OK, j'avais promis la rédaction de cet article.
D'ailleurs j'en ai aussi promis un à votre illustre prédécesseur, un empereur français, même s'il est corse.
OK, vous avez un ticket d'avance, plutôt un billet d'avance.
Quant à l'urgence de faire entendre votre voix, l'Histoire avec un grand "H" nous fera voir qui des deux a raison, de lui ou de vous.
- "Ah bon, vous êtes sur la même longueur d'onde ? Lui aussi, il émet sur Radio Londres ? Je pensais qu'il émettait à partir d'Ajaccio, sa Corse natale."

- "Comment vais-je le tenir, mon stylo, mon général ? Allo, mon général ? Non, je ne suis pas une "bille", même si quelqu'un brille ici par son intelligence et que ce n'est pas moi."
Oui, comment écrire ce que je vais devoir écrire, votre appel à résister, sans finir moi-même derrière les barreaux d'une prison, avec ou sans "i" bien barroté ? J'ai comme une envie de me désister.
Oui, je ferais une bien piètre résistante, je l'admets, s'il n'y avait votre verve insistante.

Bon, allons-y.
- "Allons, enfants de la patrie !"
Me voilà à Marseille, maintenant.
Comment vais-je le dire ?
Deux secondes, je tourne sept fois ma plume dans mon encrier, car, à peine aurais-je écrit ce que vous voulez que j'écrive, que je vais entendre crier : - "A mort !"
Facile de vouloir s'exprimer quand on est déjà mort.
On ne craint plus rien, même pas d'avoir tort.
Moi, je vis. Je suis encore en vie.
Pour combien de temps ? Je l'ignore.
Mais cet article risque fort de raccourcir ma ligne de vie.
Bon, allons-y.
Passons la frontière de l'état français.
Et la frontière de mon futur procès.
Dur, dur, d'être un micro !
Plutôt un petit microbe de rien du tout.
C'est fou de devoir écrire ça, en étant rien, juste la main qui tient le micro.
Et le stylo !

Appel du Général De GAULLE :
(J'ai comme l'impression que des infirmiers vont bientôt débarquer avec la camisole de force ! )
Je vois les images, mais je ne trouve pas les termes.
Puis-je parler en images ?
Des flots d'humains, demain et tous les lendemains.
Des flots, parce que les océans ne pourront contenir ces vastes mouvements humains de marée.
L'Europe est une "terre promise".
Mais la "terre promise" est réservée aux... (Gloups.., je me noie, je bois la tasse ou alors "je me casse" ? Au secours ! Faut-il que je l'écrive, cet adjectif ?) peuples judéo-chrétiens.
Aïe ! C'est pas rigolo du tout.
J'ai reçu un coup.
Mon Général, je vais finir fusillée !
- "Au fond, c'est très simple", dit-il, le grand Charles.
Pour communiquer, il faut parler la même langue, pratiquer le même langage et donc échanger.
Si on ne partage pas les mêmes valeurs, on ne peut pas échanger.
L'humain n'est pas une marchandise.
Et toutes les convoitises du monde n'y peuvent rien changer.
Or nous ne parlons pas la même langue.
Nous n'avons pas les mêmes valeurs.

La preuve (Là, le Général De GAULLE se fâche contre ceux qui en doutent, les lâches !) :
Il me montre une pièce de monnaie, avec la "Semeuse", la France qui n'était pas une peureuse, ni une paresseuse.
La religion est l'autre côté de cette identité française, le côté pile de la face "France".
Ceux qui prétendent bâtir une nouvelle nation sans religion commune sont des "imbéciles" ou des "débiles" (au sens faible du terme).
La France, et l'Europe, ne peut pas, ne peuvent plus absorber des religions qui sont le ciment d'une révolution qui n'est pas une évolution.
L'homme politique ment car il vend du vent, le vent des élections et surtout des réélections. Mais qui sème le vent récolte la tempête !
En face, de l'autre côté des océans, de la mer, vers un horizon sans cesse plus lointain et moins humain, des hommes veulent venir sur les terres d'Europe, en France, pour avoir non pas nos valeurs spirituelles, mais nos valeurs matérielles.
Il est là, le terrible malentendu !
Peu leur importe à ces chasseurs de biens les liens politiques qui unissent le peuple de France, les Français de toutes origines sociales, aux clochers de leurs villages, messages enrochés au coeur de la France rurale, de la "vraie" France (Pan, je meurs ! C'est du racisme, mon Général. Non ? C'est l'Histoire de France ? ).

