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Billet de blog 15 mars 2015

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LA FNSEA FAIT LA LOI

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Ils maltraitent des animaux lors de leurs manifs ultra violentes, des ragondins, puis un veau abattu et pendu à la grille d'un édifice public! ils déversent des tonnes de fumier et lisier dans les villes, brûlent des arbres et des pneus en ville, etc, etc.............et rien ne leur arrive jamais!

ils menacent les personnes, même les représentants de l'administration, comme les agents de l'ONEMA (voir le reportage de france 4), ils sont potes avec les militaires..................c'est formidable la France!

UN REPORTAGE TRES INSTRUCTIF! la FNsea peut dormir sur ses 2 oreilles! continuer à agresser les agents publics et les zadistes, rien ne lui arrivera .................un reportage de france 4:

voir sur le site de reporterre aussi:

http://www.reporterre.net/Sivens-des-journalistes-de

des journalistes attaqués par un FNsea armé d'une tronçonneuse qu'il met en marche pour les intimider et les menacer. Ils porteront plainte...................

extraits:

"Les violences et tentatives d’intimidation de la part de pro-barrages à l’égard des opposants, ainsi qu’à l’égard de certains journalistes, n’ont fait qu’augmenter lors de la semaine précédant l’évacuation de la zone. Constitués en milices, ces personnes ont agi en dehors de toute légalité sans que quiconque n’ y trouve à redire, et ce depuis des mois. Comment dénoncer des exactions lorsqu’elles sont commises avec l’accord tacite et sous le nez de représentants de "l’Etat de droit" ?

Nous avons décidé de porter plainte contre l’homme à la tronçonneuse (que l’un d’entre nous a photographié), comme peuvent le faire toutes les personnes ayant subi violences, dégradations de biens, agressions physiques et harcèlement de la part des pro-barrages.

Rappelons les faits que nous avons déjà rapportés dans Reporterre.

Arrivés à trois journalistes près de la Zad du Testet, dans le Tarn, le jeudi 5 mars à 17 h, nous cherchions un point d’entrée afin d’accéder à la Zad, bouclée de toutes parts en cette semaine sous haute tension.

Au niveau de la Maison de la forêt de Sivens étaient postés trois fourgons de gendarmes mobiles contrôlant les accès. Les gendarmes nous ont fait signe d’arrêter le véhicule, puis ont demandé à voir les cartes de presse. Juste devant nous, autour d’un feu de camp, se trouvait une dizaine de pro-barrages, qui nous ont paru avinés. L’un d’eux était muni d’une tronçonneuse. Il s’est approché, a allumé l’engin et l’a brandi en nous invectivant, alors que ses collègues entouraient la voiture en s’esclaffant. A aucun moment, la tronçonneuse n’a été saisie par les forces de l’ordre, pourtant bien présents.

Un pro-barrage a ouvert le coffre de la voiture et s’est emparé du matériel de protection qui s’y trouvait (casque, lunettes), tandis qu’une autre personne ouvrait la portière arrière droite avec l’intention manifeste d’inspecter l’intérieur du véhicule.

S’en est suivie une discussion entre un gendarme et un agriculteur qui hurlait : "Ici c’est une zone de non droit, on fait ce qu’on veut". Ce à quoi le gendarme n’a rien répondu, et nous a rendu les affaires dérobées avant de nous laisser partir.

A quelques kilomètres, la route D999 croise une entrée de la Zad. Dans le champ desservi par la route, un face à face tendu opposait une centaine de pro-barrages armés de bâtons ou de barres de fer, et des zadistes surveillant une barricade. Entre les deux groupes se tenait un cordon de gendarmes.

Nous sommes restés un moment sur place, avant de devoir traverser le groupe de pro-barrages pour retourner vers la route. L’un d’eux a crié : "Prends-lui son appareil". Un très jeune homme muni d’une barre de fer a alors bondi sur moi et tenté d’attraper mon boitier. Je l’ai vivement repoussé, un de mes confrères est venu en renfort, et après une bousculade, nous avons pu quitter les lieux.

Cette scène s’est déroulée en présence et sous le regard de gendarmes postés à quelques mètres, qui n’ont pas fait un pas en ma direction pour éviter que l’agression ne dégénère. Au "check point" suivant, des voitures de gendarmerie ainsi que des véhicules de tourisme étaient garés des deux côtés de la route. Impossible de passer.

Nous avons arrêté la voiture, et c’est un pro-barrage qui a demandé à vérifier les papiers d’identité et les cartes de presse. Interloqués, nous avons refusé, et c’est finalement un gendarme qui a procédé au contrôle."

Tout le dossier de reporterre ici:

http://www.reporterre.net/+-Sivens-+

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