Ras-le-bol !
Place à la farce des "Tartuffe" de l'Islam pour les dindes et les nouveaux dindons de l'exception culturelle.
Maintenant on voudrait que les femmes trop belles s'habillent en long, sans pantalon, pour cacher leurs jambes.
Et leurs cuisses !
Des cuisses de dindes ?
C'est dingue, non ?
Admirez l'élégance vestimentaire, quelle aisance, les dindes noires !
Mais de quoi ai-je l'air ?
Après la tête, les jambes.
Vous vous rappelez cette émission qui avait remporté un certain succès dans les années 70 ?
Elle s'appelait la tête et les jambes.
Mais que va-t-il rester aux femmes dans l'Islam ?
Le Q, cela va sans dire.
Le Q, sans le QI, cela va mieux, en le disant, ce qui n'est pas médisant.
Quoi, il faut "marcher" en jupe, les genoux et les fesses serrés, pour ne pas trop montrer des formes que les hommes lorgnent en temps ordinaire !
Un temps bientôt extraordinaire, je vous le dis.
On sera toutes habillées pour l'hiver, même en été, si ça continue.
La nouvelle mode en maillot de bain, la grenouillère "bébé", avec combinaison éclair dans le dos, pour ne pas pouvoir aller faire pipi, sans l'autorisation du mâle protecteur.
Je bronze avec le bonze, l'eunnuque du Q.
Bref, la liberté retrouvée, celle de se mouvoir dans un mouroir de tissus tout en noir, le corbillard des "corbeaux" qui iront dénoncer les femmes qui oseront encore porter le pantalon, comme eux, cet affront chez eux, mais pas chez nous !
- "J'ai croisé une femme qui portait le pantalon, si, je vous l'assure. D'ailleurs on voyait bien la marque de la raie entre ses fesses galbées et la fente devant, à en devenir malade !" dit celui qu'est déjà gravement malade de la tête, une tête obsédée par le Q des femmes, mais non par leur QI.
L'avenir des hommes, c'est pas la femme !
Pas avec ce genre d'australopithèques arriérés mentaux.
M'étonnerait qu'ils deviennent un jour des agrégés de culture française, les congelés du Q, tant ils sont bloqués sur leur "bistouriquette" et en prennent à leur aise avec les libertés et l'égalité, et tant ils se sentent balaises devant le sexe faible.
La quéquette girouette, celle qui suit le vent et se prend des vents.
Devant, derrière, ou par terre, avec le garde-barrière en arrêt ?
Si leur "biquette" monte, c'est que la pépette en face est en faute.
C'est pas eux, c'est jamais eux, c'est toujours de la faute de la femme, surtout les leurs, ou de leurs filles, pauvres chéries !
Et si c'était une autre ?
Le rêve de tout mec "anormalement" constitué, baiser une femme qui n'est jamais la sienne ou qu'il imagine n'être pas la sienne.
Une proposition élégante et virile, les australopithèques !
Niquez-vous, entre vous, les foutriquets, et foutez la paix aux femmes !
Ou tuez les toutes et achetez-vous des poupées gonflables, les nouvelles esclaves du sexe en caoutchouc, plus vraies que nature.
Parce que vous me les "gonflez", avec ou sans ...
Ouille, ça fait mal !
Non, je ne l'ai pas écrit.
Faut-il avoir des couilles pour être à ce point des andouilles ?
Là, c'est écrit.
Et "Jihad" pour vos femmes et vos filles, jamais ?
Ces femmes qui disparaissent de vos vies et de nos écrans...
Il faudra choisir, les filles françaises, entre le pantalon gaulois et chrétien, symbole de résistance, ou la jupe noire, foutoir des musulmanes, pour ces nouvelles veuves en deuil de leurs âmes, les dames qui damnent le pion aux grenouilles de bénitiers catholiques !
Qui c'est, les champions de la régression sociale, aujourd'hui ?
Ou de la discrimination raciale ?
Car tant de haine envers les femmes, c'est comme haïr une autre race.
Nique ta race, mec !
Et laisse les femmes tranquilles.
En ville, elles veulent pouvoir se promener, comme des filles, aguicheuses et langoureuses, juste pour te voir te consumer de désir, sans pouvoir les faire mourir... sauf de plaisir !
La seule flamme qui devrait pouvoir tuer une femme devrait être la flamme de votre amour, les hommes.
Une déclaration d'amour, ce n'est pas une déclaration de guerre !
Faites l'amour, pas la guerre.
Le baiser de Judas !
Mais qui est Judas ?
A votre avis...
Celui qui fait tuer Jésus !
Et qui est Jésus ?
Celui qui gracie la femme adultère.
Pas celui qui la lapide.