- "Ils sont où, les djihadistes ? Mais où qu'y sont ?'
- "Ils sont passé par ici, ils repasseront par là !"
Même qu'y z'étaient drôlement étonnés, la clique à MERAH de pas voir de "flics", personne pour les accueillir et les "cueillir" à leur arrivée en... France.
Heureusement qu'ils étaient fichés comme étant de dangereux terroristes, les frères MERAH !
Pour un peu, on croirait que la police aux frontières de Marseille s'en fichait.
Bon, je vous l'accorde, sans trop tirer sur la corde du pendu :
- "...à Marseille !"
- "Est-ce que Marseille, c'est la France, Bonne Mère ?"
Poser la question, c'est déjà y répondre.
Bah, ouais, quoi, on y revient !
Comme hier.
La "Police aux Fous", PAF, fait encore reparler d'elle, dans la fange fraternelle du bord méditerranéen, quand les Frères de la côte s'arrangent avec la vérité, si je mens.
Est-ce qu'elle a retenu la leçon, la syndicaliste, depuis qu'elle a été radiée des cadres, le 9 septembre 2014 ? Pour sûr !
C'est qu'elle est bien tenue, la police, et rudement bien tenue, en tenue ou pas !
D'ailleurs vous l'avez reconnue, c'est la Police aux Fous, la PAF !
Faut dire que rien n'a changé, c'est tout comme avant, avec les mêmes, puisqu'on recommence la même histoire avec les mêmes, plutôt avec le même frère "Merou/MERAH/T'auraspas", celui que les "frères de la côte" nous ont aimablement renvoyé, grâce à un gouvernement de maçons très gauches quant à la gestion de la "maison-poulaga", blablabla, tenue blanche et blancs bonnets.
Pas étonnant que les portes ne ferment pas dans la "maison-poulaga", surtout à Marseille, à cause de l'équerre bancale et du compas qu'on cale pour tenir la porte ouverte et avoir des courants d'air. Sinon elle claquerait, la porte, si on la fermait. Vaut mieux la laisser ouverte !
Dans le "CRA-caca" de Marseille tenu par la PAF, il est tout aussi facile d'en sortir pour un étranger en situation irrégulière que pour des djihadistes de rentrer sur le territoire français... à Marseille !
J'avais prévenu.
Ou plutôt Il avait prévenu.
Il s'occuperait personnellement de ceux qui se sont occupés de moi.
"Normal" !
Faut comprendre aussi :
- Les terroristes, annoncés comme déjà arrêtés à Orly par une presse mal renseignée à cause d'un ministre trop empressé à communiquer, ne sont pas appréhendés, ce que nous appréhendions tous.
Ils aterrissent à Marseille et la France entière aterrit avec eux.
Consternation, désolation !
Les services de renseignements turcs n'avaient pas prévenu les services de renseignement français que les dangereux djihadistes avaient changé de destination.
Il faut les comprendre aussi, les Turcs :
- "La France, c'est bien la même destination que la France. Pourquoi Orly serait-il plus en France que Marseille ?"
Nous, on sait pourquoi, mais pas eux, les Turcs.
Vous allez voir que, bientôt, ils vont devenir les "têtes de turcs" des services de renseignement français, les Turcs.
Présumés innocents de leur aller en Syrie, et simples touristes de retour du djihad en France, nos "terroristes" , parce que Français, formés aux arts de la guerre, ce qui pourrait nous les rendre un peu barbares, présentent passeports et autres documents aux autorités de contrôle mal informées qui ne leur trouvent aucun tort et ne leur font aucun tort, ce qui est fort de café, un café bien noir.
A Marseille, il n'était pas au courant, le chef des chefs de la "Police Aux Fous,"de cette affaire de djihadistes, quand la France entière, elle l'était, au courant. Il avait peut-être une panne... de courant, bien sûr.
C'est encore de la faute à l'informatique et bientôt de la faute à l'informaticien !
Frontex, c'est moins intéressant que le sexe, dans le Sud : "sea, sex and sun".
Faut comprendre, enfin :
- Fichés et recherchés dans toute la France, les Islamistes, pourquoi viendraient-ils à Marseille ?
Parce que...
Peut-être parce que, comme le signalaient des policiers de la PAF au Maroc à tous leurs collègues de France il y a peu, Marseille est devenue la destination privilégiée des "passeurs" ou autres marchands de traites humaines, la ville où il n'y a pas de peur sur la ville, juste une légère torpeur.
Il paraît qu'à Paris et Orly, c'est trop surveillé !
