
Pipothé
J'ai connu, quelque part près de la baie d'Ha Long
Une fleur des rizières qui s'appelait Huong.
Visage de poupée sur un corps de princesse
Elle savait jouer de la bouche et des fesses.
J'ai vécu auprès d'elle, heureux et envoûté
Par sa spécialité: la fellation au thé.
Huong me préparait, avec mille manières,
Du thé vert au gingembre, une pleine théière.
Tandis que je buvais la boisson parfumée,
Ses petits doigts agiles sur ma verge allumée
Préparaient mon phallus avec mille caresses,
Mettaient mon corps en feu et mon cœur en liesse.
Huong prenait alors une gorgée de thé
Qu'elle tournait en bouche pour en faire chuter
Doucement la chaleur au degré idéal
Pour les tendres muqueuses de mon engin de mâle.
Huong mettait mon gland dans sa petite bouche.
Quel bonheur délicieux ! Je geignais sur ma couche.
Une chaleur torride, proche de la brûlure,
Envahissait mon sexe d'un volcan de luxure.
Le liquide brûlant tourne autour de mon gland
La languette de Huong lui donne mouvement,
Elle aspire, elle pompe, elle masse, elle suce,
Tandis qu'un de ses doigts vient me forcer l'anus,
Par des spasmes de joie, ma queue jouit longtemps,
Dans la bouche de Huong, douce fleur de printemps.
Elle m'embrasse alors, partageant les saveurs,
Du foutre et du thé chaud, du plaisir, du bonheur.
VictorAyoli
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