
La Tribu des Bonobos, ceux qui ne servent à rien qu'à se servir eux-mêmes !
- "Au nom de la Loi, je vous arrête !"
Je me rappelle.
Il s'appelait Joss RANDALL.
C'était un chasseur de primes, pas un shérif.

Il y en a, dans la PN, c'est pareil.
Ce sont des chasseurs de primes, pas des shérifs.
Ils défouraillent sur de pauvres victimes et, en représailles, prétendent avoir été touchés, non pas par les larmes de cette victime estropiée, mais par des armes, des cailloux, des oeufs, des mouchoirs, des pochoirs, des mots !
Ce sont les "gratte-papiers" des PV d'outrages et de limogeages, les tueurs à gages d'une police impopulaire parce que "poubellaïre" [avec l'accent marseillais et "in french", not in arab].
Les "poubellavie", euh non, les "poubellaïres" sont les "poulets" chargés de débarrasser la voie publique de tous ses déchets et détritus humains, comprendre les SDF, les Roumains et les SP.
Non, pas les "SP" comme "Sécurité Publique" les "SP", comme "Sans PAF" ou si l'on veut, les "Sans Papiers".
Parce que, pour avoir des papiers, il faut déjà savoir les lire.
Et que les "Sans PAF", y savent pas toujours bien lire le Code.
Quel code ?
Le Code, quoi, le Code de... euh, le Code de... la France.
C'est ainsi qu'à force d'être "l'éboueuse publique", la police nationale chasse elle-même ses propres détritus humains de la PN, même du SMR..de... du SGAMI de Lyon.
Faut pas être travailleur handicapé au SMR... de.. du SGAMI de Lyon.
Pass'que tu courrais pas assez vite pour leur échapper, aux éboueurs publics !
M'me que le cul-d'jattes, y l'a pas intérêt à venir en fauteuil roulant.
Sinon c'est la bascule garantie quand ils l'bousculent dans l'escalier pour le faire hâter vers la réforme.

[COLUCHE, j't'ai reconnu.
"Qu'est-ce qu'on s'marre dans ta police !"
[COLUCHE, moins vite ! J'ai du mal avec la phonétique. Il faudra que je relise pour comprendre et surtout arriver à écrire sans fautes.
"C'te blague, sans f^^ooôôtes, s'en foutent, tes lecteurs ! Eux, y veulent pas des cours d'orthographe, y veulent s'marrer !]
Et après, qu'est-c'qu'y' disent, tous ces cons ?
Des réformes, des réformes, des réformes !
Si z'étaient réformés, ça les ferait moins rigoler, j't'jure !
Ah non, faut pas jurer.
Dans ta police, z'ont l'oeil.
Aujourd'hui ils passent plus de temps à fliquer les mots qu'à enquêter sur les morts.
Y sont trop forts, vos flics aujourd'hui.
Tu vois, Véro, ta Brigitte, j'l'aime bien avec sa petit'bouille, sa frimousse toute blonde.
Allez, elle doit peser combien, l'ennemie publique numéro un dans son jean usé ?
Grosso modo, "MRDo", quarante kilos, avec toutes les grèves de la faim qu'elle a faites, pour pas arriver à cette fin, la réforme médicale.
Ah bon, pass'qu'y savent pas combien elle pèse, l'ennemie publique numéro un du SGAMI de Lyon ?
Bah dis-donc, qu'est-qu'y foutent dans ton SMR..de... du SGAMI de Lyon.

Le fauteuil des pauvres !
Pas pour acheter, mais s'faire j'ter.
Le 19 mars 2015, elle passe.
Elle passe où ?
Devant une commission de réforme.
R'marque, pour une fois qu'y réformeront quelque chose, la gauche, faut bien qu'ça tombe sur une "pauvrette", mêm'pas en salopette.
Eh Brigitte, si t'y vas à leur commission de réforme, mets ma salopette, y'a d'la place pour deux !
J'te tiendrais au chaud cont' mon coeur.
Et n'oublie pas le nez rouge, d'la part d'COLUCHE, pour leur faire bien savoir que t'es pas dupe de leur cirque, à ces cons.
Tous des enfoirés !
C'est pas Brigitte qui le dit, c'est moi, COLUCHE.

T'es fier de toi, le ministre qui sert à rien ?
Pass'qu'à part t'acheter du pinard dans un supermarché "PAS CHER", au hasard, dans une communauté de..., ah oui, tu sais pas !
Tu sais pas grand-chose, CAZ'NEUVE.
Tu sais au moins où t'habites ?
Non, pas à droite, à gauche.
Tu vois, tu sais même pas.
C'est comme ta carte bleue.
Elle est bleue, elle est pas rose.
Et si elle est bleue, y'a p't'te une raison, têt' de..
[Non, COLUCHE, on n'est plus dans les années 80. Je vais encore avoir un procès. Aujourd'hui, ce gouvernement de gauche interdit la liberté d'expression : pas de gros mots, pas de mots rigolos, pas de mots sérieux, mais des maux obséquieux, oui !]
M'enfin ça rimait !
[Alors change.]
Et si elle est bleue, ta carte, c'est pass'que le bleu te va si bien, à toi, à la police, à la flicaille et à la racaille qui se pourchassent pour la même raison, l'argent !
Les gens, ça n'intéresse plus personne.
Y crèvent sur un trottoir.
Et encore, regarde !
Ils les chassent des trottoirs.

Comme ils vont chasser Brigitte de la PN pass'que c'est une travailleuse handicapée.
Eh, le Bernard CAZ'NEUVE des bonnes oeuvres de la PN, fais voir un peu à quoi tu sers, si tu sers à quelque chose d'autre qu'à servir les plus forts et les plus riches.
Qu'est-c'qu'y disait, déjà, à la supérette "PAS CHERE" ?
La communauté ?
Quelle communauté, CAZ'NEUVE ?
T'ose même pas ouvrir ta gueule pour dire la vérité.
La communauté de "Français", hein, c'est ça ?
La communauté... de...
Allez, fais un effort, crache le morceau !
Bah ouais, quoi, t'étais allé acheter du pinard bien français dans un supermarché "CACHER", p't'pas français, tellement t'as honte de le dire.
Faut pas sortir les mots qui fâchent, les "juifs".
Faut pas sortir les mots qui fâchent et qui sont sales comme la suif, pour d'autres Français que tu préfères.
C'aurait été plus facile d'aller acheter des raviolis chez le Chinois, moi j'te l'dis.
Là t'aurais pu le dire, aussi :
- "Je vais chez le Chinois, comme à Toulouse."

Bernard CAZENEUVE, un ministre de l'intérieur qui ne mâche pas ses mots, mais qui les cache.
Ou alors y savait pas qu'il était dans un magasin juif.
- "Où suis-je, s'il vous plaît ?"
- "Comment, ma carte bleue ne passe pas ?"
- "Chez des Juifs, vous êtes sûrs ?"

Le 19 mars 2015, un RDV à ne pas manquer avec la Police Nationale, la vraie, celle qu'arrête les travailleurs handicapés.
Celle qui les arrête dans leur droit à travailler comme les autres.