Deux chiffres, presque les mêmes :
- 2 et 3 contre 2 et 1, mais pas le même profit et pas pour les mêmes.
2,3 % d'augmentation pour les tarifs du gaz contre 21 millions d'€ pour la retraite-chapeau du patron du gaz.
GDF Suez : la CGT dénonce la retraite chapeau à 21 millions d'euros de son président
Le Monde.fr avec AFP |
23.10.2014 à 19h21 • Mis à jour le 23.10.2014 à 21h16
Encore la CGT qui dénonce un grand patron ?
Trop, c'est trop.
Dehors, à la casse, les syndicalistes, ouste !
Tout passe, tout lasse, tout casse.
Je me demande... juste une question... une probabilité...
Est-ce que la somme de 21 millions d'€, le chapeau de Gérard MESTRALLET ne suffirait pas à couvrir les 2,3 % d'augmentation du gaz prévu cette année et les autres années à venir ?
Qu'en pensez-vous ?
Cette ventilation, reversement de bénéfices personnels au profit de la société... française et de la société GDF Suez, permettrait d'apporter de l'air à une trésorerie asphyxiée par le gaz. De plus, l'apport serait réel et immédiat.
Il faudrait que Philippe WAESELYNCK me calcule cette probabilité de n'avoir pas besoin d'augmenter les tarifs du gaz, le chapeau de la retraite du patron de GDF-Suez suffisant à couvrir le déficit prévu pour les quelques années à venir.
Philippe, t'es où ?
Ah oui, il a été viré de MEDIAPART, ma grande gueule et mon cerveau de matheux trop valeureux.
Toujours se taire !
Comment l'écrit "MAM" dans son nouveau livre ?
"La tentation totalitaire"... "de la gauche", dénoncée par la droite, on croit rêver !
Michèle Alliot-Marie s'inquiète de la «tentation totalitaire» de la gauche
Par Jim Jarrassé
Mis à jour le 29/08/2014 à 11:16
Publié le 29/08/2014 à 10:52
[...]
MAM fait sa rentrée. La députée européenne UMP, invitée ce matin sur iTélé, en a profité pour faire la promo de son livre, La Tentation totalitaire de la gauche (Plon). Un titre choc que l'ex-ministre explique ainsi: «Je ne vais pas dire que toute la gauche ou que François Hollande a l'intention d'être totalitaire. Mais il y a une volonté des plus radicaux et des plus dogmatiques de garder ce pouvoir si difficilement acquis et d'imposer leurs hommes». [...]
Michèle ALLIOT-MARIE se trompe de cible.
Le Parti Socialiste est mort.
Il est parti à gauche, très à gauche.
Ou alors à droite.
C'est pour cette raison qu'il n'existe plus.
Quand les pauvres se font suer avec une augmentation de tarif du gaz de 2,3 %, à laquelle s'ajoute l'augmentation de leur loyer, des coûts de transport et de la nourriture de plus en plus chère, sans oublier l'augmentation du taux de chômage les privant de travail, le président de GDF Suez s'offre une retraite-chapeau de 21 millions d'euros, "bien méritée" selon le discours patronal en cours et en vogue sur les medias français.
C'est le chef de l'usine à gaz, Pierre GATTAZ, qui va être content, le chef de tous les chefs, le chef du MEDEF, la nef des fous en France.
Comment résoudre le problème du chômage en France ?
Top-chrono : dix secondes pour répondre...
10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2,... 1 !
Réponse :
- En autorisant les licenciements sans cause réelle et sérieuse.
J'explique pour les potes en poste, ceux qui ont de la compote à la place du cerveau :
- Il faut permettre aux patrons de licencier plus pour réduire le taux de chômage.
Plus de licenciements = moins de chômeurs, parole de GATTAZ, le bec à gaz qui enfume.
- Ah, parce que licencier, ce n'est pas mettre au chômage des travailleurs français ?
