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Billet de blog 26 novembre 2013

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Réforme fiscale : - "TuVA où, TVA dans le trou."

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

TAVu, les VIPs veulent encore nous faire le coup de la TVA, le VIQule de la peste sociale, de la peste brune.

Alors, les VIPs (What is meant by VIP : "Very Important Person" or the most probable  "Very Indecent Person", as you want), vous voulez la guerre ?

Vous l'aurez.

Car il est possible de rendre juste, la TVA,  l'impôt le plus injuste.

Ou comment vous faire perdre à votre propre jeu de dupes.

Et si on osait ?

Puisque le petit peuple passe pour des cons et que les cons osent tout, alors osons.

Osons, proposons.

Ne laissons plus les gros richards et les grands économistes nous"caviarder", pour nous vendre leur bobards. Ces "viandards" ont l'appétit trop vorace des prédateurs de la dernière heure, les charognards, ceux qui interviennent pour dépecer les carcasses, la nôtre ou celle de la France.

Donc j'ai décidé de "philosopher", de démonter un sophisme économique, comme on démonterait un pneu crevé pour le remplacer par un pneu neuf.

Quel véhicule, quel média peut-il circuler, rouler avec des pneus crevés ? Bah, les médias français, pardi.

Sauf MEDIAPART.

J'ose !

Puisque, pour un économiste, les autres, tous ceux qui ne sont pas des économistes,   sont tous des cons, j'ose comme un con que je suis, étant de sexe féminin. Même qu'ils font des études vachement longues, les "é-cons-chôoomistes" pour nous apprendre comment payer une dette quand on n'a pas d'argent, ou comment faire pousser de l'argent sur un arbre non fruitier, avec constat d'huissier à l'appui, s'il vous plaît.

- Saint Pognon, faites que je gagne plein, plein, plein d'argent !

- Plein ? Comment "plein" ?

- Plein ! A faire exploser la planète. A la péter et puis empuanter l'atmosphère et l'univers.

- Bref, un peu comme l'enfer, quoi ?

- Pas qu'un peu. Tout pareil : du Q, encore du Q et du friQ.

Un certain Sigmund FREUD l'avait dit et écrit avant moi que l'argent, c'était nos excréments physiQ.

C'est pour cette raison que plus on en a, plus on pue ! 

Et c'est aussi pour cette raison que les gaz à effet de sphère vont faire exploser la planète, par appât du gain,un gain sans lendemain, puisque la faim n'est pas rassasiée par l'argent. L'argent, ce n'est pas le pain qui se mange. C'est juste un moyen d'échange entre des classes qui ne se mélangent plus, pour une fin du monde néfaste voulu par des castes et  leurs fastes.  

  • L'idée de déployer tous les fastes de la République et d'afficher une solennité churchillienne pour annoncer une augmentation de 1,6 point de la TVA ne peut venir que de cerveaux hallucinés. — (Jacques Julliard, Impression, soleil couchant, dans Marianne (magazine), n° 772 du 4 février 2012, p.3)

Nous sommes dans l'ère carbonifère du degré zéro du cerveau, animaux qui ne digèrent plus leurs tas de nourriture, leurs ordures, et les enfouissent profondèment, dans l'espoir que cet or dur noir va redevenir du pétrole. Pas drôle, l'air d'aujourd'hui, qui pue un max et qui nous bouffe notre oxygène ! Jamais le proverbe si français "là où y'a de la gêne, y'a pas de plaisir" n'a été si véridique. 

Mais revenons à la TVA, l'impôt "indirect" créé par les riches pour faire payer les pauvres à leur place. Indirect, indirect ? Pas tant que ça ! Un vrai "direct" de la droite : pan dans la gueule du peuple !

Excusez le niveau de langage très primaire, mais une conne a un niveau de français très "vulv..gaire". Et dans le domaine de l'argent, nous sommes toujours un peu dans le domaine du Q.

"- Ah que je veux ! Et que j'en veux toujours plus..."

