Une, deux, trois... PAF !

Eh non, pas à Perpignan.
Pas de valse à trois temps pour la danse des prévots et les contredanses des maîtres-chanteurs.
A Perpignan, c'est la "VALLS" à deux temps qui prévaut sur le temps millénaire d'une justice qui s'étend d'ordinaire sur trois audiences à Paris, ailleurs, très loin de Perpignan, place forte des "frères de la côte", à environ 900 km des côtes méditerranéennes et de toutes sortes de plages, loin de toute haine et règlements de comptes sordides.
La tambouille locale, comme nous le conte l'affaire BOUILLE et ses squelettes toujours pas déterrés, brouille des indices pas concordants du tout, pour couvrir les fripouilles cloaquales de la clique féodale qui gère la bonne ville de Perpignan et ses affaires.
Un record d'audience pour celui qui occupe aujourd'hui la place du "mort", le Maire de Saint-Cyprien, le porteur de valises.

La 17ème chambre au Tribunal de Grande Instance de Paris est la chambre spécialisée en droit de la presse en France, il paraît.
Elle est composée de magistrats spécialisés, chargés de faire respecter la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881.
C'est pour vous dire combien son mode de fonctionnement est "exemplaire" pour tous les autres tribunaux et sa jurisprudence guettée, afin de ne pas tomber dans les guets-apens pas gais d'une justice dérogatoire, le droit de la presse, triste fin pour des bloggers amateurs traités de diffamateurs par des menteurs.
Sauf à Perpignan, exception clientélaire d'un patronat dissimilaire !
Perpignan n'attend rien.
Car à Perpignan, on n'a pas besoin de suivre l'exemple de la XVIIème Chambre spécialisée en droit de la presse, surtout quand le temps presse, s'agissant de disculper un chef de service qui pourrait se retrouver mis en examen dans.. une, deux ou trois semaines, à cause d'une instruction ouverte par un juge d'instruction de... Perpignan.
A Perpignan, on sait mieux qu'à Paris ce qu'il faut faire, pour ne pas salir l'honneur de la police nationale.
Faire taire ceux qui parlent !
Qu'importe s'ils partent ou sont déjà partis, remerciés, suicidés ou... tués.
Chez les "Francs-Mafieux", "l'omerta" est la règle institutionnelle pour rester insoupçonnable.
Une règle aujourd'hui inscrite dans le "Code de Déontofolie" de la "Police aux Fous", le Paradis irrationnel des Frangins.

M'enfin !
Pour quelle raison saisir la chambre spécialisée en droit de la presse du TGI de Paris, le centre des affaires judiciaires de la France, plutôt que le Tribunal Correctionnel de Perpignan ?
On se le demande.
Pas longtemps, car on a rapidement la réponse.
Parce que les frères de la côte gardent l'espoir, à Perpignan, à Montpellier ou à Marseille, de gagner un procès qu'ils perdraient à Paris.
C'est connu, trop de règles tuent le droit.
Le compas et l'équerre suffisent à rendre droit les angles torves de procès douteux.
Nos "maçons" doivent se ressaisir et agir vite.
Donc, pourquoi s'embarrasser d'un jugement pour plaidoirie quand un seul jugement suffit à se débarrasser d'un témoin gênant qu'il faut faire taire ?
Veuillez noter la rapidité d'exécution pour ce procès en diffamation exemplaire !
Sans présence de la défense ni de la prévenue.
Audience pour consignation, point.
Point d'audience pour fxation d'un calendrier de procédures.
Aucune précision sur une audience pour plaidoirie ou jugement au fond.
Citation à comparaître pour faire disparaître un prévenu insuffisamment prévenu.
Et donc pas venu, sinon il aurait été malvenu de comparaître !
C'est à Perpignan qu'il a appris le droit d'être un malappris, l'huissier des affaires d'embrouilles, le même que celui cité dans l'affaire BOUILLE.

N'oubliez pas le 66 !
22, v'la les flics.
06-66, 13, les chiffres qui font MAL, très MAL.
http://www.maitre-eolas.fr/post/2005/10/21/208-de-la-procedure-et-de-la-presse
Le Figaro du jour fournit une nouvelle démonstration de la maîtrise de la procédure par les journalistes :
CITÉ à comparaître hier au tribunal de Bobigny par le Mrap pour «incitation à la haine raciale», Philippe de Villiers ne «regrette en rien» ses déclarations sur «l'islamisation progressive de la société française». L'audience, à laquelle il ne s'est pas rendu, portait sur la forme, une audience sur le fond devant intervenir le 19 janvier.
(Le Figaro du 21 octobre 2005, auteur : Guillaume Perrault).
C'est quand même curieux, la justice, avec des audiences sur la forme où les prévenus ne se rendent pas. [...]
[Concrètement, la partie civile rédige la citation et la présente au parquet, qui fixe une date d'audience. Cette première audience est dite "de fixation". Le tribunal va examiner la régularité de la citation, puisque c'est cet acte qui le saisit. Si elle est régulière, le tribunal va fixer une consignation, c'est à dire une somme (généralement 1000 euros) que la partie civile devra déposer au régisseur des avances et recettes du tribunal dans un délai qu'il fixe (généralement un mois). Si cette consignation n'est pas effectuée, la citation est irrecevable. Cette consignation pourra être convertie en amende civile par le tribunal en cas de citation manifestement mal fondée, sinon elle sera restituée à la partie civile à la fin du procès. Les parties civiles bénéficiant de l'aide juridictionnelle sont dispensées de consignation. Le tribunal fixe enfin une nouvelle date d'audience où il constatera que la consignation a bien été effectuée, et généralement retient dès cette première audience une date pour l'audience de jugement, en ménageant en accord avec les avocats le temps nécessaire pour l'examen de cette affaire. Il peut arriver dans des juridictions peu chargées, que ce soit la même date.
A la deuxième audience, le tribunal constate que la consignation a été versée (le régisseur en informe le tribunal), et confirme le calendrier de procédure.
A la troisième audience, enfin, le tribunal juge les faits. C'est à cette audience seulement que la présence du prévenu est nécessaire. C'est "l'audience consacrée au fond" que cite le journaliste.]
Trois audiences, pas deux pour le prix d'une seule, celle manquante !
Surtout quand les deux citations portant sur les mêmes articles citent la prévenue que je suis à comparaître pour une audience de consignation, où je n'ai rien à y faire, pas plus que mon avocat.

