Billet codé non déchiffrable pour les personnes extérieures aux services.
Quand Nicolas SARKOZY tient encore le ministère de l'intérieur.
Démonstration et noms.

POLITIQUE - L'ancien président de la République «suit l'actualité politique avec beaucoup d'attention», selon son ancien ministre des Affaires étrangères...
Alain Juppé affirme que Nicolas SARKOZY a envie de se présenter à la présidentielle de 2017, selon l'AFP.
L'ancien président «suit l'actualité politique avec beaucoup d'attention. On se téléphone, je vois qu'il est très vigilant», a indiqué son ancien ministre des Affaires étrangères lors de l'émission Questions d'Info LCP/France Info/Le Monde/AFP. Alain Juppé a déclaré «sentir» que Nicolas Sarkozy avait «envie» d'être candidat à la prochaine élection présidentielle en 2017.
20 mm - 13 février 2013

Pour Juppé, Sarkozy a envie de se représenter en 2017Par LeNouvelObservateur
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Juppé "sent" une "envie" de Sarkozy pour la présidentielle de 2017
Par Le Monde.fr
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Je ne comprends pas...
Non, décidément, je ne comprends toujours pas qu'un gouvernement de gauche puisse "remettre" en place des chefs de service étiquetés à droite et connus notoirement pour avoir été des soutiens actifs de la "sarkozie".
Pas compris ? Si, un peu.
C'est comme l'affaire Philippe MASSONI. La "fraternité" est un passeport policier qui vous assure de pouvoir conserver votre poste, qu'importe que vous soyez de droite ou de gauche.
La "fraternité", c'est une organisation, comme la mafia, secrète, secrète, qui fonctionne sur le "rendre service", devenir un exécuteur de contrats, exécuteur de basses oeuvres, qu'importent la politique, la morale ou l'intérêt général, le "bien public".
Le "BOUTTE-En-TRAIN" semble l'exemple-type. "Fraternellement" lié aux frères "Elli", tous deux fervents UMPistes, et donc à l'épouse de l'un d'entre eux, ami d'enfance de l'épouse d'Alain JUPPE (il paraît). Le joyeux "Souffleur" (Que le ciel vous tienne en joie !) oeuvre pour le Souvenir Français (parce qu'un souvenir a une nationalité ?) comme Alba ELLI qui a repris le flambeau du Souvenir Français chez les "Cata(pas)marrants". Un musée des horreurs, ce souvenir, celui de la Seconde Guerre mondiale, et une erreur de casting. Il y en a qui sont morts d'avoir résisté héroïquement et d'autres que leur souvenir fait vivre lucrativement. Les héros sont vivants. Ceux qui honorent les morts sont des "croque-morts".
Le "BOUTTE-En-TRAIN" semble avoir reçu pour noble mission de "liquider" l'affaire HURTADO. Ou le couple "HURTADO". D'où l'insistance narquoise, sinon la jouissance singulière, avec laquelle il marque à répétition une formule de politesse inhabituelle et peu administrative "Avec l'expression de mes sentiments les meilleurs" à la fin de ses courriers, un rien narquois et provocateur dans un contexte de persécutions qu'il paraît particulièrement affectionner, à l'image de certains malfaiteurs qui appartiennent à une association secrète. Elle est secrète car elle défend les intérêts dun groupe d'actionnaires tirant leurs dividendes d'une entreprise triangulaire dont les fonds propres sont constitués d'actions dirimantes.
La prévarication publique a un coût, surtout pour le budget de l'Etat. Distribuer des avancements, des postes, les refuser arbitrairement, "parce que tel est notre bon plaisir", c'est de la prévarication.
Depuis 2004, la syndicaliste Véronique HURTADO a eu "maille" à partir avec la dame Alba ELLI, épouse d'un ami d'enfance de l'épouse d'Alain JUPPE [c'est du moins ce que prétend le conjoint de la dame et ce qu'il prouve par moult intercessions et interventions], surnommé aujourd'hui la "Voix de l'ONU" par ses pairs encore en activité. Cette amitié d'enfance avec l'épouse de l'ancien Ministre des Affaires Etrangères, ami fidèle du président Nicolas SARKOZY, aurait permis au policier de bénéficier d'un emploi de réserviste, détaché en tant que chargé de mission pour l'ONU. Et pas seulement. L'ami d'enfance de l'épouse de l'ex-ministre Alain JUPPE est généreux. Il sait partager les faveurs de cet homme d'Etat et de réseaux, faisant bénéficier ses amis et ex-relations professionnelles d'avancements de carrières et autres "babioles", verroteries d'esclaves dont ils sont friands. Tant l'homme n'est esclave que de sa propre cupidité et imbécillité ! Comme pourraient l'être le "Gai -distri-Buteur" ou Assa ELLI.

