Jeu et enjeux de pouvoir et de savoir, le gros lot de la "con-loterie" des mal lotis, des nantis bien notés contre des agents mal dotés et mal gérés.
- "Quel plaisir de vous revoir !"
Thierry ASSANELLI s'adressant à Robert HURTADO, qu'il est venu saluer à la DDPAF de Perpignan, dans son bureau de "distributeur de PQ", après le pot de départ de Christian LAJARRIGE, ce jour, ce soir, une histoire qui prend fin, triste topic, "Tristes Tropiques" au Sud de la France.
De quoi le rendre à nouveau malade avec ces salades et salamalecs, prises de bec et histoires de mecs infects.
"Alien", le retour !
Le "Saigneur" reconquiert ses terres, son fief et ses vassaux.
[ Au Moyen-Age, la vassalité était la situation de dépendance d'un homme libre.]
Il ne reste plus qu'à attendre l'arrivée de Prédator.
Quel commissaire de "folie-ce" va avoir le tort de pouvoir et l'avantage de gérer la DDPAF de Perpignan ?
La Guerre des Etoiles va-t-elle faire des étincelles dans le ciel de la galaxie de la "Police aux Fous" à Perpignan ?
En prévision de cette future guerre de l'espace intersidéral, je vais vous expliquer pourquoi il faut savoir perdre une bataille pour gagner la guerre, bande de sidérés, si bassement considérés.
Robert HURTADO a perdu devant le Tribunal Administratif parce qu'il a été jugé qu'un agent du même grade que lui, un informaticien, qualification professionnelle de mon mari, avait régulièrement le droit de postuler sur un poste de RSSI et celui d'occuper un poste de RSSI, "Responsable de la Sécurité des Systèmes d'Information", ou un autre, pourvu qu'il fût affecté sur un poste d'informaticien.
Vous avez compris, les QI de singes ?
Attaquer la décision d'affectation de l'agent X a obligé le préfet du SGAP de Marseille à défendre ce qu'il interdisait à Robert HURTADO.
Le secret bien gardé de l'affectation en doublon de l'agent X sur le poste de RSSI déjà pourvu par l'agent Y en février 2011, secret bien gardé par la direction de la DDSP de Perpignan et les gestionnaires RH, servait moins à cacher le mouvement de mutation irrégulier parce que ne visant pas à pourvoir un poste budgétaire vacant, qu'à éviter que Robert HURTADO ne puisse se servir de l'exemple de la "réussite" de l'agent X, réussite d'une mutation obtenue suite à la suppression d'un emploi, celui de l'agent X placé dans la même situation que lui, de même grade et de même qualification professionnelle que Robert HURTADO. L'agent X a donc obtenu sa mutation sur un poste de RSSI, bien que n'étant pas technicien SIC mais informaticien, comme Robert HURTADO, et ce dans le cadre d'une réorientation professionnelle refusée à Robert HURTADO.
Donc le jugement du 13 décembre 2013 vient "démolir" l'argumentation juridique du préfet du SGAP de Marseille qui avait jusqu'à présent motivé ses refus antérieurs de soumettre à l'avis d'une CAP les demandes de mobilité de Robert HURTADO, en prétextant qu'il n'était pas technicien SIC et qu'il ne pouvait pas postuler sur des postes de RSSI puisque réservés aux techniciens SIC. Par conséquent, le même préfet vient de défendre avec succès le fait qu'un informaticien du même grade que celui de mon époux, peut postuler sur un poste de RSSI, même s'il n'est pas technicien SIC. "SIC vos non vobis."
Bûche de Noël et embûche du vendredi 13 : le juge administratif, conscient de cette discrimination non positive qu'il défend en donnant raison au préfet du SGAP de Marseille, a osé un geste significatif. Il est enfin écrit dans un jugement du Tribunal Administratif, ce qui n'avait jamais été écrit auparavant pendant cinq ans de batailles juridiques, que Robert HURTADO est bien un informaticien, et ce depuis la date de son recrutement dans la police nationale, du fait de ses compétences. La reconnaissance de cette qualification professionnelle, validée par des examens internes de qualification professionnelle SIC, analyste-programmeur puis chef de projets informatiques, est une reconnaissance légitime et surtout juridique de sa qualification professionnelle d'informaticien. Le juge administratif affirme ainsi ce qui a toujours été nié jusqu'à présent par le préfet du SGAP de Marseille, que Robert HURTADO a été, qu'il est et qu'il sera donc informaticien, sauf à demeurer dans l'erreur juridique ou à être soi-même un "demeuré".
Le préfet du SGAP de Marseille, SGAP réputé pour son efficience et sa conscience, interjettera-t-il appel d'un jugement qui lui est favorable, quitte à désaffecter l'agent X ? J'en doute.
La "douloureuse", doloris pretium, le "prix de la douleur" pour le gagnant, c'est d'avoir gagné sur une requête et que cette victoire prouve le harcèlement moral et la discrimination syndicale par association (mariage avec un(e) syndicaliste), par refus envers Robert HURTADO de ce qui a été accepté pour l'agent X, placé dans la même situation de suppression d'emploi, à grade égal et à qualification professionnelle identique, sinon supérieure.