J'ajouterais que parler "friQ" ne me donne pas envie d'élever le niveau plus haut qu'il n'est nécessaire, pas plus haut que la ceinture, la ceinture que l'on serre autour de la taille des peuples, quand on les fait maigrir de force, jusqu'à les faire mourir de faim. - "Donne ! Même quand tu n'as plus rien, donne encore ! Moi, le Bankster, je serre la vis toujours plus fort. C'est une torture du corps social que j'ai inventée : serrer, serrer, jusqu'à l'étranglement, jusqu'à la mort."

Alors pour échapper à la mort, imposons nos normes à nous, le peuple qui n'a plus rien.

Nous avons tous les moyens... informatiques, télématiques et domestiques de vous faire payer la TVA, les gros richards, par rapport à vos revenus, et non par rapport au prix du produit. Si, si !

Z'aller voir c'qu'vous allez voir !  

Imaginons, non, réfléchissons, plutôt que de réfléchir les idées des autres, surtout celles des "é- cons-chôomistes", réfléchissons-nous mêmes :

Nous sommes toutes et tous fichés, "banskterisés" et dévalisés. Si, si.

Pour une fois que ce système totalitaire financier peut être mis au service du peuple, et non l'inverse, on aurait tort de s'gêner. "Là où y'a d'la gêne, y'a pas d'plaisir !"

Nous avons tous, de gré ou de force, un compte en banque, et, obligatoirement, une carte bancaire, de retrait  et de regret, ou une carte VISA, genre "TaVU, TaTOUPrix" , ou une carte PLATINUM, "genre "PLATINERIUM, autre monde vers le FUNERARIUM'" [ Bah ouais, même eux ! L'argent ne protège pas de la mort. C'est même le seul agent qu'ils ne pourront pas acheter avec leur friQ. Il est incorruptible. Pas comme eux ! ] cartes bancaires des gangsters qui pourraient utilement devenir la carte d'une nouvelle transaction financière : l'imposition de la TVA, par rapport  au quotient familial ou à un coefficient salarial mesuré par rapport à l'écart des salaires entre le plus pauvre de nos compatriotes et le plus riche des boursiers apatrides.

Certes les tranches d'imposition seront à revoir pour les "tronches de cake" et autres "cons-conmbres masqués" qui risquent [ Oh, le joli terme : le prix du risque. Pour une fois que c'est pour les riches, je ne vais pas être triste !  ] de payer ENFIN la TVA au prorata de leurs revenus REELS.

Application pratique : appuie sur "Enter, please". Pas suppress !

Votre banquier préféré,

[ Vous savez, le bankster qui sait le  mieux vous prélever des frais à la fin du mois, au moment où vous recevez votre salaire, pour juste foutre par terre votre budget-maison, et ensuite, toujours le même, votre banquier préféré, qui sait le mieux vous dire que vous ne pouvez plus payer vos prélèvements, que vous êtes dans la galère,  puisqu'il vient de vous prélever ce qui aurait pu vous servir à payer vos créanciers et à ne plus être dans cette galère. Bref celui qui vous prend tout votre argent et à qui vous dites "Merci" de  bien vouloir vous accepter alors qu'il vous a placé lui-même dans une telle misère ! ]

Votre banquier préféré, celui que vous aimez, vous délivrera, [- Pas de vos dettes ! T'es trop bête, toi. ]  une carte bancaire sur laquelle une puce contiendra votre code TVA, rien qu'à vous, un code personnalisé, adapté à l'assiette de vos revenus et/ou au coefficient de votre écart salarial. 

Alors TaVU, la TVA nouvelle est née.

Pour une fois que votre banquier peut vous délivrer de quelque chose ! Et vous délivrer quelque chose d'utile... Faire du service public et non plus du racket privé. "Là où y'a d'la gêne, y'a pas d'plaisir." Je sais, je me répète, mais "là où y'a d'la gêne, y'a pas d'plaisir".

Zéro euro pour l'Etat. Délégation aux services bancaires. Sans contrepartie. Normal, ils ont déjà tout notre friQ. Ils veulent quoi, en plus ?  Un coup de triQ ?

Démonstration mathématique, tant pis pour les économistes.

[ De toute façon, quand les é-cons-chôomistes demandent à un mec de rembourser 20 euros, alors qu'il n'avait que 0 euro, c'est qu'ils sont nuls en maths, les blattes du cerveau ! Ou alors, c'est qu'ils croient à la multiplication des pains, pour avoir cru à la multiplication des monnaies.

