J'avoue que je doute.
Mon moteur est le doute.
Je suis un véhicule qui marche au doute, surtout quand je redoute le pire, comme un futur qui serait un catalogue pour nécrologues.
Je ne crois pas.
Croire ne fait pas partie de mon vocabulaire.
Je vois ou je ne vois pas.

Je sais ou je ne sais pas.
Je vais où je ne vais pas, pauvre hère, certainement pas où souffle le vent mauvais de la haine.
Je souhaite le meilleur pour mes enfants dans l'avenir de cette humanité dont ils font partie, pas le pire.
Donc, avant d'écrire sur ce qui pourrait être le véhicule de la peur, il faut réfléchir, bien réfléchir, réfléchir entre le Bien et le MAL, ce qui serait pire, se taire et ne pas écrire, par exemple, peut-être ou peut-être pas, parce que le régime de la Terreur éteindra toute lueur d'espoir. Car comment ne pas se souvenir de la Bête noire des bêtes à cornes dans un jeu de cartes où offrir la misère vous rend vainqueur des pauvres hères ?
C'est le 15 août, une date "mariale", la fête de "Marie/Myriam", une date qui unit Chrétiens et Musulmans pour ceux qui veulent bien se rappeler que le Prophète MAHOMET a consacré l'Immaculée Conception, bien avant l'Eglise Catholique, dans le Coran, reconnaissant sa virginité, la conception par Dieu d'une vierge-mère pour donner naissance au plus grand prophète de tous les prophètes, Iéshoua dont le nom signifie "Dieu sauve".

Et hier, c'était hier, un jour de prière "normal" où toute fière j'osais m'adresser à qui ?, au fait, à qui ? doutant de Lui car redoutant un avenir qui n'est pas celui de mes désirs. Où fuir s'il devait advenir tant de guerres et tant de misère ?
OK, ce n'est pas Ta terre ni Ton royaume. Tu n'es pas le "garde-chiourmes" de tous ces chieurs qui foutent la chienlit parce qu'ils Te renient et préfèrent l'argent aux gens, l'arme du "Diviseur", celui qui T'offrait justement tous les royaumes de cette terre, la sienne, en échange de Ta soumission et de Ton adoration envers lui, l'Archonte de ce monde.
Au fond, très au fond des enfers, les entrailles de cette terre, je me posais cette question, une question que m'avait posée une collègue : - "Pourquoi as-Tu, Toi (pas moi, mais un peu moi aussi) refusé toute Ta vie de devenir un Roi, le Roi de cette terre (et quant à moi, un petit chef, celui qui prend du grade et de cet argent qui dégrade l'âme, en se prenant pour le "roi du monde"), oui, pourquoi ? Pourquoi refuser de l'avancement ou de devenir le Roi du monde ?"

Parce que Tu n'aimes pas faire la guerre, ce que préfère faire SATAN, l'Adversaire des hommes. Rien ne lui plaît tant que de foutre la chienlit et de siffler ses chiens de guerre dans ce monde immonde.
Donc j'ai douté, comme à mon habitude.
Je n'ai pour seule certitude que le doute jusqu'à ce que l'événement se produise.
L'événement ou l'avénement d'un monde nouveau ?
En attendant le monde nouveau, il va falloir traverser une mer démontée avec ou sans Toi.
Chacun(e) fera son choix.
Si Toi Tu sais marcher sur l'eau, peu savent nager à contre-courant, et ceux qui suivront le courant de la haine ne seront pas au bout de leurs peines.

Tout ça pour de l'argent, cet "As qui court", cette "Bête noire" qui va emporter tous nos espoirs de vie, ou plutôt de survie, pour avoir l'air de ne pas être un hère qu'on enterre sous des "cache-misère", parce que la pauvreté fait peur comme la lèpre au Moyen-Age.
Craignez davantage la richesse qui tue, qui tue ceux qui sont pauvres, que la pauvreté qui sauve, même les riches, de l'Enfer, un enfer sur terre qu'ils ont créé pour les autres, les pauvres, pour avoir un paradis uniquement pour eux, les riches. L'Enfer les attend, ces riches qui n'avaient point besoin de Dieu, puisqu'il leur suffisait de tuer l'autre, celui qui est pauvre. En effet, le Paradis, c'est être avec Dieu. Or on ne peut pas avoir été sans Dieu avant et vouloir être avec Lui après.
Il faut choisir avant.

