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Billet de blog 25 juin 2014

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Du droit de grève en France : - "Qui, du patron ou de l'ouvrier crève la France, et pourquoi ?"

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Pourquoi les patrons ne font-ils jamais grève ?

Parce que personne ne s'en rendrait compte.

C'est une bonne raison, non ?

Pour ceux qui l'auraient oublié, les "travailleurs", ce sont les ouvriers, même les ouvriers de Dieu.

Faites vos comptes ! 

Qui coûte le plus cher à une entreprise, pire à une multinationale ?

Et qui sert à rien en définitive ?

Un patron, son PDG.    

PDG = Président Directeur Général

ou  "     Privé du Droit de Grève"

parce qu'inutile et futile, tout à la fois et Président et Directeur et Général !

Trois fois rien, trois lettres pleines de fatuité et de vacuité.

Un peu comme le Grand Maître de la Grande Loge du Grand Machin  à l'Ouest ou à l'Est...

Vanité des vanités, tout est vanité. 

Privé du Droit de Gréve, le PDG, car non "travailleur" salarié.

En effet, tout travail mérite salaire.

- "Alors pourquoi paie-t-on un PDG ?"

- "Pour représenter l'entreprise à l'extérieur, pardi !

C'est le seul qui peut quitter son poste de travail sans que l'usine perde un radis, en s'arrêtant de produire. " 

Un PDG, c'est le VIP VRP, le "Very Indecent Person"  "Very Rapid Predator", le seul qui peut fuir de la France en emportant tout, quitte à nuire à tous, à tous ceux qui travaillent bien sûr.   

Pour ceux atteints de surdité, comment en être sûrs, de source sûre   ?

Vous qui n'entendez rien au monde du travail, référez-vous à l'étymologie de l'injonction préférée du  patron :  "être rapide" "ou "comment ne pas perdre son temps" (son temps à lui, le patron !).

Si vous connaissiez votre histoire, vous sauriez que tout est écrit par avance.

Le Verbe existe.

Quid du mot "rapide" et de son étymologie ?

Because we are in the world of an anglo-saxon american imperialism, we say...

"From Latin rapidus  : - tearing away,

- from rapere :  - to seize (see rape)."

Collins English Dictionary

- Complete & Unabridged 10th Edition 2009

© William Collins Sons & Co. Ltd. 1979, 1986

© HarperCollins

Publishers 1998, 2000, 2003, 2005, 2006, 2007, 2009

Etymonline

Word Origin & History

Rapid

- "1634, from Latin, rapidus "hasty, snatching,"

- from rapere "hurry away, carry off, seize, plunder,"

- from PIE base *rep- "to snatch" (cf. Gk. ereptomai "devour," harpazein "snatch away"). 

Online Etymology Dictionary, © 2010 Douglas Harper

"Rapid" means "active"   in an anglo-saxon imperialism's world.

But Frenchies say : "Rien ne sert de courir il faut partir à point".

La preuve : le taux de productivité des Français est supérieur à celui de tous les autres travailleurs étrangers.

Donc we say :

"Rapid" from "Rapere"

(rapere/rapid" comme "rapine", french and fresh in the text :

"Rapine"

  • Action de prendre de force quelque chose, de s'emparer du bien d'autrui par la violence : Faire rendre gorge aux auteurs de rapines.

  • Biens, argent obtenus par le pillage ou les malversations (surtout pluriel) : Une fortune constituée de rapines.

Le monde du travail anglo-saxon serait la loi de la rapine devenue la loi du monde, c'est à dire la loi du plus fort, celle du voleur et du pilleur, de celui qui peut s'emparer du corps et  de la vie d'autrui pour les soumettre  à son diktat,  par le trac (peur, angoisse ou stress)  ou le rapt (entrave à sa liberté d'être ce qu'il voudrait être, liberté de conscience, d'opinion et de religion).

D'où  petit rappel étymologique pour appel au bon sens politique d'un terme trop souvent usité et suscité par des médias chroniqueurs et chronométreurs :

-  "rapide" !

