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Billet de blog 30 mars 2014

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COLUCHE VS DIEUDONNE : catch dans la police nationale. Qui va remporter le match ?

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Ben voilà, j'me présente, COLUCHE.

Ouais, quoi, c'est moi, COLUCHE.

Vous me reconnaissez pas, avec mes bretelles et mon nez rouge ?

Ouaip, j'aime le pinard, mais pas les connards.

Tu sais c'qu'y z'ont dit à Véronique ? Qu'elle avait le même humour que... DIEUDONNE.

DIEUDONNE ? C'est qui, c'mec-là ?

Connais pas.

Pas à mon époque où on pouvait rire de tout, sauf des "Interdits".

(Interdits de COLUCHE)

Donc voilà, elle était assise, sur son cul.

Encore heureux, sinon t'imagine si elle avait été assise sur son pied ? C'te blague, elle aurait pas pu le prendre, son pied !

Parce que c'était marrant l'addition, non, l'audition.

Ah non, les additions. Mais non : l'addition des auditions, ça reste une addition, tout plein d'affaires rigolotes ! 

Par exemple, le croque-mort qu'a déposé plainte à l 'IGPN contre l'auteuse de ce blog parce que Véronique (pas la mienne, mais toutes des chieuses !), elle a écrit que "le commerce des morts enrichit son croque-mort", formule honteuse.

Parce que les croque-morts, ils font dans le bénévolat, maintenant ?  Ils t'enterrent "gratos" ! Faudra qu'il file l'adresse du croque-mort qu'enterre "gratos" à la bande de p'tits copains qu'ont pris la plainte, sans vérifier l'information. Depuis quand qu'on enterre "gratos" en France ? Même qu'il nous les compte, les os, pour nous les f(r)acturer, un par un :

- Alors, vous avez le choix entre l'incinération sans os, l'enterrement avec tous les os et le semi- enterrement avec la moitié des os, l'autre moitié étant rangée dans la demi-boîte, moitié d'un cercueil, moitié prix, moitié moins de place. Vous choisissez quoi ? D'être enterrée couché(e) ou assis(e), enfin replié(e), quoi. Y'a plus de place dans les cimetières. Une concession sans concessions, ça coûte cher aujourd'hui.

Un peu comme la  magistrature qu'a poursuivi Véronique. Elle a le choix entre être assise, couchée ou debout. Mais vivre debout, c'est fatigant. Vaut mieux t'asseoir. Et on n'est jamais mieux assis que sur son cul, comme Véro, surtout quand on n'a pas vraiment le choix, comme Véronique. Ou la magistrature.

L'indépendance de la magistrature ? C'te blague.

Poursuivre la plainte de "ç'ui qu'a dit qu'c'était lui" !

Trop drôle !

- M'sieur le Juge, j'm'accuse d'être l'auteur du fait décrit par Véronique HURTADO dans son article.

- Ah parce que c'était vous ?

- Oui, c'était moi.

- Donc vous reconnaissez avoir...

- Non je me reconnais.

- Si vous vous reconnaissez, c'est donc que vous reconnaissez...

- Non, je me reconnais mais je ne reconnais pas avoir fait ce que Véronique HURTADO dit que j'aurais fait.

- Donc c'est pas vous ?

- Si, puisque je vous dis que c'est moi, "Mon cochon" !

- Mais vous reconnaissez bien être "le cochon" dans l'expression : "Bah, mon cochon !"

- Oui, le cochon, c'est moi.

Pour réserver vos places lors de ce procès mémorable, vous pouvez contacter Véronique par MP sur MEDIAPART.

Belle preuve d'indépendance judiciaire, entre le funéraire et le thuriféraire (ç'ui qui dit qu'est pas mais qui est).

Au suivant ! 

J'fais une pause.

J'me renculotte et j'remonte mes bretelles.

J'ai le droit, non ?

Alors on va parler de la quenelle.

J'sais pas pourquoi, Véronique, elle appréhendait mon sketch sur la quenelle.

Moi j'ai dit : - Pas de quenelle, pas de sketch !

Après tout, c'est l'engueuleur-enquêteur qu'a commencé avec sa quenelle.

Paraît que mon humour y ressemble à çui de DIEUDONNE.

Véronique, j'lui ai demandé : - C'ékicéça, DIEUDONNE ?

Elle savait pas trop. Elle a jamais été voir sur son blog.

- Comment tu veux que je sache si j'ai le même humour que DIEUDONNE si toi, Véro, tu vas pas le lire ?

Il est vraiment intelligent,  l'enquêteur de l'IGPN, avec sa quenelle.

Donc il a lu DIEUDONNE, lui, même qu'il doit le lire souvent, pour savoir que c'est le même humour que le mien.

Pas comme Véronique !

Il paraît qu'un chef, (un chef dans la police, c'est celui qu'y dit aux autres de faire c'qu'y voudrait pas faire lui. C'est pour ça qu'y a plus de chefs que de policiers sur le terrain dans la police, parce qu'y z'aiment pas faire à leur place).

Il paraît qu'un chef a levé le bras et a salué comme Hitler.

Il a même gueulé : - "Heil Hitler !"

Aïe, Véronique

- Mais qu'est-ce que t'en avais à foutre, si l'autre  y s'prend pour ce taré d'Hitler ? Deux tarés, dont un mort, ça fait jamais que des "dératés". Faut juste les faire courir, ces molosses. Plus ça court, moins ça mord, c'est connu. Pas d'remords. Au bout de la course, on compte le score. Plus y'en a, plus ça rapporte. Rapporte, le chien ! Rapporte le "beau  nonosse".  Et t'empoche. Tout pour toi !

Bon, elle est pas d'accord.

Les gonzesses !

J'connais pas la quenelle.

Moi, j'connais que la quenelle lyonnaise, c'te boulette qui se fout ou vous fout dans la panade.

C'est quoi, c'te querelle de quenelle, d'abord ?

Il voulait la recette, l'enquêteur de l'IGPN, pas d'accord ?

Alors j'ai réfléchi.

Et là, Véronique, elle a peur quand je réfléchis.

Queuenelle ? La queue d'elle ? C'est quoi, c'te histoire de queue ?

P't'être un prénom :

- Bonjour, M'mz'elle QUENELLE. Comment allez-vous bien, aujourd'hui ? J'ai envie de vous en rouler, une, de pelle. Z'êtes si jolie, ma quenelle.

Non, non et non.

Véro se fâche.

Il paraît que ce serait comme le salut hitlérien.

Donc Véronique a salué comme Hitler.

Ah non, c'est pas  elle, la quenelle ?

J'me disais aussi, foutue comme elle est, pourquoi qu'il voudrait lui rouler une pelle, l'enquêteur ?

C'est elle qu'a dit, écrit et décrit un mec qui faisait une quenelle.

Non.

C'est le mec qui faisait un salut hitlérien.

Ouaip ! Et alors ?

C'est elle qui serait nazie, pour l'avoir écrit.

Si c'est elle qu'est nazie, c'est l'autre qu'est naze.

J'savais qu'dans la police, ils savaient pas tous lire, mais à c'point-là ! 

Vaut mieux être nazaréen que naze, croyez-moi.

C'est un clin d'oeil pour Véro qui croit, elle.

Moi,  vous l'saurez quand vous serez avec moi.

En la connerie humaine, je crois.

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