Tant pis,il faut que je l'écrive et que je décrive la future réforme territoriale vue par Lui, la réforme territoriale d'une France qui se déforme jusqu'à devenir informe et méconnaissable.
Je cherche les mots à coller sur des images qui n'ont pas eu de textes, ni de sous-titres pour la malentendante que je suis.
OK, c'est un peu un prétexte pour ne pas écrire, je l'avoue.
Et si je ne trouve pas les mots ?
M'en voudra-t-Il de ne pas décrire ces maux, puisque je ne sais pas les écrire ?
Je suis un tantinet tentée.
Bon, OK, allons-z-y, "Allons-z'enfants de la patrie !"
Il faut être aguerri(e) pour me lire, c'est à dire prêt(e) à la guerre.

Digression :
Non, Il ne veut pas.
J'essaierais de le glisser dans un commentaire, na, après la rédaction de l'article.
Il n'aime pas le terme "billet" qui rappelle l'argent.
Il n'aime pas l'argent car vous aimez trop l'argent.

Bon, voilà, reportage en cinq secondes, cinq lignes, cinq mots à peine :
La France, vue de très-haut, des "baronies" (c'est Son terme à Lui), des baronies de la drogue. Des barrages filtrants sont là, devant moi. Non, ce ne sont pas les policiers qui tiennent ces barrages, mais des ..., je ne sais pas trop et je n'ai pas d'informations, sauf le renvoi au mot "Taliban", des... ou plutôt comme des "Talibans".
Parmi eux, des jeunes des cités mis au ban de la société. Non, ne leur jetez pas la pierre ! Surtout pas, car c'est de votre faute à vous, les riches. Les jeunes contrôlent les points de... "sécurité" de leur territoire. Sécurité ? Je crois rêver. En fait je rêve et Il a voulu que je l'écrive ce matin, que je le décrive dès ce matin, ce mauvais rêve.
La France, l'Etat-nation "France", n'existe plus. C'est une sucession de petites régions, dans un grand ensemble en guerre, "en guerres", guerres au pluriel.Vous dire si l'Europe existe encore ? Je l'ignore.J'écris pour la France, ce pays qu'Il aime.
Il avertit que ceux qui voudraient me faire taire, Lui s'en occupera. Je n'aime pas écrire ce genre d'avertissements. Pourquoi ne pas m'avoir laissé écrire simplement que tuer le messager ne sert à rien ? Il sait pourquoi, moi non.

On se bat en France, on se bat dans le monde, on se bat partout. Les armes circulent comme aujourd'hui circulent les oiseaux dans le ciel, sans frontières et sans terres.
Pour écrire la vérité, la vérité de ce qui me fut montrée, les seuls qui tiennent les cités et défendent leurs territoires sont les barons de la drogue. Les autres subissent, exactions et sanctions financières, impôt "mortuaire" qui reviendra, pas pour les Chrétiens, mais contre les Chrétiens.
Il a fallu que je fasse des recherches pour comprendre ce qui m'était dit. Il ne veut pas que je l'explique. A vous de rechercher ce qu'était le "mortuaire", un mortuaire qui sera imposé aux Chrétiens, si vous êtes intéressé par votre avenir.

La drogue est une arme, mais surtout le nerf de la guerre.
Si vous ne désarmez pas les barons de la drogue, vous serez désarmés.
Pour ce qui est de la drogue, cette drogue qui sert à donner du rêve au peuple qui crève, c'est votre vie. C'est votre choix.
Les responsables, ce ne sont pas ceux qui se droguent, ce sont ceux qui vendent de la drogue.
Les coupables, ce ne sont pas ceux qui volent de la nourriture, mais ceux qui affament les peuples.
La drogue sert de passe-droits à ceux qui vont renverser tous vos droits. Il n'y aura plus de lois mais il n'y aura qu'une seule foi.
Pour le reste, entende qui a des oreilles pour entendre et lise celui qui a des yeux pour voir.
Les autres, qu'ils médisent !