Délire d'un Etat soumis :
- "le délit d'opinion, lit de l'oppression."

Dénoncer un chef de service raciste dans la police nationale est puni de radiation des cadres par Bernard CAZENEUVE, le ministre de l'intérieur qui fait du racisme la grande cause nationale 2015.
Il y a bien longtemps, ou plutôt c'était hier, un homme nommé HITLER inventait une nouvelle race, la race des Juifs.
Or le judaïsme est une religion.
Il réussissait l'exploit de faire croire, non pas à Dieu, mais à la "race", la race par assimilation à une religion, la religion judaïque.
Et parallélement, dans son délire mégalomaniaque de créateur d'hommes, créateur d'une nouvelle race d'hommes, il créait la race des "Aryens", ces adorateurs d'une nature à leur image, sauvage, dominatrice et cruelle, ces néo-païens qui allaient traiter comme des chiens la race des "Juifs".
Or la race des Juifs n'existe pas, puisque c'est une religion.
Or la race des Juifs n'existe pas, puisque nous sommes tous Juifs, "re-nés" de Jésus le Juif.
Or la race des Juifs n'existe pas, puisque nous sommes tous Juifs, petits-fils d'Abraham qui eut deux fils de Sarah, la femme libre et d'Agar, la servante, la femme-esclave qu'on répudie et qu'on punit jusqu'à la mort, encore aujourd'hui.
http://rene.cougnaud.free.fr/femmesdelabible/Fiches/Sara-et-Hagar.html
Saint Paul interprète ces épisodes avec sa foi chrétienne.
[ Il est écrit qu'Abraham eut deux fils, un de la servante, un de la femme libre; mais le fils de la servante était né selon la chair, tandis que le fils de la femme libre l'était par l'effet de la promesse. Il y a là une allégorie : ces femmes sont, en effet, les deux alliances.L'une, celle qui vient du mont Sinaï, engendre pour la servitude : c'est Agar - car le mont Sinaï est en Arabie. Et Agar correspond à la Jérusalem actuelle puisqu'elle est esclave avec ses enfants. Mais la Jérusalem d'en haut est libre, et c'est elle notre mère... ]
(Galates 4,22-26)]
(Lire également Romains 9,9)
Si nous savons lire les textes "sacrés", les textes religieux, il est indéniable de constater que les femmes nées de Sarah ou de Saraï, l'Israélite, sont libres et que les femmes nées d'Agar, l'Ismaélite, sont traitées par leurs propres fils comme des femmes soumises, des servantes, sinon des esclaves.
Jésus, le Juif, aimait les femmes et s'est opposé à la lapidation de la femme adultère. Il n'a pas condamné non plus la Samaritaine, l'ennemie du peuple juif, Son peuple pourtant, bien qu'elle vivât avec un sixième homme, qui n'était même pas son époux, en union libre, et qu'elle eût été mariée cinq fois, avant de rencontrer son sixième compagnon.

Oui, Dieu doit être une femme, ainsi est-il écrit sur la poitrine nue de la Femen qui s'est exposée place de Rome, ainsi soit-il, comme les Gauloises exhibaient déjà leurs seins devant l'occupant romain :
- "God is a woman !"
Le CHRIST n'aurait pas eu le même regard sur ces seins nus que ces hommes dits "saints", si soucieux de cacher ce sein qu'ils ne sauraient voir, les pourceaux !, la tige turgescente sous la poussée de leurs pensées concuspicentes, hommes-animaux, animés de désirs si peu sains.
Lorsqu'une Femen pourra s'exhiber nue, sans provoquer un attroupement, nous saurons que nous sommes enfin arrivées à l'ère chrétienne, nous les femmes, c'est à dire que l'homme devenu Homme pourra regarder le corps nu d'une femme, sans la rabaisser au stade oral et anal de ses phantasmes pervers polymorphes.
L'homme occidental n'est pas chrétien. C'est un païen habité par des pensées peu chrétiennes.
Donc il n'a plus que deux solutions, toutes les deux non chrétiennes :
- rhabiller la femme, pour qu'elle cache ce sein qu'il ne saurait voir,
- ou exclure la femme nue de l'espace public, son espace "mâle", son territoire qu'il a marqué, comme un animal, après avoir fait soigneusement pipi aux quatre coins de son carré de terre.