Sauf que Dieu, lui, Il ne multiplie pas l'argent. L'argent, c'est le produit "stup" du stupre, le domaine des autres "gens", ceux qui ont perdu leur âme, les "morts-vivants", ceux qui se nourrissent de votre chair.

Et leurs contrats ne sont absolument pas les mêmes : pas de pardon, pas de rachat de la dette, pas d'effacement des fautes. La devise des devises, arme pointée vers toi : "- T'y donne et j't'y prends encore, j't'y prends tout, même s'il te reste rien. Si, ta vie ! Donne. Signe ton arrêt de mort." ]

Combien de suicides à cause de contrats financiers, combats quotidiens de la survie pour payer des dettes, sans policiers pour mettre en prison ces banksters, leur faire entendre raison, à ces chiens ?  Perdre son toit à cause de l'argent ? Perdre ses enfants à cause de l'argent ? Perdre sa vie à cause de l'argent ?

Le prix de la dette : le prix du sang des innocents.

D'où petit exercice de mathématiques :

Application de la TVA selon un coefficient  simple et radical (prélèvement à la racine, à la source, au moment de l'achat), selon le coefficient de l'écart salarial entre le revenu le plus bas, celui du RSA, et le salaire le plus élevé, celui de ... du patron du MEDEF, par exemple, celui qui pleure pour qu'on l'exonère de sa "contribution publique"

Pour application du taux de cette TVA, choisissons un produit quotidien et courant, le pain, ce pain que le Christ peut multiplier, mais pas l'argent. Qui vient de penser "dommage" ?

Premier exemple :

Pour une baguette de pain coûtant 0,80 centimes d'euro, calculez le montant de la TVA qui devra être payée par le bénéficiaire du RSA, société suicidaire, car vous m'expliquerez comment vivre avec 470 euros par mois !  

Appliquez un taux de base de 0,5 % pour la TVA du RSArd

(si j'écris 0 % de TVA, les gros richards et les banksters vont encore polémiquer sur l'assistanat et ses dérives, au lieu de développer l'artisanat en prêtant de l'argent aux PME françaises)

- pour le mendiant à qui on fait l'aumône d'un RSA, le  montant de la TVA de 0,5 % sur la baguette de pain de 0,80 €  représentera : 0.004 €

Le bénéficiaire du RSA paiera donc sa baguette de pain : 0,804 €.

Comme on ne compte plus les millièmes d'euros, les plus pauvres des Français paieront donc leur baguette de pain :

- 0,80 €.

Meuh, non, je ne l'ai pas fait exprès ! D'exonérer de la TVA les plus pauvres sur un produit alimentaire courant, comme le pain. Z'êtes de mauvaise foi, vous qui ne croyez en rien.

Deuxième exemple :

Celui du SMICard qui travaille à temps complet, un privilège de plus en plus rare, et qui est payé 1 120  euros net, pour travailler plus que 50 heures par semaine (Le travail, c'est déjà une récompense. Ferme ta gueule ! Faudra bientôt payer les patrons pour qu'ils nous recrutent avec des contrats à zéro euro de l'heure. On parie ?)

- pour le SMICard, le taux de sa TVA va être calculé en fonction de l'écart salarial entre lui et le "suicidaire" du RSA :

Ecart salarial entre 1 120 € et  470 € : deux fois presqu'et demi (40 %).

[ Modalités de calcul pour ceux qui ont abandonné l'école ou les mathématiques ou qui ont la flegme de réfléchir :

470  € 1-RSA  x  2 = 940   €  2-RSA

Ecart avec le SMIC : 1 120 € - 940 € = 180 €,  soit 40 % d'un RSA (188 € exactement).

Pour vérification, bien vouloir demander à Géraldine PERRAUD, nouvelle abonnée de MEDIAPART, merci ! ]

Le taux de la TVA du SMICard, par rapport à celle du RSArd, sera donc deux fois et demi plus élevé que celui du RSArd,

soit : 0,5 % x 2,5 % (on arrondit le coefficient)  = 1,25 %

Appliquons le taux de la TVA de 1,25 % sur la baguette de pain de 0,80 € :

- 0,80 € x 1,25 % = 0,01 €

Donc le SMICard paiera sa baguette de pain :

- 0,80 € + 0,01 € = 0,81 €.

