Qui est chrétien ?
Celui qui considère que la vie n'a pas de prix et que la vie d'un otage est plus précieuse que la rançon versée pour cet otage
Ou celui qui considère que la vie d'un otage n'est rien et que le sang, plutôt que l'argent, doit être versé.
Quand bien même la France chérirait la vie de ses citoyens libres de voyager dans le monde et de porter son message d'espoir et de délivrance davantage que l'argent, qui pourrait le lui reprocher ?
Sinon l'Amérique du Nord qui chérit le dieu DOLLAR et a choisi de servir Mammon plutôt que le Christ.
Le cynisme américain transparaît dans le mauvais procès du New-York Times contre la France, un procès qui n'est que le début d'une entreprise de destabilisation visant à isoler la France, ce pays révolutionnaire, visé par un pays d'actionnaires et de "fonds-vautours", les Etats-Unis d'Amérique, pour diviser l'Europe.
Et pourtant, avant :
Oui, ce n'est que le début, le début d'une guerre froide, ou au moins "roide", contre la France, une guerre de propagande où l'Amérique du Nord mobilise ses gangs de reporters, chiens de guerre, pour faire payer à la France, non pas le prix des rançons versées pour libérer ses otages, mais le prix de sa liberté de ton.
Car l'Amérique enrage !
Les Français l'embêtent, l'Oncle SAM ! Entre un "Thomas PIKETTY" qui vient le "piquer" sur son territoire, petit moucheron impudent et insolent, anti-capitaliste, le crime du siècle !, et un président français, François HOLLANDE, qui refuse de céder à son chantage parce qu'il s'engage à tenir sa promesse envers un pays anti-capitaliste, la Russie, trop, c'est trop !
Depuis quand les hommes politiques doivent-t-ils tenir leurs promesses ? Pas aux Etats-Unis, en tous cas. Alors, pour qui se prend-il, ce président de tous les Français de vouloir résister à l'Amérique, comme avant lui, Charles De GAULLE ? Tenir ses engagements envers la Russie, c'est soutenir Vladimir POUTINE. La réputation de la France importe peu aux Américains, ou plutôt le contraire.
Il y a des rancunes qui sont tenaces, puisqu'aucune promesse politique ne les efface.
Pour ceux qui ne savent pas lire tout court ou ne veulent pas lire leur histoire, l'Histoire de France, c'est dommage. Ces pages non lues contiennent le secret d'un avenir tout tracé, un avenir avec la Russie, pour ne pas mourir de "malbouffe" américaine.
Il faut se nourrir "français", les Français.
Toute honte bue, il faut boire du vin français et voir en Français un avenir qui s'annonce rude.
Il faut résister.
Lorsque j'ai lu cet article du New-York Times, typique de ce cynisme américain où les affaires d'une vie sont plus importantes que la vie des hommes d'affaires, j'avais eu la tentation d'y répondre.
Cette tentation est devenue une résolution, à écouter des "journaleux et baveux" français reprendre en boucle cet article pour "s'autoflageller" et annihiler toute défense de la France, au nom d'un esprit critique en chewing-gum, typique de leur "américanisme", cette mécanique du favoritisme affairiste, prouvant leur grande dépendance économique et inconsistance politique.
Lamentable !
Je ne sais pas où ils sont formés et formatés, nos journalistes, mais ça devient vraiment le scandale du siècle, à les voir bêler avec les "Américanistes" et s'emmêler dans les mensonges d'un Etat qui a déjà prouvé n'avoir peur que de dire la vérité, toute la vérité, ou alors, paroles d'or et du Veau d'Or, que des contre-vérités. L'invasion de l'Irak est sans doute un mirage dans leurs mondes d'images.
Aussi je voudrais leur donner un exemple d'informations censurées et emmurées au sein du Pentagone américain, autrement dit faire, à leur place, leur travail de journalistes, puisqu'il le faut bien, et que nous, les Français, nous le valons bien ! L'Oréal, aurore boréale de la beauté mondiale, c'est bien une entreprise française, devenue leader international de l'industrie cosmétique, non ?
