Lorsque des gouvernements élaborent des stratégies de mises à mort contre leur propre pays et contre leurs propres peuples, les petites gens indigents n'ont plus d'autre liberté que de choisir, non pas entre la vie et la mort, mais entre la mort et la mort.
Les tentatives de suicides et les suicides se multiplient au sein de la population française, homicides économiques cachés par des médias amnésiques. Aucune tranche d'âge n'est épargnée, pas même celle des enfants. Aucun métier n'y échappe, malgré une chappe de plomb qui sert à faire taire ceux qui refusent de mourir à genoux. Les lanceurs d'alerte ne sont jamais amnistiés, eux. Ils sont châtiés, un châtiment perpétuel, jusqu'à la mort, la perte de leurs droits civiques et de leurs droits à vivre, la perte de tout travail.
Tout travail mérite salaire. Actuellement et factuellement, le salaire de la peur, c'est le travail de l'Etat français.
Le sort en est jeté.
Comment veux-tu mourir, toi, Olivier THERONDEL, "flambé" comme Mohamed BOUAZIZI, ce jeune Tunisien, à l'origine du "Printemps arabe" qui a permis la chute des dictateurs et de leurs dynasties, pour construire un nouveau monde ? Ou préfères-tu finir, enjambé, laissé pour mort, comme un soldat inconnu au coin d'une rue, un SDF sans fief, trépassant devant des passants indifférents ?
Pourtant c'est ton sang qui coule dans nos veines. Il est de la même couleur rouge que le nôtre, ce sang qui nous unit et nous réunit, quand il faut le verser pour rester libres.
- "Parce que tu vas mourir !" Ainsi en a décidé l'assemblée des six mille citoyens, chargés de te juger, comme Socrate, pour avoir tenté d'éveiller les consciences et avoir dit la vérité. Six mille ? Pourquoi six mille ? Non pas six mille (6 000) élus politiques, citoyens tirés au sort, comme au temps d'Athènes, incapables de bouger le petit doigt pour te sauver, mais six cent mille (618 384 exactement) élus politiques et rachitiques, roitelets tout nus et indéfendables, puisque refusant de te défendre. A quoi servent-ils, ces incapables majeurs, devant l'horreur économique ?
A soutenir l'insoutenable et le condamnable !
A quoi sert ce régime démocratique finissant qui devient un abîme ploutocratique, au chaos perpétuellement renaissant, chaque fois qu'il change de tête ? Comme l'Hydre de Lerne, pour une tête coupée, deux têtes repoussent.
L'homme politique n'est jamais différent, quoique toujours indifférent à la condition des autres hommes. C'est toujours le même qui règne. Il s'appelle "Argent". Dans les temps anciens, on l'appelait le "Veau d'Or". Et il n'y a pas si longtemps, la tête qui a changé, à la tête de l'Etat, l'appelait l'"Adversaire", en voulant désigner d'un doigt accusateur la Finance Internationale.
Maintenant, là, en ce moment même où je l'écris, 200 000 foyers vont être privés de moyens de vivre normalement, dignement, décemment, avec ou sans enfants. Si ce n'est pas les priver de pouvoir vivre, c'est quoi alors ?
Pour des dettes d'argent, du "fric", VEOLIA, EDF, GDF, casseurs de vies, "tueurs" d'enfants, avec la trique du pouvoir de ceux qui peuvent tout avoir, vont condamner des familles à vivre une existence pire que la prison, à ne plus pouvoir ni voir, ni boire, ni lire, ni rire, ni se laver, ni se lever le matin pour aller en classe, avoir leur place dans la société "normale" ou pour partir au travail, gagner leur vie de misère contre une guerre sociale qu'ils ont déja perdue à l'avance.
La racaille, ce sont ces exploiteurs de pauvres hères, qui gèrent d'abord l'argent, leur argent, avant que d'offrir une ressource qui était et reste naturelle : l'eau, l'air, le gaz, la chaleur, la lumière. "Naturelle", ce qui veut dire "gratuite", avant que ces voyous "chelous" ne s'en emparent.
Si ces ressources offertes par la Terre, notre mère naturelle, sont gratuites, c'est parce qu'elles sont indispensables à la vie humaine, source de Vie ! Ainsi l'a voulu un ordre moral naturel. Mais cet ordre est devenu un ordre amoral, l'ordre normal d'une finance satanique, provoquant alternances et déchéance, pouvoir cyclique de l'argent enrichissant des prédateurs cyniques et sadiques, tout en appauvrissant les travailleurs, ces lutteurs maintenant déserteurs, car voyeurs de "pue-ople" et buveurs de drogues, fournies par de puissants pourvoyeurs.
La religion n'est plus l'opium de ces peuples qui crèvent. Les drogues sont devenues l'opium des peuples, un rêve qui les enfume et les embrume, comme la pollution de leur air. A quand l'achat de bonbonnes d'oxygène vendues par VEOLIA, GDF, EDF ou AIRPUR ? Sachez que si vous ne payez pas votre facture d'air, vous n'aurez plus d'oxygène. Ce sera alors une plus ou moins longue torture que vous pourrez choisir d'abréger en choisissant entre la mort et la mort, quelle mort vous voulez choisir. Il faut que la dictature dure !
Ce qui n'est pas normal, c'est d'avoir droit de vie ou de mort pour des dettes d'argent sur la vie d'enfants et de leurs parents. De quel droit ? Qui a accordé ce droit exorbitant et extraordinaire de pouvoir couper la vie à des familles entières ? Qui ?
Je demande que des tribunaux populaires se réunissent et jugent ces coupeurs de vie, qu'on donne le nom de ceux qui coupent les vies et qu'on leur coupe les vivres.