à traduire par  "ne pas perdre son temps", donc surtout "ne pas faire perdre son temps à son employeur", au voleur de temps de vie des autres, du temps de travail pour un autre en échange du droit de vivre pour soi, seulement  du droit de vivre de plus en plus mal, du droit qui se réduit à vivre une vie de moins en moins digne et respectable.

L'homme n'a plus le droit de perdre son temps pour lui, pour vivre sa vie. Sinon c'est du temps qu'il vole à son employeur, du temps perdu pour l'avide voleur de vies, ce pilleur impavide des sources naturelles et des ressources humaines qui transforme notre planète en poubelle, à force de traiter les autres comme des bêtes, des bêtes de somme. 

[   RAPIENDUS, A, UM 

transitif

sens commun

RAPIO, IS, ERE, RAPUI, RAPTUM, tr

2 siècle avant J.C.PLAUTUS (Plaute)

emporter avec violence voir: emporter

entraîner avec soi voir: entraîner

1 siècle avant J.C.CICERO (Cicéron)

enlever v. t : (de force ou par surprise), ravir, emmener de gré ou de force voir: enlever

piller v. t : (voler), s'emparer violemment des biens d'autrui voir: piller

rapiner v. t : (enlever de force), prendre par rapine voir: rapiner

ravir v. t : (enlever), enlever de force voir: ravir

soustraire v. t : (enlever), dérober voir: soustraire

voler v. t : (enlever de force, piller, ravir), s'approprier le bien d'autrui de façon illicite voir: voler

1 siècle avant J.C.SALLUSTIUS (Salluste)

prendre v. t : (se saisir rapidement de), saisir, s'emparer de voir: prendre

1 siècle avant J.C.VERGILIUS MARO (Virgile)

se saisir vivement de voir: saisir   ]

Je résume : "Est rapide celui qui emporte, entraîne, enlève, pille, rapine, ravit, soustrait, vole, prend..."

En particulier, celui qui prend votre temps de vie pour le convertir en temps de travail, vole votre vie pour la convertir en survie, une vie travaillée pour le voleur qui ne travaille pas et vit du travail des autres, une vie travaillée, une vie à travailler pour celui qui ne compte pas pour celui qui ne travaille pas".

Alors convaincus, les "ravis" pas "rapides" de la nécessité absolue de devoir être rapides dans un monde de "rapine", pour ne pas perdre votre temps, c'est à dire son temps à lui, celui qui vous possède  ?

"Time is money"  but "Time will be our survey if we want to survive".

C'est vrai que pour voler la vie d'autrui, il vaut mieux être rapide.

Mais pour conserver sa vie et son temps, que faut-il être ?

Libre.

Pour ceux qui n'écoutent jamais et auraient encore un doute, un peu de joute verbale, en attendant la déroute capitale, quand les vainqueurs seront les vaincus et se retrouveront tout nus, foutus même si encore joufflus et bouffis de graisse :   

What is a rape ?

rape

noun

1.

The unlawful compelling of a person through physical force or duress to have sexual intercourse.

2.

Any act of sexual intercourse that is forced upon a person.

3.

Statutory rape

n

(in the US) the criminal offence of having sexual intercourse with a girl who has not reached the age of consent

Origin: 1930–35

4.

An act of plunder, violent seizure, or abuse; despoliation; violation: the rape of the countryside.

5.

Archaic. the act of seizing and carrying off by force.

verb (used with object), raped, rap·ing.

6.

to force to have sexual intercourse.

7.

to plunder (a place); despoil.

8.

to seize, take, or carry off by force.

verb (used without object), raped, rap·ing.

9.

to commit rape.


For instance, a rape victim may experience a panic attack when she sees anyone wearing a coat that resembles the one worn by her attacker.

Ou qui ressemble  à l'ombre du patron se profilant sur le mur du couloir de la mort.

Car il est interdit de dormir dans le monde du travail, de courir oui, de courir jusqu'à mourir, au bout d'une vie de labeur et de peurs. 

Well, so we demonstrate que le patron qui dit " Plus vite !, plus vite, plus vite !" (traduction in english   :  - "more rapid !" or "fast"  like "gas" or Pierre GAS-TTAS-T") is a "raptor".