Extrait "anonymisé" de commentaires percutants et sidérants, pour ces journalistes ou naïfs ou noeud-noeud, à votre bon choix, qui se font des noeuds à la tête tant ils sont bêtes, carrément bêtes :
Car la vérité sort de la bouche des enfants de France, des Français de moins en moins naïfs, eux, et donc de moins en moins bêtes. Qui des Américains ou des Français paient les terroristes islamistes dans le monde aujourd'hui ?
Réponse en deux ou trois commentaires, avec références explicites sur les lois et résolutions votées en catimini par l'Amérique, notre "AMI"(e), mais pas notre alliée :
Premier commentaire :
Pendant que les juifs et les musulmans meurent pour rien et se haïssent en peu plus au travers de réseaux sociaux et dans la vie courante, rien de plus de simple de contrôler et manipuler les masses vu la victimisation et la fanatisation de chaque camps a la fois similaire et diamétralement opposé !!
Vous n'avez tous rien retenu de l'histoire !!! [J'aime] L'argent gouverne le monde et ceux qui financent la mort a tout les niveaux vous instrumentalise alors que ce sont eux les vrais assassins a abattre car leur seule morale est le profit mais tous êtes devenus de bons petits soldats pour vos origines, vos religions, votre patrie etc... Mais a qui profite le crime, chaque intervention militaire pour les uns terroristes pour les autre a un coût et demande de l'armement, et enrichit ceux qui financent. Tout le monde attaque les conséquences, jamais la cause !!! Ce monde est vraiment condamné a s'autodétruire par la bêtise humaine.
Pour rappel :
"Les banquiers internationaux et leurs agents sont à l’origine de la situation qui a conduit à la première guerre ; ils en retirèrent un bon butin ; ils financèrent la révolution Russe et obtinrent le contrôle de ce grand pays ; ils manipulèrent les événements dans l’Europe d’après-guerre de façon à "provoquer une situation" (selon les propres mots d’Edward Stanton) qui les amena, financièrement parlant, "au septième ciel" ; ils utilisèrent des fonds américains qui leur permirent d’empocher d’énormes commissions pour "équiper l’industrie allemande d’installations techniques de pointe" et l’amener, ainsi, "largement à la seconde place au rang mondial". Ces vautours sans scrupule qui détenaient les monopoles ont manipulé et utilisé les Allemands, ils les ont tant et si bien exploités qu’ils auraient mérité leur haine à tout jamais. Pendant qu’ils mettaient sur pied l’industrie allemande tout en luttant dans le même temps contre eux, ils allaient permettre à un homme fort d’entrer sur la scène politique. Celui-ci, à son tour, gagnerait les masses à sa "cause" en leur promettant de les libérer des rapaces financiers internationaux. L’Allemagne des années trente était une bombe à retardement, fabriquée par les banquiers internationaux. elle était dans l’attente d’une personne telle qu’Hitler qui allait entrer en scène et prendre le pouvoir."
Deuxième commentaire :
En violation des résolutions 1267 et 1373 du Conseil de sécurité, le Congrès des États-Unis a voté le financement et l’armement du Front al-Nosra et de l’Émirat islamique d’Irak et du Levant, deux organisations relevant d’Al-Qaïda et classées comme « terroristes » par les Nations Unies.
Cette décision est valide jusqu’au 30 septembre 2014.
La première semaine de la Conférence de paix de Genève 2 aura été pleine de rebondissements. Malheureusement, le public occidental n’en a pas été informé, victime de la censure qui l’opprime.
C’est en effet le principal paradoxe de cette guerre : les images sont l’inverse de la réalité.
Selon les médias internationaux, le conflit oppose d’un côté, des États réunis autour de Washington et de Riyad qui prétendent défendre la démocratie et conduire la lutte mondiale contre le terrorisme, de l’autre la Syrie et ses alliés russes, inhibés à force d’être diffamés en dictatures manipulant le terrorisme. Si tout le monde est conscient que l’Arabie saoudite n’est pas une démocratie, mais une monarchie absolue, la tyrannie d’une famille et d’une secte sur tout un peuple, les États-Unis ont l’image d’une démocratie et mieux encore du « pays de la liberté ». Or, la principale information de la semaine a été censurée dans l’ensemble des États membres de l’Otan : le Congrès états-unien s’est réuni secrètement pour voter le financement et l’armement des « rebelles en Syrie » jusqu’au 30 septembre 2014.
