Les blancs, ce ne sont pas les Aryens, habitants de l'Iran, "hi, han". Ce sont les Caucasiens qui en seront quitte pour prendre un cachet d'aspirine, le meilleur remède contre une "bonne cuite".
Impossible n'est pas français.
Ils ont réussi l'impossible, nos footballeurs français, nos footballers "black, blanc, beur".
La France a gagné.
Merci, la France !
Grâce à eux, la France s'est réconciliée avec elle-même et son drapeau tricolore : "black, blanc, beur".
Un exploit de nos footballeurs français en baskets... et la paix civile a triomphé sur le bruit des bottes .
- Aïe, Hitler ! Le couple Franck RIBERY et Mamadou SAKHO ont renversé les thèses racistes.
- "On ne donnait pas cher de nos petits Français si mal élevés !" s'amuse Noël LE GRAET.
Quand nos enfants "black, blanc, beur" perdent et se perdent, nous perdons aussi.
La France perd aussi !
Si nous voulons gagner, dans le "on" a gagné, il faut intégrer le "ils" des "black, blanc, beur".
Jeunes de nos banlieues françaises, vous êtes l'avenir de la France.
Ne l'oubliez jamais, pour ne pas être oubliés. Soyez forts, soyez unis, soyez une équipe, comme l'équipe de France ! Une équipe "black, blanc, beur", plus forte que les "cachets d'aspirine" de l'Ukraine, plus forte que la haine qui ronge les blancs, les noirs et les beurs racistes.
Unis pour gagner, désunis pour perdre.
L'équipe de France "black, blanc, beur" nous a offert un beau symbole, un signe des nouveaux temps sous un gouvernement de gauche, celui de la réconciliation nationale contre une vague brune qui monte, qui monte, qui monte. Eux seuls pouvaient l'arrêter, l'endiguer. C'est un beau cadeau de Noël, avant les fêtes de fin d'année.
Julien, Mouki et Romain, trois amis vivant en banlieue, lancent un jeu. V. WARTNER / 20 MINUTES
[ Atouts : Trois jeunes de Choisy et Ris-Orangis ont créé un jeu de société
Une belle carte de visite.
Trois amis originaires de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) et Ris-Orangis (Essonne) ont choisi une voie originale pour réussir : lancer un jeu de société pédagogique en neuf langues. Après deux ans et demi de boulot et en conjuguant leurs idées –Julien travaillait dans le jeu vidéo, Mouki dans la musique et Romain dans le jeu de société – leur bébé, Steplife*, a vu le jour en octobre. ]
Hier soir, trois vagues successives d'émigration pavoisaient sur les Champs- Elysées, les Portugais, les Algériens et les... Français, "black, blanc, beur".
Trois drapeaux qui flottaient sur la plus belle avenue de Paris, comme une reconquête d'un Paris libre et libéré de ses spectres nazis et de ses groupes néo-nazis.
[ Avec les qualifications conjointes de la France, du Portugal et de l'Algérie, de nombreux supporters ont envahi les rues à Paris, Strasbourg, Marseille...
Des centaines de supporters de l'Algérie et de la France ont fêté mardi soir dans un concert de klaxons dans Paris et notamment sur les Champs-Elysées, la qualification de leurs pays pour la Coupe du monde 2014 au Brésil. Une partie de la soirée, les voitures ont monté et descendu la grande avenue parisienne avec des drapeaux algériens, français et même portugais sur leur pare-brise, au milieu des pétards et des fumigènes, a constaté un journaliste de l'AFP. Le Portugal s'est lui aussi qualifié pour le Mondial de football mardi soir.
Parmi la foule, une majorité de supporters algériens exprimait leur joie. "On est qualifié pour le Mondial pour la quatrième fois, c'est une grande fierté. C'est important surtout que c'est le Brésil", déclarait Mohamed Gridissa, 32 ans, cuisinier d'origine algérienne. "En plus, il y a la France, c'est une grande histoire d'amour entre nos deux pays. Peut-être qu'on sera dans le même groupe", ajoutait cet homme venu en famille fêter la qualification. Beaucoup de jeunes hommes étaient debout sur les voitures au milieu du marché de Noël dressé sur les Champs-Elysées, dans une atmosphère festive.
Les supporters français n'étaient pas en reste. "Depuis vendredi, j'ai la boule au ventre, maintenant ça va mieux. Vive l'équipe de France, on est tous ensemble. La France ça marche avec les Noirs, les Arabes, les Blancs. Ce soir c'est (Mamadou) Sakho qui sauve le match", s'est félicité Sylvester 23 ans, employé d'un grand magasin, venu de Combe-la-Ville (Seine-et-Marne), pour célébrer la qualification sur les Champs. Autour de lui, des supporters venus directement du Stade de France, arboraient le drapeau tricolore sur leurs joues, et quelque-uns portaient fièrement le béret. ]
Autre signe de ce nouveau siècle, les Brésiliens étaient venus d'Amérique du Sud pour encourager l'équipe de France "black, blanc, beur".
Les Brésiliens, comme vous le savez ou ne pouvez pas l'ignorer, le peuple le plus métissé au monde, le plus victorieux au football et le plus beau du monde.
Pour les "rassis/ramollos" du cerveau, je précise que les Portugais ont gagné contre les Suédois.
Bah quoi, je l'écris pour les adeptes de la thèse "A rien/Aryen à dire, sait pas quoi dire, ni sait comment réfléchir, les bons à rien qui sont supérieurement cons". Encore un signe de supériorité raciale !
C'était plus dur pour les Fennecs algériens qui avaient en face d'eux les Etalons du Burkina Faso.
Normal : les Etalons sont majoritairement "black". Et même endormis, à cause du manque de sommeil, ils sont restés coriaces.