Le SMICard aura payé son impôt et contribué à l'enrichissement de la nation à hauteur de ses revenus. 

Troisième exemple :

Passons au revenu moyen mensuel des Français (il paraît !), un salaire net de 2 240 euros, soit le double d'un SMIC, supérieur à celui perçu par la majeure partie des salariés du privé et supérieur au salaire reçu par la majeure partie des fonctionnaires dits de catégorie C (moyenne réelle de salaire pour cette catégorie : entre 1 200 et 1 500 € par mois, même après 20 ans d'activité)    :

Calcul du montant de la TVA par rapport à l'écart salarial entre un SMICard et un revenu moyen salarial français (il paraît !) : le double.

Soit 1,25 % x 2 = 2,5 %

Comme vous pouvez le constater, cette méthode de calcul ne ponctionne pas de manière inconsidérée nos classes dites moyennes.

Car si nous appliquons le taux de la TVA des cadres moyens sur la baguette de pain à 0,80 €,  le montant de la TVA pour un salaire moyen de 2 240 euros sera de : 

- 0,80 € x 2,5 % = 0,02 €,

Soit le double du montant de la TVA acquitté par un SMICard.

Donc le prix total de la baguette de pain pour un cadre moyen sera de :

- 0,80 € + 0,02 € = 0,82 €

[ Acquittés de l'impôt, on se lève tous pour Danette, euh non, pour la baguette de pain à 0,82 € ].

Quatrième exemple :

Evoquons les classes moyennes dites supérieures dont le salaire net  est d'environ 4 480 euros,  soit le double du salaire net d'une classe moyenne très moyenne, celle qui peine à payer ses impôts et les impôts des gros richards, pour qui la corvée de pluches/plussss, c'est pour ceux qui ont moinssss qu'eux :

Appliquons à ces salaires moyens supérieurs le coefficient salarial qui permet de calculer leur taux de TVA :

Sachant que leur salaire est deux fois plus élevé que celui d'un cadre très moyen au salaire médiocre, leur TVA sera le double de la TVA du cadre moyen au salaire "médiocre" :

- Soit 2,5 % x 2 = 5 %

Vous noterez que ce taux de TVA se rapproche singulièrement du taux de TVA appliqué sur les denrées alimentaires, 5,5 %, et ce qu'on soit riche ou pauvre, moyen ou médiocre.

Par conséquent, le montant de la TVA payé par un cadre moyen supérieur sur la baguette de pain de  0,80 € sera de :

0,80 € x  5 % = 0,04 €

Le cadre moyen supérieur paiera sa baguette de pain :

0,80 € + 0,04 € = 0,84 €

Cinquième exemple :  

Prenons le cas des catégories supérieures, les chefs qui nous gèrent ou nous digèrent avec plus ou moins de bonheur.

Evidemment, leur salaire, pour tant de peine, avoir à nous supporter, coûte très cher à nous, les insupportables. Il s'élève au double du salaire d'un  cadre supérieur moyen, environ  8 960 euros. Certains ont même des salaires nets de plus de 10 000 €, à cause de la sueur qui coule sur nos fronts et des pleurs de crocodiles qu'ils versent quand ils s'emportent. Ils vont même jusqu'à prétendre que la porte est ouverte pour nous. Il suffit de la prendre. Pas la caisse, la porte !

Appliquons pour ces chefs adorés et vénérés, du mot "vénère", le taux de la TVA calculé par rapport à leur coefficient salarial.

Je vous laisse faire le calcul ?

Donc les chefs vont payer une TVA de 10 % sur une baguette de pain de 0,80 €, soit 0,08 € de plus que la baguette de pain HT (hors taxe).

La baguette de pain coûtera combien à votre chef  "vénéré/vénère" ?

 0,88 €.

Pas de quoi refuser de payer ses impôts.

Sixième exemple :

Abordons le problème des "couvre-chefs", ces super-chefs qui nous cuisinent et nous mijotent des "petits plats", bas travaux à leur convenance. Ce sont ces "cocottes-minute"  qui sifflent la fin de la récréation et qui nous mettent la pression, pour signifier que le travail est achevé  ou nous "infligent la tremblotte", lorsqu'ils nous remercient. Ne nous appréciez pas !  Sinon on ne pourra pas vous rendre la politesse.  La lettre de remerciements qui tue , fallait y penser !