Vous avez bien lu. Le Congrès tient des séances secrètes dont la presse n’a pas le droit de faire mention.
C’est pourquoi l’information, originellement publiée par l’agence britannique Reuters [1], a été scrupuleusement ignorée par toute la presse imprimée et audio-visuelle aux États-Unis et la plupart des médias en Europe occidentale et dans le Golfe. Seuls les habitants du « reste du monde » ont eu droit à connaître la vérité. La liberté d’expression et le droit des citoyens à l’information sont pourtant des préalables à la démocratie. Ils sont mieux respectés en Syrie et en Russie qu’en Occident. Personne n’ayant lu la loi adoptée par le Congrès, on ignore ce qu’elle stipule exactement. Cependant, il est clair que les « rebelles » en question ne cherchent pas à renverser l’État syrien —ils y ont renoncé—, mais à le « saigner ». C’est pourquoi, ils ne se comportent pas en soldats, mais en terroristes.
Vous avez encore bien lu : les États-Unis, prétendument victimes d’Al-Qaïda le 11 septembre 2001 et depuis leaders de la « guerre globale au terrorisme », financent le principal foyer de terrorisme international où agissent deux organisations officiellement subordonnées à Al-Qaïda (le Front al-Nosra et l’Émirat islamique d’Irak et du Levant). Il ne s’agit plus là d’une manœuvre obscure des services secrets, mais d’une loi, pleinement assumée, même si elle a été adoptée à huis clos de manière à ne pas contredire la propagande.
D’un autre côté, on ne voit pas comment la presse occidentale, qui affirme depuis 13 ans qu’Al-Qaïda est l’auteur des attentats du 11-Septembre et ignore la destitution du président George W. Bush ce jour-là par les militaires, pourrait expliquer cette décision à son public. Effectivement, la procédure états-unienne de « Continuité du gouvernement » (CoG) est elle aussi protégée par la censure. De la sorte, les Occidentaux n’ont jamais su que, ce 11 septembre, le pouvoir avait été transféré des civils aux militaires, de 10h du matin jusqu’au soir, que durant cette journée les États-Unis avaient été gouvernés par une autorité secrète, en violation de leurs lois et de leur constitution. Durant la Guerre froide, la CIA finançait l’écrivain George Orwell lorsqu’il imaginait la dictature du futur. Washington croyait ainsi éveiller les consciences au danger soviétique. Mais en réalité, jamais l’URSS ne ressembla au cauchemar de « 1984 », tandis que les États-Unis en sont devenus l’incarnation. Le discours annuel de Barack Obama sur l’état de l’Union s’est ainsi transformé en un exceptionnel exercice de mensonge. Devant les 538 membres du Congrès l’applaudissant debout, le président a déclaré : « Une chose ne changera pas : notre détermination à ce que des terroristes ne lancent pas d’autres attaques contre notre pays ». Et encore : « En Syrie, nous soutiendrons l’opposition qui rejette le programme des réseaux terroristes ». Pourtant, lorsque la délégation syrienne à Genève 2 a soumis à celle sensée représenter son « opposition » une motion, exclusivement basée sur les résolutions 1267 et 1373 du Conseil de sécurité, condamnant le terrorisme, celle-ci l’a rejetée sans provoquer la moindre protestation de Washington. Et pour cause : le terrorisme, c’est les États-Unis, et le délégation de l’« opposition » reçoit ses ordres directement de l’ambassadeur Robert S. Ford, présent sur place Robert S. Ford, l’ancien assistant de John Negroponte en Irak.