Car, s'il existe une race actuellement décimée et abîmée, c'est la race des femmes. L'homme redevenu animal, ayant retrouvé son identité de "mâle", se comporte mal avec les femmes, ses filles et son épouse. La mère reste ce ventre, comme une antre, l'antre de la Bête, qui le terrorise et le martyrise, ventre au nom duquel sont terrorisées et martyrisées toutes les autres femmes qui ne sont pas sa mère :
- Toutes des putains, sauf maman !
Il existait en Iran la race des Aryens, qui le sait ?
Ironie de l'histoire de l'Homme, l'Aryen est "persan".
Pire, "afghan", comme le Commandant MASSOUD, le Lion du Panshir.
Qui le sait ?
Je l'avais découvert il y a longtemps et l'avais écrit dans un article qui m'avait alors valu les foudres des adeptes des sectes néo-paganistes de l'extrème-droite, "croyant" à la supériorité de la race blanche. J'avais même été accusée de racisme "anti-blanc".
Aujourd'hui on tente de m'accuser de racisme "anti-sémite", pire, de racisme "anti-musulman" !
Car c'est pire d'être islamophobe que d'être antisémite de nos jours obscurs. A cause de la création de l'Etat Islamique ? Une convention internationale aurait-elle été conclue avec les pays occidentaux, dont la France, interdisant la critique du Prophète et de l'Islam, sous peine... de privation de liberté d'expression, une mort symbolique préfigurant la sancction finale et fatale, la peine de mort pour blasphème ? Je m'interroge.
Et peut-être pas à tort.
Qui ignore qu'aujourd'hui critiquer l'Islam en France est devenu "haram" ?
Par contre, le Christianisme, je peux et je dois, si je ne veux pas qu'aboient les cabots de la bienpensance et leurs badauds qui ont fait le choix de ne jamais réfléchir par eux-mêmes.

Pourquoi tant de lâcheté intellectuelle et de soumission "réelle" ? Peut-être parce que le petit Jésus ne paie pas assez bien nos élus politiques et qu'il n'a pas su les "acheter" ? Faudrait-il que le Paradis devienne un paradis fiscal ?
Critiquer le judaïsme, c'est tout à la fois critiquer le christianisme et l'islam. Mais à lire les commentaires sur MEDIAPART, il est permis de critiquer le père, Abraham et le fils aîné, Jésus-Christ, tandis qu'il est interdit de critiquer le fils cadet, Mahomet, le dernier-né des religions monothéistes. Lui, il a trouvé la solution pour convertir le monde :
- "Oui, tu te convertis, tu vis. Non, tu meurs."
Et pour vivre quelle vie ?
Logiquement, par élimination, la balance démographique penche fortement en sa faveur, à Mahomet. Ce sont ses enfants qui sont les plus nombreux puisqu'ils tuent tous les autres, parfois même leur propre frère.
- "Oups, t'en étais ? Ah trop tard. L'habitude de trancher dans le vif tout dialogue interreligieux m'a fait perdre la tête, euh, la tienne de tête !"
De plus en plus d'Arabes sont condamnés à la peine de mort pour critiquer cette religion, la leur, qui leur colle tellement à la peau qu'il a été décidé qu'elle était aussi leur race. Parce que la couleur de la race, c'est la couleur de la peau, il paraît .
En Iran, un jeune père de trente ans va être condamné à mort pour avoir critiqué l'Islam, sa religion, donc sa "race" sur Facebook. Il s'appelle "ARABI", vit dans l'ancien pays persan, celui de toutes les libertés, qui a été converti de force à une religion qui le tire vers le bas, l'enfer de la mort, la mort des autres et la mort de toute vie sociale.
Dans un article du journal "The Verge", un journaliste explique que M. ARABI est condamné à mort à partir d'une lecture "arabe" du Coran. Si, vous les "sachants" et les grands Sachem, vous pouvez faire la différence entre les Chiites musulmans et les Sunnites musulmans, c'est que vous êtes très forts en théologie ou en escroquerie intellectuelle. Chiite ou Sunnite, la conséquence est la même si vous critiquez l'Islam : même cause, mêmes effets.
Moi, j'écris en France :
- ""Cheat !" font ch...er" avec leurs conneries religieuses."
Je ne sais pas "if he can cheat death", le pauvre ARABI, mais faut vraiment fumer du shit à hautes doses pour avoir le cerveau atteint à ce degré-là et vouloir la mort d'un autre musulman, son frère de religion, parce qu'il critique sa propre religion ! Je ne vous dis pas le nombre de morts qu'on aurait en France s'il fallait tuer tous ceux qui critiquent le Catholicisme, dont moi-même.
Oui, "shit" pour ces condamnations à mort de Musulmans nés musulmans ou convertis musulmans de force ou par mariage avec une musulmane, ou pour avoir voulu sauver leurs vies, il y a longtemps, il y a si longtemps, quand les Arabes étaient chrétiens et que les Sémites convertissaient le monde à la religion chrétienne, leur religion. Car le Christianisme est né dans les pays arabes. Puis, un Prophète est passé qui a passé au fil de l'épée tous ses frères arabes qui refusaient de se convertir à l'Islam, sa religion et sa conception de la paix au Prophète Mahomet.