Encore un porteur de valises !
Procès Bouille : l'avocat suisse réclame que "les juges soient amenées par la force"
Le 13 février à 14h29 par Laure Moysset | Mis à jour le 13 février
[...]
Comme le dit mon avocat, Maître Anthony BEM :
- "Mme HURTADO, décidément dans vos affaires, les irrégularités s''accumulent."
C'est un doux euphémisme pour un constat sans appel.
Sans doute que de citer Maître Eolas dans mon article, blogger qui fut un jour invité par Nicolas SARKOZY soucieux de ménager sa "E-réputation", ne vous paraît pas très sérieux.
Il faudrait mieux le faire citer à comparaître, comme témoin attestant de la bonne régularité des procès à Paris, Perpignan restant néanmoins "el Centre del Mon" selon le fantasque peintre catalan, Salvador DALI.

A Perpignan, "on" ne bourre pas les urnes.
"On" bourre les chaussettes !
http://robertmarty.unblog.fr/2011/01/23/el-centre-del-mon-clin-doeil-ou-delire-perpetue/
23 janvier, 2011
« El centre del món »*: clin d’œil ou délire perpétué ?
Classé dans : Glocal — robertmarty @ 9:49
[ En créant « El centre del món » la ville de Perpignan prétend « relever les défis du XXIe siècle ». Y sont réunis une gare TGV, un centre commercial, un centre d’affaires et deux hôtels. Sa dénomination trouve évidemment sa source dans les circonvolutions de la vision dalinienne du monde. On peut réduire sa portée à cette simple référence. C’est la visée de la communication officielle. On pense pouvoir bénéficier sans aucun risque de la notoriété du Maître Catalan. Cependant c’est malgré tout un alea que de situer aussi nettement cette réalisation urbanistique dans le champ de l’irrationalité surréaliste accolé au nom de Salvador Dali. Il est possible que la signification agissante, celle qui détermine attitudes et comportements, se loge dans les méandres de sa pensée. Dans cette perspective un bref examen de sa méthode « paranoïaque-critique » nous sera d’une grande utilité. Elle pourrait nous permettre d’appréhender le vécu du visiteur ou de l’usager qui se trouve immergé dans cet espace … et d’évaluer les risques encourus ]
Tout est dit par un "blogger" catalan, Robert MARTY, un Catalan qui n'a même pas peur, un sémiologue, c'est vous dire !
Bis repetita pour le plaisir de ne pas mourir idiots :
[Cependant c’est malgré tout un alea que de situer aussi nettement cette réalisation urbanistique dans le champ de l’irrationalité surréaliste accolé au nom de Salvador Dali. Il est possible que la signification agissante, celle qui détermine attitudes et comportements, se loge dans les méandres de sa pensée. Dans cette perspective un bref examen de sa méthode « paranoïaque-critique » nous sera d’une grande utilité. Elle pourrait nous permettre d’appréhender le vécu du visiteur ou de l’usager qui se trouve immergé dans cet espace … et d’évaluer les risques encourus.]
Idiots comme "el burro catala" ?

No olvides :
- "Es sintomatico que dos de los simbolos catalanes sean el burro catalan y el caganer !"

En France ou seulement à Perpignan ?

Attention !
Grande lessive perpignanaise, dans la continuité de l'affaire BOUILLE qui semble tant réjouïr Jean-Luc DOOMS, le président du Tribunal Correctionnel :
- nous allons procéder à un test, un test de propreté, c'est à dire un test d'honnêteté.

Le président du tribunal Jean-Luc Dooms (au centre) se donne jusqu'au 21 février pour statuer. PHOTO/ PHILIPPE ROUAH
Dans mon cas, le président du tribunal Jean-Luc DOOMS se donne jusqu'au ... (secret, very secret date) pour juger l'injugeable audience d'un procès sans défense !
Assisterons-nous à un "boom"

le "Big Bang" d'une nouvelle ère judiciaire ?
Ou, au contraire :

- à l'exposition médiatique des "frères-gangsters" de Perpignan, jusqu'à l'explosion politique ?
Quelle explosion politique ?
A votre avis ?
Vous espérez quoi ?
Vous pensez que les Français vont pouvoir supporter toutes ces injustices pendant combien de temps encore ?
Jusqu'à la révolution, la révolution française ou la révolution... islamiste, islamiste et française, française et islamiste !
Jusqu'au "boom" que je ne souhaite jamais être celui d'une explosion nucléaire !