Au début des années 80, Negroponte avait attaqué la révolution nicaraguayenne en engageant des milliers de mercenaires qui, mêlés à quelques collaborateurs locaux, constituèrent les « Contras ». La Cour internationale de Justice, c’est-à-dire le tribunal interne des Nations Unies, condamna Washington pour cette ingérence qui ne disait pas son nom. Puis, dans les années 2000, Negroponte et Ford rejouèrent le même scénario en Irak. Cette fois, il s’agissait d’anéantir la résistance nationaliste en la faisant combattre par Al-Qaïda. Pendant que les Syriens et la délégation de l’« opposition » discutaient à Genève, à Washington, le président poursuivait son exercice d’hypocrisie et assénait au Congrès qui l’applaudissait mécaniquement : « On lutte contre le terrorisme non seulement à l’aide du renseignement et des opérations militaires, mais aussi en restant fidèles aux idéaux de notre Constitution et en donnant l’exemple au monde (…) Et nous continuerons à travailler avec la communauté internationale pour faire naître l’avenir que mérite le peuple syrien – un avenir sans dictature, sans terreur et sans peur ». La guerre livrée par l’Otan et le CCG à la Syrie a déjà fait plus de 130 000 morts —selon les chiffres du MI6 diffusés par l’Observatoire syrien des Droits de l’homme—, dont les bourreaux attribuent la responsabilité au peuple qui ose leur résister et à son président, Bachar el-Assad.
Troisième commentaire :
[ Une déclaration de guerre déguisée par les américains à la Russie.
Le Département d’État des États-Unis va fournir 30 milliards de dollars afin de financer une ingérence directe dans les affaires intérieures de la Russie, ou, pour être exact – renverser Poutine.
Numéro de document 2277 sur le site officiel du Congrès des États-Unis appelé «Loi sur la prévention de l’agression russe 2014» (la «Loi sur la prévention de l’agression de la part de la Russie 2014»).
S.2277 – Russian Aggression Prevention Act of 2014 Budget – 10 milliards de dollars par an sur la période 2015-2017.
But des crédits « le développement de la démocratie en Russie ». (amélioration de la gouvernance démocratique, la transparence, la responsabilité, la primauté du droit et mesures anti-corruption)
Créer les conditions pour des médias indépendants en Russie, en augmentant le soutien du gouvernement des États-Unis, ainsi que l’aide à la protection des journalistes et des menbres de la société civile.
Essentiellement, cela signifie ni plus ni moins qu’un changement de régime dans la Fédération de Russie et l’ingérence directe dans ses affaires intérieures.
Compte tenu de la majorité républicaine au Congrès, l’adoption de cette loi n’est qu’une question de temps.
Il est à noter que de vives critiques du projet de loi ont été lancées par un ancien sénateur républicain Ron Paul, qui a récemment pris explicitement une position pro-russe. Il n’ya pas si longtemps, il s’est exprimé contre l’imposition de sanctions contre la Russie et le bellicisme de l’administration Obama. ]
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Mais que font nos "journaleux et baveux" ?
Voici apportée la preuve que ce sont les Américains eux-mêmes, et volontairement, qui soutiennent le terrorisme jihadiste, par un plan de financement voté par leur congrès, et non pas les Français, en payant des rançons pour libérer leurs otages.
C'est aussi la preuve d'un cynisme moral et d'une volonté anormale à être capable de tout pour parvenir à ses fins ou à la fin de l'Humanité.
Oui, je suis fière d'être française.
Oui, il vaut mieux être Français dans le monde d'aujourd'hui et avoir un pays qui paie pour la vie de ses otages, plutôt qu'être Américain et avoir un pays qui paie les preneurs d'otages.
Honte à l'Amérique !
Honte à nos journalistes défroqués et "smockés", avec leurs figures de jeunes premiers, derniers de la classe française, la fabrique en série des "disloqués" et toqués cérébraux.
Peut-être comprenez-vous mieux le silence des médias sur le califat EIIL ?
Le massacre des Chrétiens en Irak ou ailleurs, les Américains s'en fichent, s'en contrefichent et s'en foutent.
La disparition des civilisations orientales, les Américains s'en fichent, s'en contrefichent et s'en foutent.
Ainsi que nos journalistes "franc"-çais, pas très francs.