Les fous ne sont pas ceux que désigne à la vindicte populaire un pouvoir arbitraire.
Le pouvoir, ce seing-blanc accordé à certains chefs de service et policiers qui se comportent comme de la racaille, est devenu trop "sanglant". "Tuer" administrativement reste aujourd'hui impuni.
Ces chefs canailles doivent être maintenant sanctionnés pour leurs faux témoignages, leurs faux documents, tous faux en écriture publique qui émaillent les affaires de tentatives de mises en accusation pour soi-disant atteinte portée à l'honneur de la police nationale, pour diffamation, dénonciation calomnieuse, et j'en passe.
Ceux qui portent atteinte à l'honneur de la police nationale sont ces quelques policiers et représentants de l'Etat qui mentent sans vergogne, ces charognes qui empuantent les procédures disciplinaires montées contre les lanceurs d'alerte par leur élaboration de faux-documents.
Comment peut-on être officier de police judiciaire et être capable de mentir dans une procédure judiciaire ? La sanction devrait être immédiate. Puisque les officiers de police judiciaire sont gérés par le Procureur de la République, cette habilitation devrait leur être retirée, en attendant que l'administration les sanctionne pour des faits, des actes commis, des "faux" élaborés juste pour "casser du petit agent", un des leurs.
Car si ces charognards sont capables de tels actes pour "tuer" administrativement l'un des leurs, il n'est point besoin d'avoir le talent d'un Luc BESSON pour comprendre ce dont sont capables ces chacals dans une procédure judiciaire contre une victime "extérieure" à la "maison- poulaga". Mener une famille à la misère, la priver de toute ressource financière, c'est lui voler des vies. C'est tuer.
Il est grand temps de faire cesser cette impunité liée au fonctionnement des tribunaux administratifs. Je m'explique : la responsabilité personnelle de ces chefs de service minus et minables est couverte par l'administration qui seule fait les frais de leur comportement délictueux, sinon criminel.
C'est l'Etat, donc vous les contribuables, oui, vous et moi, qui payons à la place de ces chefs de service indignes d'être des représentants de l'Etat le montant de leurs amendes, dommages et intérêts, consécutifs à leurs fautes, puisqu'il ne s'agit que de simples "fautes" sur le seul plan administratif. A croire que ces dérives autoritaires d'un pouvoir arbitraire, connues et reconnues publiquement, profitent à un Etat qui continue de protéger ces "petits" chefs "MAL-ins", comme AL CAPONE protégeait ses hommes de main. Le mafieux payait tout à la place de ces tueurs à gage : frais d'avocat, amendes, dommages et intérêts, tout, MAIS sur ses deniers personnels. La mafia a plus d'honneur que cette police-là.
Sur le plan pénal ? Les victimes peuvent déposer plainte contre leur chef de service. C'est un droit. Par contre la justice française actuelle ne semble pas considérer de son devoir d'instruire ces plaintes. A moins que ce ne soient les plaintes déposées par des officiers de police judiciaire sans honneur ? Lesquelles sont instruites dans les meilleurs délais, puisqu'il faut couvrir la "racaille" hiérarchique, principe de solidarité mafieux, et donc "tuer" au plus vite les victimes, les témoins gênants de pratiques qui salissent l'honneur de la police nationale.
Mais non. M'enfin ! Ce sont les dénonciateurs, donc "calomniateurs" qui salissent l'honneur de la police nationale, pas ceux qui font le MAL, pas ceux qui agissent MAL. Eux, les "MAL-faiteurs" sont couverts et protégés par une administration qui a peur du scandale, plus que du MAL. Faire semblant, faire croire que tout va bien, est devenue la règle du "je sauve ma peau" dans cette administration au fonctionnement mafieux.
C'est la vérité en ce jour de libération de Laurent CUENCA.
Sinon, comment expliquer que des plaintes déposées pour faux en écriture publique, dénonciation calomnieuse et harcèlement moral soient systématiquement classées, lorsque ce sont les victimes qui déposent plainte contre ces chefs-canailles? Et que les juges d'instruction mettent un temps infini pour enquêter ?
Le droit de tuer administrativement, parce qu'il a dénoncé le mal, un agent qui n'a rien fait de mal doit être supprimé.
La racaille hiérarchique qui agit MAL doit être sanctionnée pénalement et doit payer sur ses deniers personnels le montant des amendes, dommages et intérêts, exercice purement administratif de l'action récursoire de l'Etat pour faute personnelle contre un chef-canaille. Action récursoire contre un chef-racaille jamais exercée à ce jour !
Qui peut oublier ces agents, mères ou pères de familles, jetés à la rue par ces crapules, condamnés à une vie de misère, par des injustices jamais sanctionnées par l'Etat ?
Ce qui rend fou est l'impunité des criminels, pas seulement dans les cités. La racaille habite la police nationale. Elle doit elle aussi en être chassée et être condamnée pour tout le MAL qu'elle commet. Ce sont ces viles canailles qui jettent le discrédit sur la police nationale et salissent l'uniforme de la police nationale.
Protégez les policiers honnêtes d'une hiérarchie malhonnête, si vous voulez protéger les citoyens contre les malfaiteurs.
C'est le premier devoir de l'Etat : être exemplaire, pas "arbitraire". Pour que la police nationale fonctionne bien, placez des "Incorruptibles" à la tête de ses services. Ou alors, les citoyens seront obligés de faire leur propre police.
Pour ceux qui auraient eu un doute : Laurent CUENCA a été soutenu par l'association SOS Fonctionnaire-Victime et un seul syndicat SUD INTERIEUR. Qui en doutait ?
Vous pouvez aussi manifester votre soutien et votre satisfaction à Emile CUENCA, le père "faussement suicidé" et bien vivant de Laurent CUENCA, le fou qui n'est pas fou. Le père, mort-vivant, tient un blog sur MEDIAPART, le blog d'EMILE CUENCA.