La dame Alba ELLI avait coutume de considérer que tout devait plier devant elle. Donc à plusieurs reprises elle "cassa" ou tenta de "casser" des agents qui ne mettaient pas genoux à terre devant la "Grande Duchesse", comme les gars l'avaient surnommée. Madame ne supportait pas d'être contrariée. Tout était sujet à disputes et querelles perpétuelles.

Les syndicats durent intervenir à plusieurs reprises, de 2004 jusqu'à son départ en retraite en 2010, un peu pas voulu. On suivait la Duduche dans ses changements de service et avancements conséquents, plutôt rapides, comme on aurait suivi la piste d'un "serial-harceleur". Arrivée à Pépère-Les-Gnons vers l'an 2002, en tant que capitaine de police, et précédée par une réputation sulfureuse de "tracassée", le directeur départemental de la DDPAF, pas fou (il en existe d'autres à la PAF !), décida de l'affecter assez loin de la direction départementale dans un service qui aurait dû fermer, aux portes de l'enfer, où elle régnerait comme un "cerbère".
Elle sut être à la hauteur de sa réputation et ne démérita point. Ce petit service d'une trentaine d'agents occupa plus les syndicalistes, quelque soit leur syndicat d'appartenance, et les intervenants sociaux, que tous les autres services comprenant chacun deux cents à trois cents policiers. C'est tout dire sur le pouvoir de nuisance de la Dame ELLI. Elle semblait "prendre son pied" à monter des procédures disciplinaires pour s'occuper l'esprit, un esprit quelque peu tordu. Quand on ne peut pas se servir de sa tête, normal qu'on se serve de son pied !
Chaque fois, elle choisissait un seul agent qu'elle discriminait, isolait du petit groupe de fonctionnaires, le chargeant de tous leurs péchés, puis le harcelait jusqu'à ce que l'agent "craque" et commette des erreurs. La première erreur selon Duduche était d'avoir un comportement irrespectueux envers sa "Saigneur(ie)", comportement qu'elle tentait d'obtenir par tous moyens, en poussant à bout l'agent discriminé. Pour exemple des graves fautes professionnelles commises par des agents ayant suscité son ire tempétueuse, il y eut le... claquage de la porte de son bureau ! Curieusement, allez savoir pourquoi, les agents qu'elle convoquait dans son bureau pour leur annoncer qu'ils ne lui plaisaient pas ou plus, curieusement, ces agents partaient en claquant la porte de son bureau. A chaque fois, elle commençait les procédures disciplinaires en demandant une sanction parce que l'agent avait osé claquer la porte de son bureau (copié-collé). Elle oubliait qu'à force de "brasser de l'air", sa porte de bureau se refermait toute seule. A cause des courants d'air. (J'ai conservé tous les rapports chez un avocat). Leur disgrâce donnait le signal de la curée. Elle s'acharnait contre eux, les dépouillait de tout et les jetait enfin, quand l'administration acceptait de les traduire devant un conseil de discipline, ou, dépressifs et suicidaires, quand l'administration les faisait réformer médicalement.

