vilmauve (avatar)

vilmauve

Abonné·e de Mediapart

367 Billets

0 Édition

Billet de blog 6 mai 2016

vilmauve (avatar)

vilmauve

Abonné·e de Mediapart

L’Europe et le nucléaire, 30 ans après Tchernobyl

Serguei Tarantsev, un ancien ouvriers raconte; "Là-bas, on ne posait pas de questions (...), à ce moment-là on ne se doutait pas des problèmes de radiations, on ne savait rien de tout ça"

vilmauve (avatar)

vilmauve

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Illustration 1

A Tchernobyl, les ravages sont toujours visibles 30 ans après la catastrophe nucléaire
Des survivants à la santé fragile
"Là-bas, on ne posait pas de questions (...), à ce moment-là on ne se doutait pas des problèmes de radiations, on ne savait rien de tout ça", raconte Serguei Tarantsev, un ancien ouvriers. Leurs vêtements de protection sont dérisoires. Exposés à des doses très élevées de radiations, les premiers mourront très rapidement.

Des survivants à la santé fragile
"Là-bas, on ne posait pas de questions (...), à ce moment-là on ne se doutait pas des problèmes de radiations, on ne savait rien de tout ça", raconte Serguei Tarantsev, un ancien ouvriers. Leurs vêtements de protection sont dérisoires. Exposés à des doses très élevées de radiations, les premiers mourront très rapidement.
On les appelait partisans, ces gars mobilisés. On ne les équipait que d’un casque et d’un tablier en plomb, se souvient Igor, un liquidateur, avant d’ajouter : « le matériel et l’équipement électronique tombaient en panne (à cause des radiations), mais les hommes tenaient ». « Au bout de cinq ans, ces petits soldats ont commencé à tomber comme des mouches », dit-il. « Chacun son destin. Beaucoup ne sont plus là. Beaucoup sont morts »

Reportage Euronew:

Europe et nucléaire, 30 ans après Tchernobyl. © jack Brte

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.