Croire au hasard ou croire en Dieu, nom de Dieu ?
C'est bizarre, le hasard, c'est parfois banal et même létal, comme la dernière heure toujours fatale.
Si Dieu existe, il n'y a "pas de lézard" ni de hasard.
Faut-il avoir peur de Dieu ?
Certains diront que c'est le commencement de la sagesse.
Mais seulement certains !
Les autres diront :
- "C'est le hasard, par hasard, qui a voulu que..."
On peut être un crétin, même quand on n'est pas un Chrétien.
Qui peut croire que le hasard veut quelque chose ou vous en veut ?
Qui l'avait annoncé ?
Vous ?
Allons, bon !
Soyons sérieux.
Dans ce cas, dénoncez-vous.
Preuves de l'annonce, publication , vérification et certification.
Label pas divin.
C'est pas "MAL-in" !
Tout faux.
Le dieu caché du hasard n'est pas celui qui sait le mieux ce qui se passera et qui passera de la gloire à la mémoire :
- "Au fait, il s'appelait comment le ministre, tu sais ce ministre de l'intérieur, celui que les médias ont surnommé le "Sinistre" et "l'Inspecteur La Bavure" ?"
http://www.valeursactuelles.com/sinistre-de-linterieur-48866
Politique
Mercredi 12 Novembre 2014 à 10:45 (mis à jour le 12/11/2014 à 11:30)
Bernard Cazeneuve, le sinistre de l’Intérieur
Par
Franchement, c'est faire offense à COLUCHE, les gars !
Parce que l'Inspecteur la Bavure, il l'a eu, le tueur.
Par hasard ?
Plutôt par amour et avec humour.
Lui, il a pas eu peur.
Ah oui, le "franchement" est de trop pour un maçon qui ment naturellement.
- "T'en es ?"
- "Nan, hi han !"
Je change la donne.
Ce n'est pas le nez qui s'allonge mais les oreilles sous le bonnet d'âne.
Rien n'est plus pareil aujourd'hui.
Il y a eu maldonne.
Mais "tricheur" rime avec "menteur".
Donc je disais que, par hasard, tout le bénéfice de l'exercice ministériel de Manuel VALLS en tant que ministre de l'intérieur, un ministre de l'intérieur de gauche sachant gérer, est en train de s'évanouir dans les scandales qui se succèdent les uns après les autres au ministère de l'intérieur, avec Bernard CAZENEUVE.
Il ne suffit pas d'être maçon pour gérer d'autres maçons.
Peut-être même faudrait-il ne pas en être, pour gérer des maçons ?
Car les façons des uns font les malfaçons des autres.
La "maison-poulaga" a un air pas d'équerre et n'a plus le compas dans l'oeil.
Et puis quel courage ils ont, ces chefs habitués dans la nuit à ne pas être reconnus pour ce qu'ils sont, ces élus tout droit sortis du néant !
Oui, "oui-oui", quel courage de rejeter la faute sur les gendarmes et de ne pas assumer son rôle de donneur d'ordres !
Car les gendarmes ont bon dos.
Il paraît même qu'au départ, c'était leur chef qui ne voulait pas que soi(en)t entendu(s) le ou les gendarmes.
Sauf que, dès le départ, les gendarmes ont diligenté une enquête interne, comme à leur habitude, en toute latitude.
Laisser ses hommes sur le terrain face à leurs responsabilités, qui sont tes responsabilités, "oui-oui", quel courage !
Eux n'ont rien caché, toi oui, "oui-oui".
Gouvernement de menteurs et de bonimenteurs vendant sa marchandise et ses traîtrises aux Français sidérés et aterrés par tant d'incompétence mais tant d'appétence au gain et aux enjeux du pouvoir !
Le jeu en valait-il la chandelle ?
Pour un barrage, un barrage de tirs de grenades, un mort.
Qui a eu tort ?
Ce n'est pas un dérapage des gendarmes, ce fut un ordre, un ordre de mordre, de mordre jusqu'au sang.
C'est un ratage de l'élu politique, du donneur d'ordres, qui fait la part belle au hasard, à un gendarme hagard, le seul qui aurait eu tort.
La place est bonne.
Il sera toujours temps d'offrir la tête de quelques lampistes, gendarmes du terrain, jouets mobiles, les faisant passer tous pour des fachistes, pour faire plaisir à quelques tristes sires !
Qui a donné les ordres ?
Personne.
C'est prendre les Français pour des débiles.
Ah, parce que personne ne gère le ministère de l'intérieur ?
On s'en doutait un peu.
Maintenant on en est sûr !
C'était mieux avant ?
Ou c'est mieux après ?
Du hasard et de sa foire, quand tout "foire",
de Dieu et de l'espoir.
Quand les Français en auront marre d'être pris pour des "poires", il faudra vraiment que le ministère de l'intérieur arrête de nous faire croire en son dieu "hasard", ses accidents et ses mystères de la foi maçonnique.
C'est peu que de dire que, ce dieu-là, il est tellement caché, le dieu de la religion sans nom, qu'il nous fait rire, "oui-oui", à mourir de rire, mais un peu fâchés quand même !
Parce que le mort, dans l'histoire, c'est Rémi FRAISSE.