartoone" sec chez les artistes-clowns, artisans d'un pouvoir en goguette.
Sachez, cher sire, cirage à pompes, que, pour la gonflette, il faut au moins faire semblant de tenir la baguette, fût-ce sous la houlette d'une jolie bergère.
Pour sûr, il gère la maison, puisqu'il vous dit vrai !
S'il ne ment pas ou plutôt s'il ne dément pas ou plutôt s'il ment vrai pour de faux.
C'était quand avant ?
Avant la décision.

Avant, ce n'était pas après.
Après, c'est toujours maintenant.
Et maintenant, ça dure.
Mon bon monsieur, les temps sont durs pour tout le monde.
On s'occupe comme on peut.
Il s'occupe aussi de vous comme vous vous êtes occupée de moi et me donne du temps pour m'occuper de vous, "gouverne-ment" de gauche sans gouverne.
Grâce au temps que vous m'avez donné et me donnez pour le faire, hors de tout temps professionnel.
Le hasard n'est pas rationnel.
Gouverne :
- Ce qui doit servir de règle de conduite dans une affaire.
Pour votre gouverne !

Ce sera peut-être bientôt Le seul.