Si les Français osaient "envahir" (sic) l'Arabie Saoudite ou le Qatar (Mon Général, vous voulez la guerre ? En plus, le gouvernement français est aux affaires avec eux !), vous croyez quoi,les mécréants, les incroyants, les "crétins" , que vous allez pouvoir bâtir des églises sur un sol arabe ?
La devise nationale de l'Arabie Saoudite est : "Il n'y a de Dieu qu'Allah et Mahomet est son prophète".
Il est trop tard pour rêver d'un monde laïc, ce rêve politique des marchands de sable et de devises étrangères. La scène internationale crève de ces "bobards" de "bobos", ces marchands d'armes sans âmes ou ces commerçants de biens matériels sans rien de spirituel.
Si nous ne résistons pas, si nous ne nous reconnaissons pas Chrétiens, Judéo-chrétiens, nous mourrons.
Notre monde mourra.
La terre mourra.
- "Juste une question "bête", sans doute, mon Général ? Mais étiez-vous à ce point croyant ?"
- "Catholique."
- Vous n'allez pas nous faire le coup du Concordat à la napoléonnienne, un coup d'Etat ?
- Non, il faut équilibrer les flux migratoires. La question n'est plus de savoir si l'homme est menuisier ou charpentier, mais s'il est chrétien ou musulman.
- Et nos musulmans français, on en fait quoi ? On les noie ?
- Non, ils sont Français, sous protection française, l'équivalent de la dhimmitude musulmane (Là, je meurs, deux fois !)
- Vous oubliez que la France est laïque, mon Général.
Silence.
Réponse : - "Liberté, Egalité, Fraternité !"
- "Bah justement : "Egalité et fraternité, si la fraternité consiste à maltraiter nos frères musulmans ?"
- Qui parle de maltraiter les Musulmans français ? Il s'agit de respecter la religion musulmane en France et de la faire respecter dans le monde, en adoptant ses critères de sélection. Autrement dit, sur une terre judéo-chrétienne, il faudra être judéo-chrétien pour pouvoir y venir. Sinon, il faudra repartir dans son pays d'origine ou répartir les flux migratoires entre pays musulmans pour les Musulmans du monde entier. Ainsi un Musulman lybien qui refuserait de retourner en Lybie pourrait repartir dans d'autres pays musulmans, comme le Pakistan, l'Indonésie ou... l'Arabie Saoudite.

- "Mais c'est interdit en France, mon Général. C'est de la discrimination religieuse. Quelle horreur ! Et je ne parle même pas de l'Europe."
- Si vous préférez voir la terreur des guerres de religion envahir à nouveau cette nation, la France, alors soyez lâches et vils, des imbéciles et des débiles. Vous parlez de "paix" avec des interlocuteurs qui pensent la guerre et qui sont des tueurs. Vous dites "laïcité" à des croyants qui "s'en balancent" et vous répondent : "Il n'y a qu'une seule religion, c'est l'Islam". Vous avez peur de votre ombre et d'employer les mots qui fâchent. A force d'ambiguïté, vous ployez sous les coups de la hâche fanatique et vos cerveaux sombrent dans l'ingénuité et la vacuité, pour y fuir les maux du monde.
Si vous perdez votre identité nationale, vous perdrez tout.
Les Français l'ont compris.
Votre peuple l'a compris.
Vous ne pouvez pas tendre la main à celui qui veut vous la couper au nom de sa religion.
Si vous voulez sauver les Occidentaux chrétiens partout dans le monde, il vous faut parler le langage religieux de l'Islam avec les Musulmans. Leurs critères de sélection doivent être acceptés pour sauver le monde chrétien.
Parce qu'il n'est pas possible à un Chrétien de pratiquer ouvertement sa religion dans un pays musulman, alors il vous appartient de refuser la pratique d'une autre religion sur une terre judéo-chrétienne, sauf pour les Musulmans français.
Parce qu'il n'est plus possible de recevoir ceux qui ne veulent pas connaître l'Histoire de France et voir nos temples et nos églises sur une terre judéo-chrétienne, alors il vous appartient de refuser de partager des avoirs uniquement matériels. Le savoir-vivre ensemble est "spirituel". Sans esprit, un corps ne peut vivre. Sans religion commune, une nation ne peut survivre.

La tolérance avec les intolérants est une maladie auto-immune propre à la "connerie" française. Elle sera source de grande souffrance et cause de désespérance nationale.
Trop en prennent à leur aise avec l'identité française.
Soyez courageux !
Arrêtez d'être des imbéciles peureux, alors que votre peuple est malheureux.
Il ne s'agit pas de rejeter les étrangers.
Il s'agit de les "trier" par rapport à leur propre degré de tolérance, en leur appliquant leurs propres critères de sélection par rapport à une nation dont ils n'espèrent rien, si ce n'est en posséder les biens matériels.
Les flux migratoires doivent être régulés par rapport, non pas seulement aux pays de provenance de ces étrangers qui vont affluer par milliers, sinon par millions, mais aussi par rapport à leurs pays de destinations, des pays compatibles avec leurs propres critères de sélection, des critères religieux.

La raison d'Etat impose de conclure des accords de reconduite pour les étrangers musulmans en situation irrégulière sur une terre judéo-chrétienne avec les pays musulmans "riches" . De même que ces accords internationaux devraient permettre l'accueil prioritaire en France des Juifs et des Chrétiens orientaux victimes d'exactions dans des pays musulmans les massacrant.
Si les Français veulent sauver leurs concitoyens de par le monde, ils devront prévenir les futures guerres de religion en s'y préparant, sans renier leur identité religieuse qui est leur identité culturelle. C'est en prétendant que nous sommes tous pareils, identité naturelle, et en confondant '"égalité de droits" avec "partialité de foi", que la France ouvre une ère dangereuse, celle d'une future guerre religieuse, la reconquête musulmane des terres orgueilleuses et industrieuses d'une Europe en friche qui se fiche du "spirituel".
L'identité naturelle s'oppose à l'identité culturelle.
L'identité culturelle française est "spirituelle", car "il est des lieux où souffle l'esprit".