Chapeau pour le calcul assez simple au demeurant :
- plus de licenciés = moins de chômage.
Ou alors ils vont rebaptiser le mot "chômage", genre :
- le nouveau parti des "chercheurs d'emploi".
C'est à la mode aujourd'hui : changer le nom d'un parti, le parti pris des patrons apatrides jamais assez riches qui trichent avec leurs chiffres d'affaires contre les Français qu'ils appauvrissent.
Etre payé des millions d'euros par an et s'offrir une retraite-chapeau de plusieurs millions d'€ pour calculer que :
- plus on met de travailleurs au chômage, plus ça fait baisser le chiffre du chômage en France !
faut le faire.
Effectivement il n'y a qu'un technocrate super-intelligent mais pas démocrate, un économiste cubiste pour nous faire voir et accroire qu'en supprimant des travailleurs, il y a aura moins de chômeurs en France.
Faut comprendre,aussi :
- Les patrons en France, ils sont très malheureux, même si ce sont aujourd'hui les mieux payés d'Europe, ces chanceux.
Oui, ils sont très malheureux, si, si.
Ils ne peuvent pas sous-payer leurs salariés et ne peuvent pas non plus les remercier, comme ils le veulent, quand ils le veulent et pas quand ils peuvent.
Pouvoir, ce serait respecter une condition, la cause réelle et sérieuse d'un licenciement.
L'abus de pouvoir des pauvres contre le patron :
- demander à être remerciés, licenciés, pour une cause réelle et sérieuse et pas pour une raison licencieuse liée à une bourse séreuse et très onéreuse.
- Est-ce que j't'en cause, moi, de l'économie et du contexte dépressif ? C'est quand je veux, où je veux et comme je veux.
La ferme !
Je ferme ma boîte, mes usines et j'te demande de fermer ta boîte à camembert.
La démocratie française ?
C'est quoi, une démocratie, d'ailleurs ou ailleurs ?
Rappelez-moi la définition.
- Gouvernement par le peuple.
Bon, le moins qu'on puisse dire c'est que nous ne sommes plus en démocratie.
Ce sont les patrons qui gouvernent, parce ce qu'ils sont patrons, na !
La gauche a toujours eu un problème avec l'autorité.
Ne sachant pas gouverner, elle se laisse gouverner.
Berner, je ne sais pas.
Ce que je sais, c'est que ce sont les Français qui se sont fait berner, moi la première !
Si l'Europe est consternée par la gouvernance française, qu'elle se rassure : le pouvoir politique ayant été depuis longtemps détourné du peuple pour être contourné par des possédants au nombre de plus en plus réduit, puisqu'ils s'entretuent et tuent leurs descendants, le peuple français "essuie les plâtres", à la recherche de la voiture-balai qui va nettoyer le monde politique ou l'envoyer chez les Grecs, le placard à balais de l'Europe, finir de les anéantir.
Mais pas en France !
Si le peuple résiste, c'est qu'il n'est pas défaitiste.
Au contraire le peuple français est dans l'espérance, l'espérance d'un changement qui ne pourra plus être que dans le renversement de cette succession de gouvernements, un gouvernement où tout le monde se ment et lui ment.
Ce qui apparaît comme un bouleversement insoutenable pour des élus politiques trop connus des Français, mais qui ne les connaissent plus, ces Français, lesquels Français du coup ne les reconnaissent plus comme étant leurs représentants, paraît être le chambardement nécessaire, quasiment révolutionnaire, pour sortir la France de la corruption et de ses associations de malfaiteurs.
Si ces grands patrons étaient les bienfaiteurs de la nation, ça se saurait.
Il suffit de regarder, en France, les chiffres de l'enrichissement et les chiffres de l'appauvrissement pour savoir qui sont les voleurs de biens et qui sont les tueurs de vie.
Prétendre que les patrons souffrent en France, c'est avoir la vue bien basse, "Mon Saigneur".
Ou pas assez haute !