- "And what is a raptor ?"

- "Just a Predator, like a "Very Rapid Predator" who is a "Very Indecent Person". "

"If my efforts have to be with bankers and money men, then so be it."   GASKIN Catherine -The Ambassador's Women

Il n'y a pas de hasard.

Il n'y a que des mots à l'orgine de nos maux.

Si vous ne déchiffrez pas les mots qu'ils utilisent pour faire de vous des esclaves, vous ne vous libérerez jamais du discours dominant et ambiant. 

C'est vous qui êtes la force de ce monde, un monde du travail dément qui s'organise sans vous. Sans vous, ces patrons  n'existeraient pas ou plus, that is the fact.

Un dernier exemple du discours patronal vénal qui règne en "maître" absolu et confus dans les médias asservis aux plats mille fois resservis   :

- les "29 %" de Pierre GATTAZ, la prime du patron du MEDEF,  un bijou d'inversion des valeurs morales et donc d'une gestion "a-normale".

Veuillez lire ce qui suit les pleurnicheurs,  "pauvres" qui pleurez sur votre sort et avez tous les torts, ce discours de Pierre GATTAZ le très fort, le puissant et le dominant, celui qui vous nuit,   Pierre parce que pierre comme un coeur de "Pierre" , pierre sur laquelle est bâti le capitalisme d'aujourd'hui : 

http://www.legorafi.fr/2014/05/07/pierre-gattaz-demande-aux-pauvres-de-bien-vouloir-souffrir-avec-un-peu-plus-de-dignite/ 

Pierre Gattaz demande aux pauvres de bien vouloir souffrir avec un peu plus de dignité 

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[  Invité à s’exprimer dans une tribune libre à paraître demain dans Le Figaro, Pierre Gattaz n’y va pas par quatre chemins. Ce dernier tacle les ménages français les plus modestes qu’il juge responsables de la situation économique actuelle du pays et qu’il accuse de ne « pas vouloir affronter les épreuves de la vie avec dignité »

Pour Pierre Gattaz, il n’y a pas de doute. « La sortie de la crise est impossible avec un tel comportement » écrit-t-il pour dénoncer le défaut de combativité des précaires français. Manque de dignité, de savoir-vivre et d’amour propre, le patron des patrons ne mâche pas ses mots pour toucher leur fierté. « Moi, on ne m’a pas appris à me plaindre, mais à serrer les dents et à me taire, c’est mon éducation » ajoute-t-il pour se justifier, en pointant le relâchement vestimentaire dans lesquels les pauvres se complaisent parfois:  « La pauvreté n’excuse pas le manque de goût » rajoute t-il.

Pierre Gattaz veut aussi dénoncer le manque de reconnaissance des travailleurs envers les grands patrons français. Le président du MEDEF prend l’exemple du 1er mai, selon lui dénaturé par les syndicats. « Ce qui devrait être un jour de fête, pour nous les patrons, devient une fête de la contestation sociale, ou de la paresse » note-t-il dans sa tribune. Ces « paresseux », comme il les appelle, Pierre Gattaz les invite à prendre exemple sur ceux qui ont « réellement célébré la fête du travail en allant travailler comme tous les jours ou en ne faisant pas le pont du 8 mai  ».

Pierre Gattaz termine en disant que franchement les gens se plaignent alors que si on regarde attentivement, cela pourrait être bien pire : « On a tellement tendance à exagérer dès qu’on déprime un peu, il faut regarder du bon côté de la vie ». Il  propose ainsi de résoudre la morosité ambiante en imposant aux personnes en difficulté sociale un stage mensuel obligatoire de réalisation d’un clip mettant en scène la célèbre chanson “Happy”.  ]

La Rédaction

Illustration : Wikicommons / Le journal du Dimanche

Alors, heureux, les "loosers" ?

Pour lui, vous êtes des "médiocres", au sens commun du terme qui signifie "moyens", comme "classes moyennes".

Je vous fais un dessin ou voyez-vous son dessein ?

Me croyez-vous enfin ?