Salaire de la peur :

le double du salaire d'un chef qui nous gère, soit 17 920 euros.

Vous noterez que c'est le salaire d'un ministre.

Pas de commentaire, s'il vous plaît ! Ils ne nous ont pas encore remerciés.

Calculons ensemble le taux de la TVA qui s'applique à ces partenaires exceptionnels :

20 %, soit le taux de la TVA (19,6 %) généralement appliqué sur tout produit qui n'est pas alimentaire, que vous soyez riche ou pauvre.

Le montant de la TVA qu'ils devront acquitter sur une baguette de pain de 0,80 € sera de : 0,16 €.

Les ministres et les "couvre-chefs" paieront donc leur baguette de pain 0,96 €.  

Avouez qu'ils ont encore de la marge, puisque la baguette de pain ne leur coûte pas plus qu'un euro net.  

Septième exemple :

Occupons-nous des patrons, ceux qui veulent nous faire "marron"avec l'augmentation de la TVA collective, l'impôt indirect, sauf pour les privilégiés, ces "rentiers" qui ne travaillent pas et vivent du travail des autres, lesquels voudraient s'exonérer de leurs "contributions citoyennes". Ils sont déjà bien bons de nous employer, les Français !

Pour faire simple, nous leur attribuerons un salaire moyen qui est le double du salaire de nos ministres et des "couvre-chefs" de la fonction publique ou de nos moyennes entreprises, soit un salaire de :

 35 840  euros, une misère par rapport à ce que touchent réellement ces patrons

N'oublions pas qu'en France, l'écart des salaires s'étend sur une échelle jamais atteinte de 200 à 400 fois le salaire de base dans l'entreprise. C'est vous dire qu'ils doivent sourire de ma démonstration, ces requins !

Allez, juste pour vous, à vos calculettes : SMIC d'un ouvrier, rappelez-vous : 1 120 euros.

Salaire du patron qui pleure pour ne pas payer ses impôts :

- fourchette basse, 1 120  x 200 = 224 000 euros.

- fouchette haute, 1 120 x 400 = 448 000 euros.

On est plus proche de la vérité, non ?

- VIP, comme "Very Indecent Person".

Juste pour rire, calculons le montant de la TVA que ces "patrons-marron", mais pas marrants, puisqu'ils licencient à tour de bras et incendient la France, pratiquant la politique de la terre brûlée, auront à payer sur une baguette de pain d'un coût hors taxe de 0,80 € : 40 %

De quoi me plaignè-je ? Ce coût d'imposition est inférieur au coût de l'impôt direct calculé par rapport à leur assiette de revenus.     

Pour acheter une baguette de pain de 0,80 €, ces patrons devront payer un coût total de : 1,12 €.

Et plus jamais d'impôts à payer sur leurs revenus, si la TVA  devient un impôt direct proportionnel aux salaires et/ou revenus perçus par le contribuable, du plus pauvre jusqu'au plus riche.

Huitième exemple :

Pour les plus riches, vous voulez savoir ?

 Si, si, vous en mourrez d'envie.

Qui a dit que Liliane BETTENCOURT, de toute façon, elle ne mange pas de pain, elle ne mange que de la brioche ? 

Prenons le cas de Carlos "GHOST", le "mort-vivant" celui qu'a plus de suicidés dans sa vie que de mariages d'amour. Bel exemple de réussite !

Le parfait patron du CAC40.

Salaire en 2012 : 2 728 356 euros /an.

Il nous faut donc, ne pas "le calculer", mais calculer très approximativement son salaire mensuel :

- 227 363 euros/mois.

Nous allons arrondir royalement à 228 000 euros, car je pense qu'un tel individu a de la ressource et des ressources telles qu'il doit pouvoir facilement dépasser ce plafond mensuel moyen. 

Il nous faut donc calculer le coefficient salarial qui va nous servir à déterminer le montant de sa TVA à lui, le gros richard, le "tricard" de service pour les Banksters.

