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Les manifestants chargés avec des véhicules de police, plusieurs journalistes ont été violemment refoulés par des policiers. Usage de véhicules contre des opposants à la loi travail, des manifestants et des journalistes matraqués.. Le Club de la presse de Rennes et de Bretagne a condamné « fermement ces atteintes à la liberté d'exercer son métier » et a décidé de saisir le Défenseur des droits.
La CGT « condamne sans réserve » Condamnant « sans réserve ces actes de violences qui exacerbent une situation de tension alimentée par le jusqu’au-boutisme du gouvernement et les diverses auteurs publiques et politiques envers le mouvement engagé pour le retrait de la loi « travail » et ses acteurs », le syndicat CGT, dans un communiqué, « tient à apporter son entier soutien à toutes les victimes - manifestants et journalistes - de ces agissements. »
Les écologistes, dans un communiqué, déclare: « Nous sommes plus qu'inquiets sur les dérives intolérables de ces derniers jours. Nous appelons à une stratégie de désescalade de la part des forces de l'ordre et des pouvoirs publics. Il apparaît nécessaire de retirer le projet de loi Travail pour renouer les fils du dialogue et pouvoir rassembler à nouveau notre ville et notre agglomération autour d'un projet apaisé »