Pour s'en débarrasser, les syndicats corporatistes étaient prêts avec l'administration à lui faire prendre du grade, pourvu qu'elle quitta ce département et partît sévir ailleurs. C'était de tous les officiers de police la capitaine la mieux notée, avec des appréciations dithyrambiques qui auraient rendu jaloux un commissaire Robert BROUSSARD. Las, trois fois las, dans la "maison-poulaga" tout se sait. Trop d'éloges nuit. Les autres directions centrales de police s'étaient renseignées. Trop connue, "la louloute" !
Qu'à cela ne tienne : la "voix de l'ONU" lui obtint l'ouverture d'un poste de commandant créé sur place, in situ, sans obligation de mobilité (ce qui est contraire aux conditions d'avancement pour le grade d'un commandant de police), dans un petit service, le sien, aux portes de l'enfer. Il est utile de savoir que le poste de chef de service de ce tout petit service n'était nomenclaturé au départ que pour un lieutenant de police. Déjà, elle y avait été affectée en étant "surgradée". Tant il est vrai qu'à la PAF, pour prendre du grade, il suffit de demander la Poste, sans nécessité fonctionnelle ni organisationnelle. Appelez la voix de l'ONU. Elle vous répondra : - "Oui-ja !"
La Grande Duchesse n'eut qu'un seul problème, paraît-il : Véronique HURTADO. La syndicaliste que je suis s'opposa à son autoritarisme exacerbé, faisant "casser" ses procédures disciplinaires, un prêté pour un rendu, puisqu'elle "cassait" des petits agents, faisant annuler deux blâmes infligés à deux agents différents, obtenant des changements de service pour des policiers que cette chef décrivait comme étant incompétents et nocifs, mais qu'elle ne voulait pas laisser partir. Bref, la "Grande Duchesse" ne supportait pas qu'on lui enlevât ses "joujous". Elle voulait les "casser" d'abord. Après, elle les aurait laissés partir, définitivement : réformés médicalement ou radiés des cadres. Mais seulement après.
En 2008, suite à un décès sur site et deux infarctus (j'ai conservé tous les documents entreposés chez un avocat) survenus dans son service, je saisis le CHS. Et là le nouveau directeur départemental de la DDPAF de Pépère-Les-Gnons, le "frère" et Vénérable Maître Assa ELLI, intervint. En effet, après avoir obtenu en 2005 son grade de commandante de police, l'épouse de l'ami d'enfance d'Alain JUPPE se voyait déjà commandante échelon fonctionnel. Pour pouvoir bénéficier de l'échelon fonctionnel, il fallait qu'elle fût chef d'un autre service plus grand, mais chef d'un service toujours situé dans le département de Pépère-Les-Gnons et toujours à la PAF, puisque personne n'en voulait ailleurs. Car la PAF est la seule police où les chefs sont assez fous pour faire monter en grade une "folle". Mon intervention prévue lors du CHS d'avril 2008 risquait de lui faire perdre sa promotion, la CAP pour les avancements des officiers ayant lieu quelques jours après. Monsieur le préfet du département, "Louis le Pieux", risquait d'être quelque peu fâché par son comportement "inquiétant". Ne jamais fâcher un préfet si vous voulez avoir votre grade ! Jusqu'à présent, aucun syndicaliste n'avait osé lui dire la vérité sur le cas Alba ELLI. Ils préféraient négocier le prix de leur silence avec la hiérarchie policière, source de revenus substantiels pour le syndicat corporatiste majoritaire.
C'est ainsi que le frère Assa ELLI décida de s'occuper personnellement de mon cas, m'annonçant à la fin du CTPD du 03 mars 2008 qu'il allait me "coucougner". En effet, le 31 mars 2008 Assa ELLI s'occupa personnellement de mon cas et régla son compte à mon époux, alors chargé de mission, mis à la disposition de la préfecture de Pépère-Les-Gnons depuis 2006 par l'actuel directeur de cabinet de l'actuel ministre de l'intérieur "normalement" de gauche. L'ex-préfet de département avait tenté de mettre à l'abri de l'ire policière le chef de projets informatiques, pressentant à raison les difficultés à venir, du fait d'être marié au"trublion" syndicaliste que j'étais et que je semble rester.

Du jour au lendemain, l'ex-directeur départemental de la PAF, Assa ELLI ordonna au préfet du département (bah ouais, quoi, la flicaille, ça gère la préfectorale !) de lui rendre l'informaticien, mon mari, prétextant vouloir le réintégrer à la PAF, parce qu'il avait tout à coup un besoin pressant (comme une envie de ch..., chien, lui aussi ?) de ses compétences en informatique. Le préfet tenta de s'y opposer, demandant par écrit une prolongation "officieuse" de la mise à disposition de l'informaticien, au moins pour deux mois encore. Le chef de projets informatiques devait terminer de déployer des applications informatiques sur d'autres préfectures pour le SGAR.
"Pinot simple flic" refusa au préfet cette prolongation de mise à disposition. Donc le haut fonctionnaire demanda par écrit des explications sur le futur poste réservé à l'informaticien, ayant appris que le frère ELLI voulait plus désintégrer le mari de la syndicaliste que l'intégrer à la PAF. Il savait que le grand Maître Machin Chouette de la PAF et la Grande Duduche du SPAF se moquaient comme de l'an quarante des compétences en informatique de l'époux de la syndicaliste. Normal, à la PAF, ils n'ont pas besoin d'agents compétents. Ils ont des chiens policiers. Pas besoin d'hommes pour traquer du gibier humain : il suffit d'avoir une truffe. C'est pour cette raison qu'ils sont "truffés" à la PAF.

