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Billet de blog 18 septembre 2013

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Qui a saisi l'IGPN ? C'est lui. Et lui, mais lui, on le désignera plus tard.

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Oui, je sais. Je sais qui c'est.

Même si dans la vie, on ne sait rien.

J'ai grande joie à vous apprendre que... ce n'est pas le ministre de l'intérieur, Manuel VALLS.

OUF !

Avoir voté pour un gouvernement de gauche, et "se faire plomber" par la volaille de droite paraît plus logique, volaille de droite encore en place. Deux "poulets", deux chefs de service de la police nationale, qui surplombent la plèbe, pas la plaine   ! Pas un ministre de gauche, dont on m'assurait qu'il voulait la peau de la "poulette syndicale", sa mort, "poule au pot" ! Et aurait poursuivi de sa haine Véronique HURTADO. [Erreur :  La convocation de l'IGPN indiquait "sur la plainte du directeur départemental", sauf que ce serait bien la DGPN  (propos verbal ) qui aurait saisi l'IGPN et le Procureur de la République (soit-transmis écrit) qui poursuit directement, lui-même, la syndicaliste. C'est trop d'honneur, votre honneur ! ] .   

Manque de pot, il a fallu répondre à la question fatale et fatidique : qui avait saisi l'IGPN ?

Maintenant il reste à savoir pourquoi l'IGPN a accepté de servir ses deux "maîtres-policiers", le décret du 31 août 2013 étant très clair sur les procédures de saisine de l'IGPN  ? Justement pour éviter ce type de procédures judiciaires et administratives, affaires lamentables et minables de Clochemerle. [Erreur :  les mêmes causes engendrant les mêmes effets, ce serait bien la DGPN (propos verbal)  qui aurait saisi l'IGPN contredisant l'affirmation écrite portée sur la convocation de l'IGPN qu'il s'agissait d'une plainte déposée contre la syndicaliste par le directeur départemental. Qui ment ? ]

Le principal, c'est de savoir ENFIN qui a saisi l'IGPN. [J'étais optimiste sur la possibilité de connaître la vérité dans une enquête administrative diligentée par l'IGPN. Donc je ne sais toujours pas ! ]  

 [Par contre je sais que c'est le directeur zonal, ex-directeur départemental de la DDPAF66, auteur de la décision de priver de son poste de chef de projets informatiques, mon époux, qui s'est plaint effectivement que ce "haut fait de gloire", mutation verbale, suppression de poste et suppression d'une qualification professionnelle,  soit révélé au grand jour, "à la lumière", sur ce blog syndical.]  

Le premier s'appelle Thierry ASSANELLI, l'ex-directeur départemental de la DDPAF66 qui avait fait muter "verbalement" mon époux au SPAF du Perthus sur un poste de "scribouillard", après avoir exigé la cessation de sa mise à disposition en tant que chargé de mission à la préfecture de Perpignan pour la mutualisation des moyens informatiques. Si j'avais été gentille, m'avait-il expliqué, il aurait pu le ré-intégrer Robert HURTADO sur son poste de chef de projets informatiques, lui qui avait été le directeur du projet ELOI (voir le Journal Officiel pour connaître cette application interministérielle d'envergure nationale), au lieu de le désintégrer.

Donc non content d'avoir fait cesser sa mise à disposition sur un poste d'informaticien, M. "ASSASSIN-ELLI" a fait muter verbalement mon mari, Robert HURTADO, sur un poste de secrétaire au SPAF du Perthus. Dans le même temps, il me demandait à nouveau d'être gentille avec lui et de renoncer à la défense des agents que j'assistais. C'était déjà l'affaire Nadine CADEAU, lorsqu'elle était à la DDPAF66,  et l'affaire Maguy FABLET, qui furent deux réussites syndicales. Il y en eut d'autres.

Ce cher maître qui présentait sur sa table de réunion pyramides et autres symboles ostensiblement franc-maçonniques, fier de son grade et usant de tout ce qui pouvait l'avantager aux yeux des "faibles" et petits agents impressionnables, a été "viré" à Paris. Car comment appeler autrement le fait de ne pas avoir obtenu les postes de "directeur zonal" sur lesquels il avait postulés et d'être parti plus tôt que prévu ? Viré par la droite, lui-même, n'étant pas de gauche. La DDPAF66 était alors à feu et à sang.

Fin d'année 2012, la gauche nous l'a renvoyé en colis express, alors qu'un nouveau directeur départemental de la DDPAF66, après avoir découvert avec stupéfaction et consternation une situation désastreuse sur le plan humain et professionnel en 2011, avait peu à peu remonté le moral de ses troupes qui retrouvaient une vie normale. 

Pendant ce temps, mon époux croupissait à domicile, étant menacé de radiation des cadres pour ne pas reprendre du service dans un service dans lequel il n'était pas ou plus ou pas encore affecté. Depuis que le Tribunal Administratif avait annulé la mutation verbale au SPAF du Perthus, référé-suspension du 06 août 2008 et jugement du 26 janvier 2010, le SGAP de Marseille et la DDPAF66 se refusaient à le ré-affecter, mais lui envoyaient des mises en demeure de reprendre son service, dans des services, où, quand il se présentait, les chefs refusaient d'attester sa reprise professionnelle. Cinq ans de combat ! Maison saisie, mari menaçant de se suicider, enfant handicapé dont tout le monde se fichait et se fiche encore.