En effet, non seulement Robert HURTADO a été ex-directeur de projets informatiques à envergure nationale, comme le projet ELOI à la DDPAF de Perpignan, une application interministérielle choisie par le cabinet du ministre de l'intérieur en 2006, alors qu'elle était en concurrence avec d'autres projets informatiques,
- mais aussi, si l'actuel directeur de cabinet du ministre de l'intérieur, Thierry LATASTE veut bien faire un effort de mémoire et se rappeler le temps où il était préfet du département des Pyrénées-Orientales, Robert HURTADO, mis à sa disposition, avait conçu une application sur les co-voiturages interministérielle qui a été sélectionnée aux journées de la Modernisation de la Grande Motte du 6 février 2007 par la DGME. Cette application est ouverte et conçue pour accueillir plusieurs préfectures afin de leur faciliter leur conception des plans de déplacement s'inscrivant dans la stratégie du développement durable. Et combien d'autres encore.
Aujourd'hui le chef de projets informatiques distribue du PQ au bureau du matériel de la DDPAF de Perpignan et vient d'être salué par Thierry ASSANELLI qui savait où le trouver, puisque c'est lui qui l'a placé dans cette position et "cassé", lui refusant toute solution de mobilité.
Vous le croirez ou non, peu importe, prenant ma voiture pour me rendre à une visite médicale de reprise, (surprise !), tandis que je réfléchissais à la manière de retranscrire sur mon blog cette bataille perdue pour gagner la guerre, j'allume la radio. J'avais dans la tête ce jeu du "Qui perd gagne", lorsque Coluche m'a répondu sur la chaîne du Rire [ En voiture, ou j'écoute "France Culture" ou j'écoute "Rire et Chansons", selon la conjoncture ]. Le hasard a voulu qu'un sketch de Coluche (mis en ligne ci-dessous) soit rediffusé au moment même où je cherchais le moyen de mettre en écriture cette stratégie du jeu d'échecs, savoir perdre pour gagner. Le jeu d'échecs porte bien son nom : "échec". C'est un jeu dans lequel il faut savoir perdre un pion ou une requête, pour amener votre adversaire sur le terrain "juridique" qui vous est le plus favorable. Et ce n'est pas forcément celui qui gagne le plus de pions qui est un champion aux échecs.
Pour celles et ceux qui voudraient vérifier cette synchronicité, coïncidence, providence ou hasard, ils peuvent contacter la radio "Rire et chansons". Ils sauront ainsi à quelle heure j'ai démarré ma voiture et allumé ma radio. Et surtout, ils pourront ré-écouter celui qui n'est jamais mort, mon pote Coluche.
"T'as le bonjour de.. "Coluche qui salue bien Thierry ASSANELLI :
http://michel.buze.perso.neuf.fr/lavache/coluche_qui_perd_perd.htm
[ -Eh bien, nous sommes heureux de recevoir aujourd'hui, monsieur ?
- Monsieur Grimpoire.
- Monsieur Grimpoire... de Paris ?
- Oui... de Paris.
- D Paris même ?
- De Paris, VIème.
- Oui, alors monsieur Grimpoire, vous allez jouer avec nous au "Qui perd, perd..."
- Oui.
- Monsieur Grimpoire, vous connaissez la règle du jeu : 4 questions : 10 000 francs, 1000 francs, 100 francs, rien du tout !
- Oui.
- Alors attention, monsieur... Première question.... Vous êtes prêt ???
Quelle est la différence entre un pigeon ?
... Un pigeon... C'est facile ! ... Euh... Top chronomètre !
- ...
- Eh bien, monsieur ? Alors, vous dormiez ?
- Non.
- C'était pourtant facile !
Alors, maintenant, nous allons passer à la deuxième question. Vous pouvez encore gagner 1 000 francs, je vous le signale, alors, attention !
- Quel âge avait Rimbaud ?
- Seize ans !
- Ah non, vingt sept !
- Oui, il avait vingt- sept ans. Oui, ça dépend quand, mais il avait vingt-sept ans... ben oui !
- Alors, attention ! Alors... Monsieur, attention ! Troisième question. Vous pouvez encore gagner 100 francs.
- Oui.
- Troisième question, monsieur. Attention, cette question contient un piège !
- Monsieur, le Russe Ichlakoff a sauté 2,31 mètres... Pouvez-vous dire mieux ?
- Non, euh.
- Attention, monsieur, c'est un piège ! Je vous demande, est ce que vous pouvez dire mieux ?
- Non. - Je ne vois pas, je... malheureusement je ne m'intéresse pas au sport euh , je ne peux pas vous dire mieux, hein ! - 2,31 mètres... Non, je ne vois pas !
- Monsieur attention ! ...Top chronomètre, monsieur !
- Le mot "mieux". Est ce que vous pouvez dire " mieux ", le mot " mieux " ? Dites-le...
- Mieux.
- Redites-le mieux.
- Mieux !!!
- Trop tard !
- Oui, il fallait le dire avant !
- Je le savais.
- Ah ben, il fallait le dire avant ! - Quand on sait pas, je comprends qu'on le dise pas, mais si vous le saviez, il fallait le dire ! Sont cons alors...
Bon. Monsieur, quatrième question du "Qui perd, perd". À partir de maintenant, vous jouez avec votre argent !
- Après l'augmentation des salaires, l'entreprise tombe à l'eau.... Qu'est ce qui reste ?
- Pince-moi !
- Eh non, monsieur ! Des chômeurs !
Eh oui, monsieur, vous avez perdu 100 francs. Ça nous fait plaisir, vous revenez quand vous voulez...
Merci, et à demain... si vous le voulez bien ! ]
« Des mecs comme ça, ça mérite qu'une chose : que ça barde un jour, et que dans le feu de l'action on lui flanque un pruneau par derrière, comme de juste, et ni vu ni connu, salut Wasselet, t'as le bonjour d'Alfred ! » Yves Gibeau - La guerre, c'est la guerre - 1961
La France a perdu une bataille, mais la France n'a pas perdu la guerre !"