Mais le préfet dut plier. La hiérarchie policière très fraternellement liée soutint le frère Assa ELLI. Il s'agissait de faire muter "verbalement" fin mars 2008 l'époux de la syndicaliste sur un poste de "scribouillard" ouvert... dans le futur service que devait gérer en juillet 2008 l'épouse de l'ami d'enfance de l'épouse d'Alain JUPPE, Alba ELLI, à la frontière du plus grand bordel d'Europe, le "Paradise" : une référence ! Après l'Enfer, le Paradis. Donc non seulement la "Grande Duchesse" devenait "commandante de police échelon fonctionnel", chef d'une centaine d'agents livrés aux jeux du cirque "pafiste" , mais en plus elle aurait pu s'offrir la tête de l'époux de sa "pire ennemie" : la syndicaliste Véronique HURTADO.
En avril 2008, je ne pus intervenir en CHS. Le secrétaire départemental du syndicat corporatiste majoritaire de gauche me l'interdit. Il me demanda de me faire remplacer par ma suppléante durant ce CHS, pour ne pas gêner la carrière "brillante" de la Dame Alba ELLI de droite. Je décidai non seulement de ne pas siéger au CHS, mais aussi de démissionner de mon mandat syndical. Je changeai de syndicat. De 2008 à 2010, les agents de ce service de la PAF, situé près du plus grand bordel d'Europe, connurent le plus grand bordel policier de leur vies de "flics". La Dame Alba ELLI devint très copine avec la très "fameuse" Mme BATAILLE, elle-même mariée à un colonel de gendarmerie. Il m'est arrivé de relater quelques exploits significatifs de Madame BATAILLE, tant il est vrai que : "qui se ressemblent, s'assemblent !".
[Un petit bordel avec 10 à 15 filles rapporte plus qu’une boîte de nuit" Dominique Sistach, sociologue
Depuis l’ouverture du Paradise, en 2010, estampillé "plus grand bordel d’Europe" (2 000 m2, 80 chambres, 170 filles), visé d’une double tentative d’attentat en quinze jours, d’une fausse alerte lundi soir (lire ci-contre) et plusieurs fois touchés par des cocktails Molotov, la tension est palpable. Personne ne veut s’exprimer. "Ce club n’a créé que des problèmes en défrayant la chronique", consent à dire l’exploitant du "familial" Dallas comme il le présente.

Vive tension après les tentatives d’attentat visant le plus grand bordel d’Europe, où plane l’ombre de la mafia. Depuis l’ouverture du Paradise, en 2010, visé d’une double tentative d’attentat en quinze jours, d’une fausse alerte lundi soir et plusieurs fois touchés par des cocktails Molotov, la tension est palpable.
"Prostitution en "Cata(pas)marrant(e)s" : l'ombre de la mafia plane à La Jonguerra" De la Jonguerre, OLIVIER SCHLAMA 02/01/2013, 06 h 00.]
ll y en a qui n'apprécient pas de travailler dans ou près d'un "bordel". D'autres en profitent lucrativement, les "souteneurs".
Cependant les meilleures choses ont une fin.
En 2010, le ministre de l'intérieur Claude GUEANT "fait le ménage". Le "frère" Assa ELLI est prié d'aller voir sur Paris comment il se porte à la PAF d'Orly, l'harceleur succédant à l'harceleur qui avait harcelé Sihem SOUID. On prend les mêmes et on recommence ! Pas un pour remplacer l'autre. En 2011, la Dame Alba ELLI est remerciée, priée de prendre la porte, sa demande de prolongation d'activité (Espérait-elle devenir commissaire de police ?) étant refusée par l'administration. Le salaire de mon époux est rétabli (pas pour longtemps, le "Boutte-En-Train" s'est occupé de le lui re-supprimer !) Mais même Paris n'arrive pas à obtenir de Marseille la régularisation de la situation professionnelle de l'informaticien, une affectation et un poste, en exécution des jugements du tribunal administratif (trois jugements favorables).
En effet, le Tribunal Administratif eut à connaître de l'affaire où la PAF "cherche des poux" à l'époux de la syndicaliste, Véronique HURTADO. Le 06 août 2008, le juge des référés avait mis fin aux rêves de grandeur de la Dame Alba ELLI, mais pas à sa "folie". S'ensuivit une guerre juridique qui dure encore entre la hiérarchie policière qui veut à tout prix faire muter l'époux de la syndicaliste à la PAF de Pépère-Les-Gnons pour le "casser", en le "dé-qualifiant", et le priver de toute perspective d'avancement. D'où l'affectation sur un poste de "logistichien", poste qui ne correspond pas à sa qualification professionnelle d'informaticien et d'un niveau hiérarchique inférieur au poste qu'il occupait précédemment à la PAF. Sinon où serait le plaisir de le réintégrer à la PAF, si ce n'est pas pour le désintégrer ? Merci qui ?! Lui, Elie, Eddie, Elli, ilui, icui, suis là ! Coucou...