Et puis le grand retour d'Alien, en 2012, cette fois-ci sur le poste de directeur zonal de la PAF de Marseille, ayant autorité sur toute la zone, des Alpes Maritimes, des Bouches-du Rhône (Marseille, ça vous parle ?) de la Corse, jusqu'à  Perpignan ! Un gouvernement de gauche très "fraternel"  lui  a offert ce que la droite lui avait refusé, à lui, Thierry "ASSASSIN-ELLI" qui savait si bien saluer, à la manière d'un  certain moustachu dans son bureau de directeur départemental.      Aïe, de quoi a-t-il l'air, Attila de l'air ?

Son rival, plutôt de gauche (logique), le nouveau directeur départemental qui a pacifié la situation  se retrouve face à son mentor et menteur arbitraire, son contraire moral et déontologique, menacé d'être bientôt muté, sitôt dégagé par un gouvernement de gauche, lui-même étant pourtant de gauche. C'est un peu gauche, non ?  La loi du plus fort est toujours la meilleure, surtout dans la République des Loups.   

Morale de l'un : - Tous les coups sont permis, pourvu que l'on gagne ! Sinon je mords.

Morale de l'autre : Ne pas faire de mal. Et parfois "ne pas agir", dans tous les cas, jamais sans réfléchir.

 [Comme un certain François/Français]

Qui  a gagné, à votre avis, la droite qui maintient ses pions ou la gauche qui  a cogné sur les siens ?

Cette histoire étant  une fable pour les "faibles",  ceux qui font le bien, minoritaires aujourd'hui,  le loup bien sûr est "the winner", le loup qui mène  la meute des chiens et siflle ces "poli-chiens" quand la partie est finie : - A la niche , les caniches !

Du coup, il a ouvert le chenil et lancé tous ses "poli-chiens" à la poursuite de la "pas gentille" syndicaliste, Véronique HURTADO, celle qui a osé écrire sur lui dans son blog qu'il est pas "bien". Il faut dire qu'il y a de quoi écrire sur ce personnage tellement noir qu'il faut être "poire" pour le croire. 

Sans cette syndicaliste, il aurait déjà son grade de contrôleur général. Quel déboire !

Souventes fois, la préfecture de Perpignan a joué un rôle de conciliation et de médiation, confrontée au mal-être grandissant des policiers  qui ont la malchance de se trouver au centre du monde, "El Centre Del Mon", et au centre de conflits relationnels qui les dépassent, querelles d'ego et de crêtes de coqs arrogants, montés sur leurs puissants ergots. Epuisant pour les intervenants sociaux et les syndicalistes réellement engagés sur le terrain ! Surtout quand les chiens du Maître sont lâchés.

Date fatidique : octobre 2012, vacances de la Toussaint, Fête des  Morts, mais pas de remords pour le DZPAF qui repart de plus belle dans sa guéguerre de "petits chefs" sacrifiant à sa vanité personnelle toutes celles et tous ceux qui se mettent en travers de son chemin. Et lui, des amis, il en a ! Plein. Jusqu'à mon directeur.

  • "T'en es ? J'en suis.

  • T'en es pas ? Le début des ennuis pour toi."

  • Un sens de la fraternité pas catholique.

Alors souffrez que je me saisisse du tube cathodique pour faire connaître mon désarroi syndical et mon incompréhension. Voilà "Monsaigneur le Loup" qui voudrait déposer plainte, l'IGPN accourant pour m'entendre sur place, devant les agents qui me connaissent et me reconnaissent, griffe rendue méconnaissable du Maître, grand Escogriffe en la matière et expert en crocs,  tandis que dorment de leur belle mort les plaintes déposées par les agents harcelés, dont celles de mon mari Robert HURTADO, le parquet de Perpignan, jusqu'au doyen des juges d'instruction, semblant avoir oublié que les victimes ne sont pas toujours que des chefs de service. Elle est partie, la constitution de partie civile, mais où ?

Vous connaissez la suite : les victimes deviennent des mis(es) en cause, puisque la justice ne rend pas la justice. Les loups portent plainte pour les coups qu'ils ont portés aux victimes qui ont osé aller se plaindre à la justice. - Où est la preuve que j'ai menti ? Où est la preuve que j'ai fabriqué un faux ?  Hurlent-ils. Toutes preuves pieusement conservées, comme des reliques,  dans des affaires en déréliction dans un ilôt de désolation, la justice, à cause d'une proximité incestueuse avec une hiérarchie policière "négrière" et esclavagiste.  

Vous voulez savoir qui est le second ?

Pas de problème.  Ce n'est pas parce qu'un loup hurle à la mort qu'il faut avoir tort et faire le "mort". Le tort tue. Tôt ou tard.          A moins d'être mordu(e) !

[Dès que je sais qui a ouvert le chenil et lâché les chiens, je vous le dis.  "- Jurez-vous de dire toute la vérité, rien que la vérité ?" comme ils disent. - Oui !" 

A-t-on tort d'avoir raison ? Oraison funèbre de Véronique HURTADO occise par le sieur Thierry "ASSASSIN-ELLI" qui l'accuse aux Assises d'avoir osé protester contre le mal qu'il a fait aux époux HURTADO !  

Qui gère la police nationale ?

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