Faudrait veiller à voir que partout en France nos accès soient verrouillés, pas seulement à Paris, sinon la France va avoir un vilain abcès, à Marseille.
Marseille, cette merveille que tout le monde nous envie, à condition d'y rester en vie.
Si Véronique HURTADO "ne passe plus" à Marseille, tous les trafiquants, eux, d'armes ou de bêtes humaines, préfèrent passer par Marseille, son port ou son aéroport, pour traverser la France.
Ce fut écrit dans un message interne d'alerte plutôt récent, en langage décent, politiquement correct, pour ne pas déplaire aux frères de la côte.
Encore faut-il que les policiers de Marseille soient suffisamment alertes pour en comprendre l'urgence et faire diligence... surtout ceux de la Police aux Fous de Marseille, dérangés par l'autre "fou", encore plus fou qu'eux.
Encore lui !
Qu'y puis-je mais, si la France retombe sur lui, le "hAshashin" (en arabe, donc langage politiquement correct ! Ne le dites plus avec des fleurs, mais dites-le en arabe) et que cette affaire risque de devenir la tombe de son ministre.
Le premier ou le second frère ?
Ce n'est pas faute d'avoir prévenu le Premier Ministre, lequel était prévenu contre moi, qu'il allait incessamment sous peu se ridiculiser avec son "ministre de l'inté-rien", un rien formaliste car trop "formolisé".
Si le formol conserve, c'est dans un bocal, pas dans un maroquin.
Si le "sinistre de l'intérieur" m'a démise de mes fonctions à l'extérieur, le Premier Ministre l'a maintenu dans sa fonction.
"Normal", qu'y suis-je ?
- "Et pour vous, qu'y suis-je ?" demande-t-Il à qui veut bien Le rencontrer.
Total, il, avec un petit "i", se reçoit l'extrême-onction, ce qui les déçoit, les Marseillais.
Ah l'affaire MERAH du Merou pas pris, t'aspastoutvu !
Celui qui fait marron tous les ministres de l'intérieur.
Vous avez raison, Monsieur le Ministre, ce n'est pas bien de dénoncer ce qui se passe dans la "Police aux Fous".
Se taire, c'est comme bien faire, pensez-vous, ou laisser croire que c'est bien faire et "bien fait".
Sauf que se taire, c'est laisser faire.
Qui s'en aperçoit ?
Mais toute la France aujourd'hui s'en aperçoit, Monsieur le Ministre.
Ce n'est pas la syndicaliste qu'il fallait radier des cadres, laquelle peut davantage irradier dans son style débridé, à défaut de vous dérider.
Plutôt que de réagir sans peur contre des chefs de service et d'en punir l'incompétence, quand auteurs de tant de souffrances et "MAL-faiteur", vous avez "couvert" par votre silence de graves négligences, des délits que sont des agissements discriminatoires, violences policières, harcèlement moral et/ou sexuel, faux en écriture public, subornation de témoins, j'en passe et des meilleurs, les agents qui trépassent d'une telle gestion cataclysmique ou comique, à s'en tenir les côtes de rire.
Car mieux vaut rire de tout que de mourir pour rien, et surtout pas demain.
Le taux des suicides dans la Police Nationale est en soi un suicide institutionnel quasi intentionnel.
En marquant votre préférence pour le silence plutôt que la justice, me faire taire pour plaire à de simples chefs de la PAF de Marseille, cette merveille du Sud, vous avez mis en difficulté votre gouvernement sur une affaire de terrorisme, à un moment où la vie des Français dépend de votre "in-capacité" à pouvoir contrôler nos flux migratoires, même à Marseille, surtout à Marseille.
Parce que, la prochaine fois, la prochaine affaire, Monsieur le Ministre, ce ne seront pas des djihadistes "annoncés" par les services de renseignements turcs qui vont pénétrer sur le territoire français, ce seront de simples réfugiés déguisés en "demandeurs d'asile" non encore dénoncés et sans port de signes ostentatoires de cette religion dont le nom ne doit pas être prononcé : l'Islam.
Aussi je le répète :
- "dans la famille des grands ministres de l'intérieur, je demande Jean-Jacques URVOAS, "l'as des as", avant que tous passent, que les Français se lassent et qu'ils nous cassent . "
La "maison-poulaga" ne s'auto-gère pas, même pas et surtout pas "fraternellement", avec les "frères de la côte."
Sinon, c'est le Premier Ministre au petit matin qui ne digère pas sa revue de presse quotidienne et hebdomadaire.
Le 29 septembre 2014, c'est le jour de la Saint- Michel, fête de cet archange, patron des policiers, un jour comme un anniversaire.