Photo extraite de la page Facebook de M. ARABI
Avant, en Perse, le pays des Aryens, les hommes ne sacrifaient plus d'animaux.
Avant, en Perse, le pays de la "race supérieure", les femmes étaient les égales des hommes.
Avant, en Perse, le pays de la religion de la paix, endetter son prochain et s'endetter était péché.
Avant, en Perse, le pays de toutes les libertés, mentir était le pire des péchés.
C'était être "hypocrite".
D'ailleurs, l'endettement était interdit parce qu'il était considéré comme une cause de mensonge. Après tout, vendre du songe, faire croire à une vie meilleure grâce à l'argent, en achetant la vie d'un homme, c'est bien un mensonge, non ?
L'Homme doit être en vérité car seule la vérité délivre.
Mais ça, c'était avant, avant Mahomet !
Après, le Shah d'Iran a été accusé de vouloir l'arme nucléaire [ un air de déjà-vu ]. Des bonnes âmes et "bonnets d'ânes" ont armé ses opposants, les Islamistes chiites [ un autre air de déjà-vu ]. La France a recueilli en son sein l'Ayatollah KHOMEINI, comme on recueille le serpent d'une certaine fable, écrite par Jean de La FONTAINE, pour le réchauffer jusqu'à ce qu'il vous pique et vous tue avec son venin ! Les fanatiques de l'Islam ont renversé le pouvoir des PAHLAVI, le 1er avril 1979, un triste poisson d'avril, distillant le poison de l'obscurantisme religieux et éradiquant toute forme d'opposition intellectuelle, au nom de la liberté retrouvée [ un autre air de déjà-vu ].

