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Billet de blog 15 octobre 2013

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Marseille et la bataille des primaires, quelle pagaille ! Marseille, première merveille de France ? A Marie-Arlette CARLOTTI.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Etre honnête à Marseille, c'est être un peu bête.

Il faut être "fada" ou complètement "gaga" pour croire pouvoir organiser des élections, sans "trangression générale" (fraude) à Marseille, surtout quand Lady Gaga veille. Les "maraudes" électorales ont eu raison de la ministre qui râle, tandis que les farauds se déballent sous les balles, "peau de balle" !

Que Dieu nous garde des gens qui font le bien sous les cieux et les yeux de Notre-Dame de Bonne Garde ! C'est jamais pour rien, tiens. Et un "Tiens" vaut mieux que "Deux, tu l'auras !". C'est le tien ? Non, c'est le mien. T'es sûr ?  Recompte.  

Tout le monde rigole de sa surpise. Quelle méprise ! Trop drôle, l'indignation vraie de Marie-Arlette CARLOTTI. Mais où se croyait-elle ? En France ? Ma bonne dame, mais c'est Marseille. Depuis quand, Marseille, c'est la règle du droit qui s'applique dans cette  ville qui prétend gérer le Sud de la France, des Pyrénées-Orientales aux Alpes-Maritimes, en passant par la Corse  ? Ou alors, la "coutume", ce costume qu'on met pour passer devant les caméras. Et hop ! Faut s'habituer au droit coutumier, à Marseille.

La candeur de la ministre fait rire ou sourire, jusqu'à ses camarades du PS, dans une ville où mourir n'est plus vraiment naturel, simplement accidentel. Camarades, c'est vite dit. Un peu en rade, les camarades. Pour la bravade, ils sont bons, "Oh ! Con !". L'escalade verbale prouve que les ballades dans les rues de Marseille n'étaient pas vraiment banales, même si elles furent gratuites. "- Et une ministre détruite, une !" Car peu instruite de ce droit local. Pas de parade trouvée par le PS à la "transgression générale". PS : Il n'y a pas que le soleil qui tape dur à Marseille, peuchère. Quelle galère !

Evidemment l'image publique de Marseille connaît une progression médiatique immédiate : - Marseille, la première merveille de France. Pour ses monuments ou ses émoluments ? La faute à qui , "té" ,  si elle t'a quitté ?

Grand air d'opéra-bouffe ou d'opérette qui nous chante la "Marseillaise/Bouillabaise", avec les accents de "Poubelle-la- Vie" !

Qui s'étonnera ensuite de l'impuissance d'une France morte de rire, donc incapable de réagir face à ce qui devrait se finir, les transgressions en ut mineur ou majeur, luttes à Marseille  ?

Les primaires se sont jouées dans un mouchoir de poche, c'est trop cloche ! Et qui empoche la mise, sans en avoir l'air ? Au volant, Artémise "Fend-la-bise", l'entreprise de pompes funèbres et son cortège de votants "ex-voto". - "Un bon geste, m'ssieurs-dames ! Une offrande. A vot'bon coeur ! Pour le PS."

Là où y'a d'la gêne, y'a pas d'plaisir ! Pour les atrabilaires, il reste le "F/Haine". La gê^^^^ênnne ou la géhenne, on ne sait plus : - "C'est quoi, la différence ?" Peut-être notre indifférence.

Météo locale :

- "Tiens, encore un mort à Marseille.  Et demain, il fait quel temps ?" 

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