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Billet de blog 18 décembre 2013

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Quand la philosophie mène à tout, à condition d'en sortir : "K" de l'avocat Anthony BEM, choisi pour défendre ce blog syndical

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.


1/ Comment êtes-vous tombé dans le monde du droit ? Pourquoi ce cursus et pas un autre ?
J’ai fait des études de droit car en réalité je voulais faire des études de Philosophie mais aussi avoir un métier assuré aux termes de mes études autres que devenir professeur de Philosophie et pensais que le droit était la matière universitaire la plus proche. 

 
En réalité, si le droit est a priori éloigné de la philosophie, il n’est pas si éloigné que cela. 


Pour preuve, la philosophie du droit est une matière à part entière à la frontière entre les deux domaines. 


Le droit est surtout une matière qui touche tous les domaines de l’existence d’une personne (physique ou morale telles que les associations, les sociétés…). 


De la naissance, à la vie puis au décès d’une personne le droit est partout et règlemente chacun de ses faits et gestes. 


C’est parce que le droit est une matière riche d’enseignement, vaste et nécessaire qu’il s’est imposé pour mon choix d’étude et de carrière. 


Enfin, le Droit permet d’accéder à de nombreux emplois différents. [...]

http://www.juristudiant.com/forum/interview-de-me-anthony-bem-t15327.html

 

L'avocat "philosophe", Anthony BEM, a accepté  que soient publiées ses actions, interventions et rédactions, dans le cadre de la défense de ce blog syndical.

Je tiens à signaler que d'autres avocats que je considère comme des amis aujourd'hui, par exemple cet excellent "conférencier" à la verve "Romain(e)" et cicéronnienne, dont le talent oratoire n'a d'égal que sa réactivité devant les difficultés juridiques pregnantes qui m'assaillent, ont  préféré préserver  une certaine "confidentialité".

Cependant mon syndicat estime, lui, nécessaire de défendre ouvertement et publiquement la liberté d'expression syndicale, dernier rempart contre la censure ontologique et dogmatique  d'un état au sein de l'Etat qui se barricade contre le peuple français.

Tout procès contre la liberté d'expression syndicale exercée sur ce blog syndical sera donc entièrement médiatisé, aux fins de servir la cause de tous les lanceurs d'alerte aujourd'hui "cassés", "trépassés" et effacés de la mémoire vive de nos ordinateurs ou des archives de Google. 

Si un ou deux chefs de service et/ quelques syndicalistes adverses, serfs les servant, serviteurs du Maître, leur "Saigneur",  ont cru se reconnaître et s'identifier, qu'ils soient rassurés !, ils seront reconnus et identifiés pour ce qu'ils sont.                     

Tout sera dit, écrit et décrit dans les moindres détails. Si l'Etat avait le moindre doute sur la compétence de certains ânes qui ont choisi de perdre leur âme pour une botte de foin et quelques chardons, les lecteurs de ce blog, eux, n'auront plus aucun doute.   

Heureux les simples d'esprit, car le royaume de la publicité médiapartiste leur appartiendra.

La liberté de s'exprimer, une liberté constitutionnelle puisque syndicale, est  aujourd'hui fortement menacée, attaquée et réduite à un pré carré  "intérieur", dans une quadrature du cercle où les ânes ne veulent plus que boire,  bouffer et  baiser, bêtes veules s'en prenant à la veuve et à l'orphelin, mais pas aux fils de la Veuve, la guillotine de la police nationale.

Ce sont les trois "b" de la bêtise humaine, réduisant l'homme à cette bête sans tête, la Bête hideuse et affreuse du totalitarisme animal . Trois "b" : trois petits points inexistentiels pour un état ministériel, un état dans l'Etat, sans état d'âme puisque sans "âme". Vendre son âme pour de la soupe, parce qu'il ne faut pas "cracher dans la soupe", quelle misère spirituelle et intellectuelle !  

Perdre son âme pour garder un travail, c'est signer de son sang un contrat avec la "Bête". Cette bête  est en nous, et si la nourriture emplit sa panse jamais pleine, la bête ne pense plus. Elle mange et elle meurt, la bête, sans même savoir pourquoi elle a existé, craignant la mort dans sa prison carrée aux murs sales et "pisseux", dans son mouroir, avant l'étape finale de l'abattoir. Le clapotis de la vague brune,  comme une nostalgie curieuse et furieuse, nourrit une folie intérieure, la folie d'hommes devenus "bêtes".

Le "philosophe" est condamné à rester dans son tonneau, comme Diogène le cynique qui a longtemps cherché un homme au coeur de la cité, citoyen extérieur d'une République qui a condamné Socrate à boire la cigüe.

 

Ce qui est subversif, ce n'est pas la "philosophie", mais la zoophilie.

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.