Facile ! 228 000 euros, son salaire mensuel,  divisé par 1 120 euros, un SMIC, nous permet d'évaluer son coefficient salarial à : 203,571 428 571.

Si vous le voulez bien, et je n'en doute pas !, nous allons aussi arrondir ce coefficient salarial à :

- 204 , une broutille pour ce casseur d'ingénieurs, celui qui dit toujours que le "coût du travail, c'est trop cher payé !", une brindille pour ce tueur de chercheurs, celui qui rit et prétend être le meilleur.

Donc le montant de sa TVA, sa seule contribution  au bien public, puisqu'il fait partie des "MAL-ins", sera de :

 1,25 % (TVA du SMICard) x 204 (coefficient salarial du gros richard)  =  255  % (TVA du richard)

Il est ainsi facile à n'importe quel boulanger de pouvoir aider le fisc à  faire payer ses impôts à Monsieur Carlos "GHOST", en ajoutant la TVA de 255 % au prix de la baguette de pain hors taxe (HT) :

- 0,80 € x 255 % = 2,04 €

Vous avouerez qu'il n'y a pas de quoi fuir la patrie, ni se réfugier en Belgique !

Neuvième exemple :

C'est la catégorie des voleurs, des Banksters et des gangsters, celle de l'argent invisible et indivisible.

Je proposerais bien qu'on vende du cannabis, comme l'Etat du Colorado et qu'on récupère la TVA, mais je sens que je vais déplaire et que je risque de finir avec Anubis, le Dieu funéraire, le patron des embaumeurs .

Sans faire du racisme "anti-blanc", le blanchiment de cet argent invisible coûte très cher à la France et aux contribuables français.

Légalisons pour survivre et moralisons quand on pourra s'offrir ce luxe.

Et surtout quand notre morale sera "normale" : j'ai toujours autant de mal  à comprendre en France pourquoi l'alcool est en vente libre, par exemple.

D'ailleurs, au jeu du "si j'étais...", si j'étais "é-con-chôoomiste", la seule TVA que je doublerais de manière proportionnée ou disproportionnée, serait celle applicable sur les drogues légalisées. L'argent, c'est le nerf de la guerre, une guerre pour combattre la misère et ses paradis artificiels qui finissent par ressembler à un enfer sans frontières.  

Pour finir, ouf, fin de l'article !, j'ose écrire que différencier la TVA par rapport aux catégories de produits vendus me paraît inapproprié.

Je m'explique, tant pis pour les "é-cons-chôomistes" :

Un ordinateur n'est plus un objet de loisir, c'est un sujet d'étude. Les élèves aujourd'hui ne font plus des recherches en bibliothèque, ou très peu. Ils ouvrent leur ordinateur et cliquent sur "google". Qui le niera ?

L'équitation n'est pas seulement un sport de loisir. C'est une thérapie pour un enfant autiste, c'est le retour à la nature pour nos enfants des villes. C'est plus qu'un plaisir. C'est s'instruire de la vie. Il est triste de conditionner l'accès à l'équitation, sport autrefois réservé à la noblesse, en pratiquant un élitisme "fiscal" socialement discriminatoire.

La révolte des "bonnets rouges" marque la France. Oui, elle est régionale. Et alors ? La Bretagne est française. Les Français aiment les Bretons.

Pourquoi toujours vouloir que nous soyons semblables ? Nous n'avons pas la même histoire, mais nous vivons dans le même pays.

Les Français apprécient la culture basque, le caractère corse et le coeur des "Ch'tis".  Un Bourguignon est-il un Catalan ? Parfois oui ! Parce que nous habitons là où nous travaillons, mais toujours en France, sur une terre qui nous nourrit et pas qui  nous détruit.

Les manifestations des Bretons touchent le coeur des Français parce qu'ils sont solidaires des travailleurs  bretons et beaucoup moins divisés sur la question des classes sociales que les Parisiens. Les petits patrons souffrent aussi de la crise, comme les salariés des grandes entreprises ou les fonctionnaires des secteurs publics qui disparaissent, au profit d'une libéralisation prévaricatrice et prédatrice.

La Bretagne montre ses cicatrices. Mais c'est toute la France qui souffre avec les Bretons.

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