Combien de temps encore faudra-t-il pour choisir entre enrichissement individuel (capitalisme/individualisme) ou enrichissement collectif (collectivisme/communautarisme) ?

- "Quelle horreur, devenir pauvre avec seulement 50 000 euros par an pour vivre, quand on en gagne plus de 300 000  !"

C'est la peur de quelques riches : vivre avec moins de  300 000 euros par an.

La peur du pauvre : vivre avec moins de 3 000 euros par mois, car aujourd'hui il est impossible de vivre bien avec moins de 3 000 euros par mois, Monsieur Pierre GATTAZ. 

Faut-il gagner ensemble de quoi vivre bien,  tous ensemble, "normalement", ou perdre individuellement tous ensemble, pour faire gagner de quoi vivre excessivement, trop richement,  quelques uns qui vont se gaver sur le dos de ceux qui doivent vivre chichement, au point d'aggraver la situation nationale d'un pays en survie ?

Qui a délocalisé les forces économiques ?

Qui a dévalisé les finances publiques ?

Ce ne sont pas les pauvres.

Cessons-là ce discours ridicule qui bascule dans l'abject et collecte les haines, ces salauds de pauvres qui ont leurs salauds de pauvres, toujours plus pauvres qu'eux.

C'est le miroir aux alouettes du capitalisme : vous faire croire qu'on peut devenir tous très riches, quitte à faire crever les autres, quitte à faire crever la planète entière. Mais on peut tous devenir très bêtes, à cause de la Dette, very bêtes, à nous faire croire que c'est à cause de nous qu'il y a cette bête infâme, la Dette, votre dette, les gueux (votre seule richesse de preux) : - "Because of you..., yes  !"

 Au fait, pourquoi voulez-vous devenir très riche ? Dormirez-vous mieux dans un lit aux draps de soie ou dans un lit aux draps en coton, les cochons ? Chierez-vous mieux le cul assis sur une cuvette en or ou le cul assis sur une cuvette en bois, les mauviettes ? Serez-vous davantage aimé pour ce que vous êtes, si vous êtes riche, ou pour ce que vous êtes, si vous êtes pauvre, les potiches ?

Vous pouvez suivre le blog de l'excellent CHIMULUS sur MEDIAPART, l'exception médiatique française.   

Serez-vous vivant à l'heure de votre mort parce que vous êtes riche, ou mort à l'heure de devenir Vivant parce que vous êtes pauvre ?

Une nation peut-elle gagner, en jouant l'individuel contre le collectif ?

La France est comme une équipe de football.

Mais à l'heure actuelle, à l'heure de gagner, elle n'est pas comme son équipe de football.

Il faut gagner ensemble pour ne pas perdre individuellement.

Si quelques uns s'enrichissent en volant la victoire collective, ces quelques joueurs individualistes appauvrissent alors tous ceux qui jouent "collectif" dans l'équipe et les font perdre, font perdre leur nation.

Ce sont les joueurs "collectifs", les ouvriers qui tiennent les entreprises, en défendant les buts et en gardant leurs positions contre les équipes adverses.   Ceux qui divisent, ce sont les adversaires, les "mauvais" patrons, la voix de la déraison. Ainsi, si vous écoutez la voix des Mauvais, vous entendez que les "bons" ouvriers  doivent être payés par des primes, tandis que les "Mauvais" ouvriers continueraient d'être payés "normalement". Pourtant, vous le savez, vous l'entendez car vous le comprenez, les bons ouvriers qui sont la majorité, doivent être payés "normalement" pour bien vivre, tandis que les mauvais ouvriers doivent être renvoyés, avec ou sans primes.

Pourquoi avoir dévoyé le système salarial ? Pour tenir les bons ouvriers par la pratique salariale de  l'injustice. Si un bon ouvrier (la majorité des ouvriers) est mal payé, il est désolé, soit, mais surtout il est "isolé", considéré comme un mauvais ouvrier, payé a minima. Le fait qu'il soit encore payé, pas encore rayé des effectifs de l'entreprise, amène l'ouvrier à accepter sa défaite. Ainsi les patrons peuvent baisser de plus en plus les rémunérations au nom de la raison du meilleur, qui est la raison du plus fort. Car pourquoi garder des ouvriers qui travaillent mal, même mal payés ? Parce qu'ils travailent bien, suffisamment bien pour être encore payés. Donc si ces ouvriers, la grande majorité des ouvriers, travaillent bien, ils doivent être bien payés. Et les mauvais ouvriers doivent être renvoyés.