2012 : Victoire de la gauche.
Et là, PAF ! Le retour d'A...lien, Assa ELLI. Comme un film d'horreur. En novembre 2012, juste après la Fête d'Halloween. C'était peut-être intentionnel, le choix de cette date ? Fêter les morts !
Retour dans le Sud, le mythe de l'Eternel Retour, la Roue de laquelle il faut s'échapper pour atteindre d'autres mondes. Mais comment s'en échapper, quand vous êtes maintenu attaché à cette roue, comme un ancien supplicié, condamné au supplice de la roue ? La roue tourne.
Le gouvernement de gauche ré-affecte dans le Sud, à Marseille, le "frère" Assa ELLI, comme directeur "sadico-annales" de la PAF. Vous rajoutez le "BOUTTE-En-TRAIN" et la boucle est bouclée. La corde pend. Elle attend de servir.

Evidemment le "TOUCHE-A-RIEN" (car rien ne change !) semble appliquer avec une joie sadique la décision, prise par lui ou exécutée par lui ?, de maintenir un agent dans un service où il ne voulait pas aller, en le ré-affectant en surnombre, sans vouloir lui donner un poste correspondant à sa qualification professionnelle et d'un niveau hiérarchique équivalent au poste occupé précédemment. Sinon, ce ne serait pas drôle, hein, l'Edit d'Etat (L'Etat qu'est dans un drôle d'état à Marseille !) ? Qu'est-ce qu'on rigole ! Surtout quand on sait que l'agent a postulé depuis 2008 sur des postes d'informaticiens ouverts dans d'autres services, jusqu'à être prêt à partir à Paris ! Et qu'il a encore déposé des demandes de mobilité en 2009, 2010, 2011 et 2012.
Mais non, le "BOUTTE-En-TRAIN", comme le Grand Maître (pas) Chouette et la Grande Duduche Caca-houette, gardent leur "joujou". Ils veulent que l'informaticien reste à tout prix affecté à la DDPAF de Perpignan. Pour son bien et le bien du service ? A n'en pas douter, hein, l'"Edile" ? C'est la bonne administration des deniers publics qui le commande. Le prix à payer ? La dette de l'Etat quand des chefs gèrent leurs services de cette manière insensée, contraire à l'optimisation d'emplois des effectifs de la fonction publique (adéquation profil de l'agent avec le poste à occuper), préconisée par la MAP, la nouvelle "RGPP". Avec le "BUTEUR" , c'est to be ou not to be "MAD" . Pas "MAP" ! Je sers les "frères" et ma carrière, pas l'Etat.
Expliquez-moi : - A quoi joue la gauche ? A placer les hommes de la Sarkozie, les espions du "petit Empereur", Naboléon ?
Je me frotte les yeux. Non, je ne rêve pas.
Je suis entourée d'hommes de droite qui ont servi la droite et qui veulent ma peau de syndicaliste de gauche.
Un gouvernement "normal"...
Pourquoi attendre 2017 ?
Que le gouvernement démissionne et que la droite renomme Claude GUEANT, ministre de l'intérieur, avec Alain GARDERE comme préfet de la zone de défense SUD à Marseille !
A très franchement parler, je préfère être de gauche et être gérée par des républicains de droite que par des parvenus de gauche.
Allo, la France, "bobos" ! J'ai mal la France.
J'avais rêvé... qu'un gouvernement de gauche aurait nommé à Marseille des républicains de gauche. Il en existe. Au lieu de cela, la crapulerie fraternisante et médisante, sans attache politique, elle, a repris la main.
Est-ce que ce gouvernement de gauche comprend que la gestion de la police nationale à Marseille, de la Corse, en passant par les Alpes-Maritimes, jusqu'aux Pyrénées-Désorientées est un désastre budgétaire et sécuritaire qui va se payer politiquement très cher ?
