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Billet de blog 28 août 2013

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Le changement dans la continuité.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Vous avez remarqué ?

Toutes les deux sont très belles, si naturelles et très intelligentes.

Peu maquillées, le langage est sans fard, un peu "hard", même lorsqu'elles sont pleins phares dans les feux de l'actualité.

Il les a séduites avec son humour et ses jeux de mots quand l'amour les a conduites vers lui.

Toutes les deux, vous les détestez : belles et rebelles, hors-normes. Personne ne peut poser de bornes à leur liberté, ce qui vous a souvent déconcertés, vous, les médias. Elles se transforment sous votre regard, ne sont jamais celles que vous croyez voir et tant pis si vous les trouvez non conformes, quitte à vous décevoir.

De toute façon l'homme que vous avez élu fuit l'ennui uniforme, pour avoir choisi cette vie hors-normes. Le changement, c'est bien le fruit de votre choix électoral ?

L'une d'elles, vous l'avez appelée la "Rottweiler", tandis que l'autre, "royale", les machos du PS l'ont affublée de tous les noms d'oiseaux, ces "Eléphants", espèce de bêtes en voie d'extinction. Normal : question humour, c'était du lourd, un rien balourd. 

Force est de constater qu'il y a une continuité dans le changement, que l'homme est fidèle à un idéal de "femme" indomptable, comme fasciné par cette flamme seule capable de raviver les pâles passions  d'un coeur  "normal". Jamais épouses, mais très jalouses. Compagnes, même en campagne !

Et si l'homme concevait ainsi le changement ? Comme une fidélité à un idéal démocratique,  à une "Marianne" si française qu'elle ne pouvait s'unir qu'à un "François",  à une République courtisane mais prenant ses aises puisque vivant en union libre avec lui, à un visage emblématique, celui d'une France qui l'aimerait, mais sans jamais se soumettre ? 

Alors vous voulez que je vous dise, vous qui faites les "étonnés" lorsque François reste stoïque sous vos critiques médiatiques : aimer un pays, c'est comme aimer une femme, c'est à dire être capable de le rendre libre. Il n'y a pas de bonheur sans liberté d'être.

Vouloir un chef, c'est vouloir une vie d'esclave. Je ne comprendrais jamais ces Français qui ont coupé la tête à leur Roi pour être libres et ne cessent de critiquer leur Président, leur choix !,  parce qu'il ne décide pas assez vite à leur place de ce qu'ils pourraient et devraient faire.

Si c'était à refaire... La prochaine fois, ils vont élire un Roi, un Chef, un "Duce", "Ein Fuhrer", même si le Héron, pas le "héros", est prêt à les croquer et à couper toutes les têtes qui sortent du rang. Et de vos écrans médiatiques ! A méditer, messieurs  les journalistes.

Nous, les femmes, on est plus intelligentes.  

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