L'Iran a chuté dans la noire nuit de la bêtise humaine par la traîtrise des pays occidentaux et de leurs alliés, les Emirats Arabes Unis. C'est pour cette raison qu'aujourd'hui M. ARABI, un père de 30 ans,va être condamné à mort pour avoir critiqué une religion, l'Islam, par respect d'un diktat arabe, celui de l'Arabie Saoudite.
Car la propagande "wahhabite" pollue l'Islam ET chiite ET sunnite.
Ou peut-être tout simplement parce que le fondateur de l'Islam était un guerrier qui convertissait les autres peuples avec la force de l'épée et au fil de l'épée, plutôt qu'avec la paix, la force tranquille de l'amour.
Si nous abandonnons M. ARABI, notre frère aryen et ses frères arabes du Maghreb interdits de mots, parce que confrontés à la haine de musulmans débiles qui créent tant de maux de sang sur cette terre, si nous renonçons à défendre les libertés si fragiles des Kabyles d'être laïques en Algérie, nous recevrons le prix du sang qui aura été versé par notre indifférence envers les crimes commis tous les jours au nom de l'Islam.
"Ainsi se tut Zarathoustra" !
[ Le 20e Prix France Info de la Bande dessinée d'actualité et de reportage récompense "Ainsi se tut Zarathoustra" de Nicolas Wild. Un voyage rafraîchissant dans l'actualité de l'Iran.
Dans "Ainsi se tut Zarathoustra", Nicolas Wild nous propose un tableau inédit de l'Iran contemporain. Un voyage, rafraichissant, totalement à contre-courant de la manière dont on couvre habituellement l'actualité iranienne.
Nicolas Wild : "Je voulais raconter une histoire..." (00:00:43)
Au fil de ses rencontres, dans cette quête de la vieille religion zoroastrienne toujours vivace, celle dont Zarathoustra est le prophète, Nicolas Wild raconte sous la forme d'une fiction, ce qui s'apparente à un véritable reportage sur le quotidien des Iraniens, et sur la formidable culture d'un pays qui n'est pas seulement celui des mollahs.
"Ainsi se tut Zarathoustra" est publié aux éditions La boîte à bulles / Arte éditions.]

Ainsi se taira Jésus-Christ et ainsi disparaîtra un monde de paix où les sacrifices animaux et humains étaient interdits, comme en Perse, le pays des Aryens, comme en Occident, le pays des Chrétiens.
Honte à vous qui acceptez de laisser faire pour taire l'horreur de ces guerres menées au nom de l'Islam !
Vous mentez, vous inversez la réalité.
Vous nous demandez de plaindre ceux qui tuent et vous faites des victimes les coupables.
Qu'aurions-nous pensé si, en 1942, il avait été demandé aux Français de soutenir les Nazis présents sur leur territoire, parce qu'ils n'étaient pas directement responsables de la campagne d'extermination menée contre les "Juifs", cette nouvelle race créée pour éradiquer toute opposition à un système païen où l'homme qui n'est pas un aryen est un "chien", objet de deshumanisation, de capture et de torture ?
Dans le monde entier, des Chrétiens, des Yézidis, des "Infidèles", homosexuels et femmes, sont exterminés.
C'est un génocide, un vrai génocide.
Et il faut plaindre, qui ?
Les Musulmans !
Insensés et hypocrites !
La religion zoroastrienne a disparu comme disparaîtra la religion chrétienne, deux astres de la paix qui, lorsqu'ils ne brillent plus, n'éclairent plus la nuit des hommes.
Comme la religion bouddhiste a été chassée par l'athéisme communiste chinois, ainsi que l'atteste l'immolation des moines bouddhistes thibétains, sans qu'aucun d'entre vous jamais ne proteste !
Il est décidément plus facile d'imposer des sanctions à la Russie, pays orthodoxe chrétien, plutôt que d'imposer des sanctions à l'Arabie Saoudite et au Qatar.
La question est :
- Combien ?
Combien vaut la vie d'un homme pour les païens qui nous dirigent ?
Combien d'argent ont-ils reçu pour taire le prix du sang et laissé faire tant de mal ?
- Et surtout combien de temps ?
Combien de temps avant que n'éclatent les guerres que vous avez déclarées au Christ, vous, les "athées" adorateurs de vos divinités égyptiennes et païennes ?
Alors je l'écris, car je défie intellectuellement quiconque de me prouver qu'une religion est une race :
- Oui, à la critique des religions,
- Non au terrorisme intellectuel, pour éviter le terrorisme réel.
Mettons fin aux sacrifices humains et animaux.