Ils le savent bien, les Zébulon (tournicoti, tournicoton du Pôle-Emploi), les Belzébuth de la Division du Travailque le pauvre ouvrier dont le salaire aura baissé, ne pourra pas aller en justice réclamer son dû.  Ce sera en fait un bon ouvrier mais trop âgé, coûtant trop cher, un bon ouvrier mais passager, "aussitôt pris, aussitôt remplacé" par un autre bon ouvrier, le prix à payer pour enrichir  le fat et mat, gras et gros patron : tous mal payés et quelques uns surpayés comme le patron.

Quelle déraison  et quelle floraison de sophismes économiques dans le catéchisme médiatique que les journaleux et les baveux nous servent à longueur de temps, ce temps du pauvre qui devient l'argent du riche !

Exit le système de paie à l'ancienneté, le prix de la fidélité de l'ouvrier à un  patron "maton" dont le bâton augmente la courbe du chômage, un chômage structurel car devenu essentiel  à l'exploitation de l'homme par l'homme dans une prison qui s'appelle "entreprise", avec courts ou moyens séjours, les CDD ou l'interim, à coups de primes.

Ceux qui ont conçu le système des  primes ont voulu la division dans le monde du travail. D'ailleurs il y a un nom pour désigner le "Diviseur" : c'est le "Diable", l'esprit personnifiant le "Mal", celui qui désunit  les hommes et qui détruit le fruit du travail des ouvriers de Dieu, pour le seul profit de quelques uns, ses suppôts en sabots et pas très beaux, les  cabots. 

Ainsi un patron peut vous vendre un salaire variable, sachant que la part fixe de votre salaire ne vous permet pas de vivre décemment, lui dont la part fixe de son salaire suffirait à faire vivre décemment combien de jeunes actuellement SDF dans nos villes et dans nos vies.

Car c'est notre jeunesse qui se meurt aujourd'hui  sur les trottoirs de nos villes, au soir de nos vies, des vies qui auront coûté cher à la planète "Terre" qui désespère de nous et à la nation "France" qui rime aujourd'hui avec désespérance.

Soyez un peu moins riches, les riches, vous qui vivez au-dessus de vos moyens, les moyens naturels de la planète "Terre" et de la nation 'France" ! 

Quant aux intermittents, rappelez-vous, vous qui allez les applaudir, que vous allez mourir un jour et que vous-mêmes n'êtes que des intermittents sur cette terre. Ils sont le sel de la terre, ces acteurs de la première  et de la dernière heure. Ils sont  la lumière du monde, porteurs de nos valeurs et de notre culture française. L'exception française vaut bien quelques sacrifices de la part de ceux qui  profitent du mondialisme économique, l'argent étant sans odeur et sans couleur patriotiques pour ces boursicotteurs arnaqueurs, ces amateurs de belle chair australe et ces menteurs en chaire magistrale.

L'économie n'est qu'une appropriation de certaines notions par quelques hommes pour exploiter des hommes, une approximation née d'une lobotomie morale, une science sans conscience, donc "a-normale". C'est pure invention "capitale", l'économie, que cette autonomie de "l'être" au profit de l'antinomie de "l'avoir", ce compromis congénital de quelques commis d'Etat accordant un permis de tuer commensal à la finance  mondiale  !

La liberté, c'est de pouvoir vivre "bien", sans avoir jamais besoin de rien.

L'esclave est celui qui a besoin de tout et n'est jamais bien nulle part.

Ces hommes riches sont des esclaves, les esclaves du pire maître qui soit, eux-mêmes.       

Pierre Gattaz justifie son augmentation

Marie Bellan / Journaliste | Le 06/05 à 18:55, mis à jour à 21:20 | Lu 21112 fois

 Because, GATTAZ, "the big boss"  is a "big blag".  

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